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3,07

sur 391 notes

Critiques filtrées sur 4 étoiles  
On ne peut pas dire que ce soit un véritable coup de coeur mais il est cependant indéniable que cela reste pour moi un très bon livre et James Salter, un auteur qui mérite vraiment d'être découvert, d'autant plus qu'il n'est plus tout jeune maintenant. Mais bon, il n'est jamais trop tard et je peux dire que cette première lecture de lui, à savoir "Et rien d'autre", son dernier roman m'a rappelé justement à l'ordre.

Ici, le lecteur y découvre Philip Bowman, le protagoniste, ayant survécu à l'horreur de la Seconde Guerre mondiale, pour laquelle il remplissait son devoir de jeune citoyen dans la marine du côté des forces alliées (enfin, tout dépend de quel côté on se place bien entendu) puisque, tout comme son nom l'indique, Philip est américain. Une fois revenu de cet enfer, Philip ne rêve que d'une chose : faire carrière dans le journalisme. N'y trouvant cependant pas sa place, c'est du côté de l'édition qu'il va donc se tourner. Trouvant ainsi des débouchés dans ce secteur, bien que ne travaillant pas à son comte mais pour celui d'un éditeur de renom, notre jeune héros va donc s'épanouir au côté de ses auteurs, de ses livres qui ne le quittent jamais car, même si ce n'est pas son patron, Baum, qui les a édités, Philip est un très grand "bibliophage' mais aussi un amoureux des femmes et de l'amour en général. Après un premier mariage raté avec Vivian, qu'il a peut-être épousé trop tôt, sans connaître grand chose de la gente féminine, notre héros ne sera jamais rassasié du plaisir que ces dernières peuvent lui procurer.

Un livre sur l'amour, certes, mais aussi (et c'est là ce qui m'intéresse le plus) sur le monde de l'édition américaine en ce milieu de XXe siècle et sur les auteurs qui commencent à inscrire leurs noms et qui ont maintenant laissé leurs empreintes indélébiles dans l'histoire de la littérature, américaine ou anglo-saxone, voire même avec des références françaises de temps à autres. Bref, un vrai régal. A découvrir !
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Paru en 2013 aux Etats-Unis, et en 2014 en France aux éditions de l'Olivier (traduction de Marc Anfreville), ce roman n'est rien d'autre – ou plutôt rien de moins - qu'une fresque de la vie d'un homme, Philip Bowman, héros indécis transporté à dix-huit ans dans les batailles aériennes et navales du Pacifique contre le Japon, et devenu par la suite un éditeur adorant son métier, avec en arrière-plan l'Histoire américaine, depuis la seconde guerre mondiale jusqu'à une période très récente.

«Il se demandait comment il se comporterait au combat, tandis que tous deux fixaient cet océan étranger et mystérieux, puis le ciel qui commençait déjà à s'éclaircir. le courage, la peur et la façon dont on se conduirait dans le feu de l'action ne faisaient pas partie des choses dont on parlait aisément.»

Installé à New-York au retour de la guerre, Philip Bowman va embrasser la profession d'éditeur, gagnant la reconnaissance et le respect dans ce milieu plutôt difficile à pénétrer.

«Les grands éditeurs ne sont pas toujours de grands lecteurs, et les bons lecteurs font rarement de bons éditeurs, mais Bowman se tenait quelque part au milieu. Souvent, tard dans la nuit, quand la ville dormait et que le bruit de la circulation s'était évanoui, il restait à lire. Vivian était déjà allée se coucher. Il ne gardait qu'une lampe sur pied allumée près de son fauteuil, et un verre à portée de main. Il adorait s'absorber dans sa lecture avec pour tout compagnon le silence et la couleur ambrée du whisky. Il aimait aussi manger, rencontrer des gens, parler... mais lire était un plaisir toujours renouvelé. Ce qu'étaient pour d'autres les joies de la musique, les mots sur une page l'étaient pour lui.»

Même si on suit en filigrane à travers ce parcours l'évolution d'un monde du livre en transformation et qui va perdre de sa superbe, la grande affaire problématique de la vie de Bowman est ailleurs : c'est de rencontrer l'amour parfait. À plusieurs reprises, il croira atteindre enfin cet idéal, avant que le passage du temps ne le ternisse.

«Ils s'éveillèrent dans la lumière d'un monde neuf. Elle était exactement telle qu'elle s'était endormie la veille, mais ses lèvres paraissaient plus pâles et ses yeux moins brillants.»

Ce roman, où l'intensité fugace de la vie, des transports amoureux, et leur éclat différent, plus profond avec l'âge, sont impressionnants de justesse, constitue une fresque élégamment composée, d'un grand classicisme, peut-être sans grande découverte, mais dont la force est surtout que, comme dans la vie, les années passent et glissent sans que le héros, et avec lui le lecteur, n'en prennent vraiment conscience, sauf quand un événement historique, ponctuant le récit, nous ramène à cette réalité du temps qui passe.

Méditation d'une douceur inexplicable sur le passage du temps, l'imperfection de la vie et sur monde en train de disparaître, ce livre n'est rien d'autre, finalement, qu'un très bel hommage à la littérature.
«Il arrive un moment où vous savez que tout n'est qu'un rêve, que seules les choses qu'a su préserver l'écriture ont des chances d'être vraies.»
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On m'avait dit : chef d'oeuvre. Et rien d'autre est un très bon, un excellent roman. Mais pour que je qualifie un roman de chef d'oeuvre, il faut qu'il me surprenne, d'une manière ou d'une autre, qu'il ne ressemble à aucun autre. Or Et rien d'autre est un roman américain classique, une vaste fresque dont l'axe central est le parcours d'un homme pendant 40 ans, à partir de la fin de la guerre.

Cet homme, Philip Bowman, a choisi le métier d'éditeur, qu'il exerce avec passion tout au long de ces 40 ans au sein de la même maison new-yorkaise, sans manifester d'ambition financière ni managériale ; le contact avec les écrivains lui suffit. Sa quête personnelle, c'est la recherche d'un foyer, aux deux sens du terme : une maison, où se ressourcer, en bois, au bord d'un lac ou de la mer - archétype américain - et une femme, âme-soeur, avec laquelle construire une relation familiale.

Bien que ne se comportant ni en play-boy, ni en don juan, Bowman ne manque pas de succès féminins. Il parvient aisément à ses fins, porté à chaque fois par de véritables coups de foudre, plutôt d'ordre physique. Mais le plaisir physique ne garantit pas la durabilité des liaisons, qui tournent court, effacées par le coup de foudre suivant, en l'absence de véritables projets consensuels. Au fil du livre, le rythme des rencontres semblent s'accélérer. Mais peut-être est-ce plutôt le temps qui accélère avec l'âge. La fin de chaque aventure ne fait pas souffrir Bowman, sauf une fois ; il se comporte toujours bien, sauf une fois.

La fresque que constitue le roman est d'une ampleur considérable, tant par la période qu'elle recouvre que par le nombre de personnages accessoires qu'elle englobe. Complexe, elle est composée de tableaux relatant le parcours ou des tranches de vie de personnes rencontrées par Bowman : parents, amis, femmes, écrivains, professionnels de l'édition. de courtes anecdotes sur des personnages totalement secondaires aux apparitions fugitives, viennent compléter l'ornementation de la fresque.

Un regret : dans ce milieu littéraire où l'on évoque très brièvement Hemingway, Byron et des écrivains fictifs, où l'on semble passer beaucoup de temps en déjeuners et en cocktails, il n'y a pas de débat, même sommaire, sur des oeuvres ou des auteurs, à l'instar des commentaires courts mais intéressants délivrés sur Bacon et Picasso.

L'écriture est limpide et précise, sans lyrisme excessif, sans métaphore inaccessible. La construction ne présente aucun artifice. le récit se déroule tranquillement. de temps en temps, un retour en arrière de deux ou trois pages est nécessaire pour comprendre de qui il est question, l'auteur ayant probablement pris un malin plaisir à nous embrouiller.

Pas étonnant que James Salter soit considéré comme un monstre sacré de la littérature américaine.

Lien : http://cavamieuxenlecrivant...
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James Salter, né en 1925 à New York sous le véritable nom de James A. Horowitz, est écrivain et scénariste. Son premier livre basé sur son expérience de pilote de chasse durant la guerre de Corée, The Hunters paru en 1956, a été adapté au cinéma avec Robert Mitchum en 1958. Et rien d'autre, son tout nouveau roman, vient de paraître.
Philip Bowman, jeune homme issu d'une famille modeste aux parents séparés, rentre aux Etats-Unis après avoir connu les combats du Pacifique au cours de la Seconde guerre mondiale. Il rêve d'être journaliste mais ne dénichera qu'une place dans le monde de l'édition littéraire à New York - ce qui nous vaut quelques digressions intéressantes -, où finalement il fera son trou. Sa situation professionnelle assurée, il tentera d'acquérir une maison pour y bâtir un foyer durable avec celle qui doit être le grand amour de sa vie. Cette quête du bonheur conjugal est au coeur de ce roman.
Il y a des livres comme des bouteilles de vin, à peine entamés on sait qu'ils seront bons. Et celui-ci, croyez m'en, est un sacrément bon cru. Nous allons suivre Philip Bowman, de sa jeunesse aux armées jusqu'à ce qu'on appelle l'âge mûr, à travers une chronologie à peine notifiée par l'écrivain si ce n'est deux ou trois fois, par un indice abrupt comme celui-ci qui vient clore un chapitre : «Quelque chose de terrible venait de se produire. le Président avait été assassiné à Dallas. » Ténu mais extrêmement précis.
Après des débuts dans la vie assez réservés avec les femmes, Bowman va se rattraper et certaines auront une grande place dans sa vie, au point qu'il pensera avoir trouvé celle qu'il cherche en vain. Il y aura Vivian, la première et qu'il épousera, puis après son divorce il aura des espoirs avec Enid rencontrée à Londres, ou bien Christine qui le larguera et lui piquera sa maison, et bien plus tard, Ann, une collaboratrice sur son lieu de travail qui semblera boucler une boucle de recherches au loin, alors que sous ses yeux l'attendait son Graal. Mais le lecteur restera sur une interrogation car le roman s'achève en laissant la porte ouverte à toutes les possibilités. Les dernières pages touchant au sublime, mêlant les souvenirs d'une vie passée, l'évocation de la mort qui viendra obligatoirement un jour pas si lointain et un projet à court terme, comme un feu d'artifice final pour Philip Bowman.
Le roman a un charme fou, dû à l'écriture somptueuse de James Salter. Je me suis délecté à le lire, profitant de chaque page et m'attristant d'en voir venir la fin. Les personnages secondaires entrent et sortent, magistralement décrits, au point que parfois on s'imagine les voir jouer un rôle plus important alors qu'ils ne font que passer. Même les scènes de sexe – car il y en a – belles et crues parfois, sont splendides, je le note tant c'est rare, mais une preuve de plus du grand talent de l'écrivain.
Les critiques sont unanimes sur les qualités de ce bouquin et je ne peux que me joindre à ce concert de louanges. Roman des rêves non exaucés sans pour autant en faire une vie ratée, un très grand roman… et rien d'autre.
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Philip Bownam est un éditeur américain, on suit sa vie linéaire de sa sortie de l'armée jusqu'aux années 70, et rien d'autre !
Vie amoureuse où il rencontre Vivia, Enid, Christine, katharine et Ann. Vie professionnelle où il lit et fait éditer quelques auteurs qui feront date. Vie de voyage , de weekend campagnard, de rencontre d'amis, d'amis d'amis et rien d'autre.
Chaque paragraphe nous relate une anecdote sur l'armée, les courses de lévriers, les livres, etc, autant de digressions que de pages.
Si vous n'aimez pas les nouvelles, ce livre peut vous paraître ennuyeux mais on se laisse porter par ses myriades de petites histoires et en refermant ce livre on se dit et rien d'autre ? Étonnant.
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Le dernier roman de James Salter, au sens plein du terme car l'auteur est disparu cette année, est le regard rétrospectif jeté sur une vie, sur tout ce qui s'y est trouvé, (le titre anglais est "All that is"), amours, amitiés, passions, moments de plénitude mais aussi solitude et mélancolie.
Que reste-t-il d'une vie quand on parvient à son terme ? Juste ce que la mémoire a retenu et l'écriture préservé. Ici nous sont présentés, avec un art de l'ellipse qui est propre à James Salter, de fugitifs moments de grâce, de contemplation ou même de douleur, enserrés miraculeusement dans un réseau de circonstances casuelles, comme des pépites qui scintillent au milieu du terreau ordinaire.

Pour Philip Bowman, le héros du roman, ce sont les émotions fortes des combats de la seconde guerre mondiale et les camaraderies avec d'autres soldats, amis si proches et si vite évanouis dans l'oubli. Puis l'enthousiasme des débuts dans la vie, dans sa carrière d'assistant éditorial, dans son mariage avec Vivian, cette jeune femme si parfaite, mais issue d'une famille de propriétaires du Sud dont la culture ne coïncide pas avec la sienne, ce qui entraînera leur séparation, quand ils comprendront qu'ils n'ont rien en commun. Dès lors, de fréquentations avec écrivains et éditeurs, en rencontres amoureuses, ce qui émergera, ce sont ces temps forts des prémices d'une nouvelle liaison, qui culmine dans la première nuit d'amour et son sentiment de plénitude, d'achèvement.

Car James Salter est un peintre de l'instant, des merveilles qui sont délivrées dans d'intenses moments d'épanouissement. Parfois, en homme qui a beaucoup fréquenté ses semblables, il se laisse aller à l'anecdote et à raconter la vie des autres, une relative faiblesse du livre.
Mais quelle force dans ces évocations d'un Noël à la campagne, en pleine tempête de neige, au milieu d'hôtes inoubliables, ou d'un orage qui le rapproche de sa compagne dont la fille adolescente exerce sur lui une fascination ambiguë, ou bien d'une baignade nocturne à deux dans une mer démontée, ou encore de ce départ en train de la femme et du fils de son ami Eddins, lourd du drame à venir.

Élégance, mélancolie, éclectisme, choix de l'essentiel et mépris de l'accessoire, composent une élégie discrète qui ne s'embarrasse pas de continuité logique et saute allègrement des étapes inutiles. Ce qui reste, c'est la voix singulière d'un homme attentif à l'instant, maitre de l'évocation discrète des choses de la vie.
Lu en V.O.
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Que reste-t-il de nos vies, si ce n'est des souvenirs ? James Salter illustre de façon magistrale, dans un style simple et élégant cette pensée. Un roman qui retrace la vie de James Bowman de ses vingt ans à ses soixante ans. Un roman d'une certaine société new-yorkaise à jamais perdue qui nous rend nostalgique de ce monde. Et surtout les femmes qui ont ébloui et accompagné ce personnage tout au long de sa vie.
Un livre à lire absolument !
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Fin de la seconde guerre mondiale. Philip Bowman (tiens le même nom du héros de trois mille chevaux vapeur que j'ai adoré !) rentre à New York où il devient directeur littéraire.
On va le suivre, le long de sa vie, dans ses passions charnelles avec ses réussites et ses échecs, entrecoupées de littérature, bouffe, vin.
Difficile d'exprimer pourquoi j'ai aimé ce roman : c'est fluide, vivant, passionné, quoique la fin s'étire. Mais peut-être la cause principale est que l'on ressent, chez James Salter, le grand amoureux de la femme ? Où cette façon d'écrire qui pourrait nous faire avaler des couleuvres ?

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James Salters, je ne connaissais que de nom et avait hâte de lire son nouveau roman (alléché par la quatrième de couverture et par d'élogieuses critiques presse). Aussi Busnel ne rate pas une occasion de l'encenser, le qualifiant de l'un des plus grands écrivains américains encore vivant.
Verdict : je n'ai pas été déçu (même si j'ai été quelque peu refroidi par les critiques lecteurs Babélio très moyennes). le livre démarre sur les chapeaux de roues, avec un premier chapitre en plein dans une bataille navale sur le front asiatique de la seconde guerre mondiale. L'écriture est belle, on s'y croirait presque… Et puis voilà c'est parti, le tout jeune homme (Philip Bowman, 18 ans) rentre de la guerre, confiant en lui et s'attelle à réussir sa vie dans le contexte si mythique du New-York de l'après-guerre. Cela commence par passer par Harvard, puis de se trouver un travail de gentleman comme le dis si bien Bowman. Il rêvait d'être journaliste au New-York Times, il sera éditeur (spécialisé dans les romans) dans une petite maison d'édition ambitieuse. Ce roman, est la narration de la vie d'un homme dans un milieu mi- bourgeois mi- intellectuel à travers ses deux passions : L'amour puis la littérature.
C'est l'histoire de sa recherche de l'amour absolu, de la femme de sa vie. Cette recherche sera au coeur de sa vie, à travers différentes femmes. Les scènes d'amour et de sexe sont très réussies. L'écriture est belle. Je suis souvent revenu en arrière pour relire un très beau passage. On voyage un peu mais de très belle manière : des beaux passages sont à noter lorsque Bowman se rend à Londres où à Paris.
Salters, tout au long du roman, ponctue son récit d'une ribambelle de rapide portrait de presque tous les personnages qu'il rencontre (en extrapolant, parfois, jusqu'à à aller parler de l'ex-belle-mère de la femme de ménage de ce même personnage. C'est une des critiques qu'il lui est fait pour ce roman. Bon c'est vrai que ça peut-être perturbant (ou saoulant) parfois, mais ça ne m'a pas gêné plus que ça. Ce que j'ai trouvé louche par contre, c'est que sur une cinquantaine de personnage décrit, tous était marié ou remarié 2 ou 3 fois…
La littérature est moins présente que l'amour dans ce roman, mais elle est comme un fils rouge, avec des références ou de petites scènes.
Ce livre me restera, certaine phrase, certaine ambiance. Comment sont décrite nt les relations homme –femme. Cette recherche de l'accord parfait avec l'autre est prenante, même si le résultat est souvent pour le moins frustant, sinon souvent pire.
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L'un des grands succès de cette rentrée littéraire. J'ai découvert également cet auteur. Je n'ai pas lu "Un bonheur parfait".

J'ai beaucoup apprécié cette lecture. La vie de Philip Bowman se raconte au fil des pages. La finesse d'un homme, doublée d'un peu de naïveté, le porte d'un bout à l'autre de sa vie. Amateur de littérature et de femmes, il se laisse porter par les évènements, essayant de conjuguer ses deux passions.

Ce roman m'a fait un peu penser à "Une vie française" de JP Dubois.

Lorsque ma pile de livres en souffrance aura diminuer, je lirai avec plaisir "Un bonheur parfait".
Lien : http://caromleslivres.canalb..
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