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Lu en deux soirées, j'ai beaucoup apprécié ce roman ados / jeunes adultes.
Noémia 19 ans, étudiante, tombe amoureuse de Tristan 21 ans. Tout irait bien dans le meilleur des mondes si celui-ci ne passait pas ses journées à mendier à la sortie du supermarché Cora.
Le voir chaque jour la tracasse mais elle ne sait pas comment l'aborder, alors elle tente de lui offrir une crêpe, pour Tristan c'est un petit miracle que quelqu'un s'arrête pour lui.
Noémia qui s'attendait à un vieil alcoolo tout moche se retrouve devant un beau jeune homme. L'auteur casse les clichés avec finesse.
Si le récit souffre de quelques répétitions ça reste un très bon moment de lecture, sur un sujet peu traité.
L'auteur arrive à distiller des conseils sans jugement, non ce n'est pas facile d'aborder un sans abri
non ce n'est pas facile de savoir quoi faire, quoi dire
et oui les regards et préjugés ont la dent dure..... Tristan et Noémia arriveront-ils à les surmonter ?
Réponse en le lisant :)
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Je ne sais pas dure si j'ai aimé ou non. Au début j'ai été emballé, c'était frais, innovant, ça changeait et bousculait les codes.
Mais sans doute c'est devenu trop gros pour moi. Je dis pas que je lis un livre pour sa réalité, sinon je ne lirais pas. Seulement cette jeune fille qui se lie avec ce jeune homme comme ça, c'était trop lourd.
La fiction m'a vite laissé et j'ai eu beaucoup de mal à continuer.
Par contre mon regard a changé vis à vis des Sans-abris, apprendre la dure réalités ça fait mal, c'est inhumain et cruelle ce qu'on leur fait vivre. Ça m'a permis d'ouvrir et les yeux et d'arrêter les préjugés stupides que l'on nous fait absorber.
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Célia Samba est une jeune autrice de 22 ans. Écrivaine en herbe, elle a gagné un concours d'écriture organisé par Hachette Romans. Il s'agit d'un roman engagé pour « faire naître une réflexion et amener un changement positif ».
Les deux personnages principaux sont Noémia et Tristan.
Noémia, dite Mia, est une jeune femme fragile ayant subi un traumatisme dans son adolescence. Elle a 19 ans et étudie le droit à Paris. Elle partage une colocation avec son cousin, Valentin, et sa cousine, Joana, qui sont frère et soeur. La vie est « normale » pour eux, ils ont un logement, ils mangent à leur faim et font des études. Alors que Tristan, 23 ans, est SDF. C'est la période de noël, il fait très froid. Sa préoccupation quotidienne est de savoir où dormir.
Mia et Tristan se croisent tous les jours devant la gare ou le supermarché où il fait la manche. Elle tergiverse beaucoup, n'ose pas lui parler ou lui offrir à manger. Un soir, elle prend son courage à deux mains et va lui offrir une crêpe. Ainsi commence le début de leur amitié. Chacun s'enquérant de l'autre mais le fuyant aussi par honte ou en pensant le/la protéger.
L'histoire alterne entre les points de vue des différents personnages, on a les sentiments de chacun et on se rend compte que l'autre ne pense pas forcément la même chose. Tout est sujet à interprétation ou sert de carapace pour se protéger. Car chaque personnage a ses fêlures qui apparaissent au lecteur au fur et à mesure qu'il avance dans le roman.
L'histoire est touchante, les personnages attachants, même si je les ai trouvés stéréotypés. Présentée aussi comme une romance, une des questions de ce roman est « Peut-on tomber amoureuse d'un SDF ? »
L'autrice nous donne des bribes sur leur passé. On aimerait parfois avancer plus vite dans l'histoire. J'ai trouvé qu'il y avait quelques longueurs et notamment la scène dans le bar n'apporte pas grand-chose à l'histoire. Il y a parfois trop de personnages à mon goût, j'aurais préféré que le roman se recentre sur les 2 personnages principaux.
Ce qui m'a le plus intéressé, c'est la réflexion sur les sans-abris : les difficultés de la vie dans la rue, les dangers, la solitude, les barrières mentales qui naissent de cette situation, la perte de confiance en soi, l'image renvoyée aux autres.
Plus jeune, Célia Samba dit qu'elle n'était pas à l'aise avec les sans-abris et baissait la tête pour ne pas croiser leur regard. Puis cette phrase de l'abbé Pierre l'a touchée : « un sourire coûte moins cher que l'électricité, mais donne autant de lumière. »
« Un soir, j'ai donné une crêpe à un monsieur SDF qui portait un bonnet Pikachu. de ce bref échange est né le désir d'écrire une histoire dont le personnage principal serait un sans-abri. »
Tout à la fin du livre, elle donne la parole à l'association La Cloche (« résonnons solidaire ») : www.lacloche.org. Quelques explications sont données sur cette association inclusive, les commerces solidaires et une sensibilisation au comportement à avoir quand on croise des personnes sans-abris afin de casser les clichés : « parce qu'on existe tous à travers le regard de l'autre ».
L'écrivaine propose deux fins aux lecteurs. J'aurais préféré qu'il n'y en ait qu'une seule mais je comprends sa démarche. Elle pousse le lecteur à se poser la question : Et vous, que feriez-vous ?
J'ai trouvé ce roman intéressant, une lecture agréable pour moi. Je suivrai avec plaisir cette jeune autrice.
Merci à Netgalley pour cette lecture.
Lien : https://joellebooks.fr/2021/..
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Quand j'ai découvert ce roman, j'ai immédiatement repensé à celui de Delphine de Vigan, No et moi, que j'avais lu avec beaucoup d'intérêt et d'émotion, ainsi qu'au film Les Invisibles de Louis-Julien Petit, qui traite aussi le délicat sujet de la vie dans la rue et de la réinsertion.
L'histoire débute en décembre, il fait froid. Noémia, étudiante en droit, va croiser le regard d'un SDF, Tristan. Touchée par la précarité du jeune homme, elle surmonte sa timidité pour lui apporter un peu de chaleur, en lui offrant une crêpe. Chacun cache ses propres blessures, sa vulnérabilité... Cette fragilité commune semble attirer ces deux-là comme des aimants, mais leurs deux mondes, si opposés, peuvent-ils vraiment se rejoindre ?
J'ai aimé ce roman miroir de notre société et des différents regards qu'elle peut porter sur les sans abris : empathie, compassion, culpabilité, rejet, peur, méfiance, indifférence... Je me suis attachée à Tristan et Noémia, moins aux personnages secondaires qui m'ont paru moins réalistes.
L'auteure laisse le choix entre deux fins ; cette alternative, à laquelle je ne m'attendais pas, m'a déroutée ! J'aime qu'un écrivain me conduise vers une issue unique, mais ce n'est que mon goût personnel.
Je remercie Netgalley et Hachette pour la découverte de ce roman engagé.
#NetGalleyFrance
#Laruequinousepare
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Célia Samba signe là un joli premier roman ; un récit sensible sur un sujet que l'on commence à voir dans la littérature contemporaine : le sort des sans domicile fixe. On y sent quelques touches autobiographiques dans la jeunesse de Mia, l'héroïne principale, son statut d'étudiante et son empathie pour qui souffre d'une forme de rejet quelconque. Sa prise de conscience de la grande détresse des sans- abris est expliquée dans les notes à la fin de l'oeuvre. Inventer une histoire d'amour entre une étudiante et un jeune homme qui vit dans la rue est devenu, on le comprend vite, une évidence pour elle.

« Chaque jour, en rentrant des cours, elle traversait la rue pour le croiser. Lorsqu'elle arrivait à sa hauteur, il la saluait dans un murmure ; parfois, ses lèvres s'étiraient furtivement, le temps d'éclairer les traits tirés de son visage. Elle ralentissait l'allure, fossettes aux coins des lèvres. Sa gêne se mêlait au désir de lui parler, nouait son ventre. Les secondes lui semblaient s'allonger quand il la regardait. Mais que dire ? » Un jour d'hiver, le regard de Mia rencontre celui de Tristan. Il fait froid, elle vient de s'acheter une crêpe chaude qu'elle s'apprête à savourer. Lui fait la manche, assis sur le trottoir froid. Et si elle lui donnait sa crêpe ? Non, elle n'ose pas. Son geste avorté va la tourmenter et la pousser à vouloir aider le jeune homme, à tenter de connaître son histoire et les raisons qui l'ont poussé à la rue…

« C'était un de ces matins où Tristan ne voulait pas ouvrir les yeux. L'air glacial empestait la pisse et le tabac froid, mais, caché dans le noir de ses paupières closes, il pouvait s'imaginer ailleurs que dans le squat miteux où il avait passé la nuit. L'obscurité lui faisait miroiter les délices d'une autre vie... » Les deux jeunes gens s'apprivoisent doucement, se cherchent, nouent un lien amical prêt à tout moment à basculer en histoire d'amour, mais les préjugés, le regard des autres vont entraîner un sentiment de honte partagée, des évitements, des rendez- vous loupés. Tristan saura- t- il accepter le regard des cousins de Mia ? Celle- ci saura-t-elle faire entrer le jeune homme officiellement dans sa vie, au mépris des « convenances » ?

Ce roman « young adult » se lit facilement même lorsqu'on a l'âge d'être les parents des protagonistes. C'est un récit plein d'empathie qui nous rend les personnages très sympathiques, tout en pointant du doigt notre égocentrisme. Qui parmi nous s'intéresse au sort des SDF qui mendient devant la porte de leur boulangerie ? C'est un roman qui m'a bien évidemment fait réfléchir. Et personnellement, j'aurais préféré que l'auteure ne nous propose pas de fin alternative toute douce, pour laisser son lecteur sur un goût bien amer en bouche. Si je devais le relire, j'ignorerais la quatrième partie…
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« Ne laisse pas leur manque d'humanité te faire perdre la tienne. »

D'un côté, Mia est étudiante en droit et vit en colocation avec ses cousins. de l'autre, Tristan est sans-abri. Lorsque Mia rencontre Tristan, elle a envie d'apprendre à le connaître. Au départ, elle hésite à lui offrir quelque chose, elle commence par un regard, un sourire, puis un bonjour.

J'ai beaucoup aimé cette lecture que j'ai lu peu de temps après « No et moi ». « La rue qui nous sépare » aborde les difficultés de vivre dans la rue, le quotidien des sans-abris. le sujet du sans-abrisme est loin d'être le seul. D'autres sujets tabous sont abordés au fil des pages : le viol, l'harcèlement scolaire, drogue, ... L'autrice prend le temps de construire son histoire et montre que les préjugés sont toujours présents et pas toujours faciles à surmonter.

En alternant la narration entre Mia et Tristan, on apprend à les connaître. Cette double narration est l'un des points forts de ce roman, grâce auquel on découvre les pensées des deux personnages principaux. J'ai beaucoup apprécié les personnages qui sont bien écrits et très attachant. Tristan doit se faire violence pour accepter qu'il est toujours une personne respectable. Mia choisit de surmonter ses préjugés et les « on dit » pour se convaincre qu'elle s'attache à Tristan.

Le roman compte deux fins, la première est réaliste et la seconde termine avec un « Happy End ». J'ai été surprise qu'il est deux fins, d'une part parce que à la fin de la lecture de la fin réaliste, je me suis demandé ce que l'autrice pouvait encore raconter au vu du final. Surprise, une fin alternative ! Bref, j'ai beaucoup aimé avoir deux fins que tout oppose.

La plume de l'autrice est fluide et se lit très facilement.

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"La rue qui nous sépare" est le premier roman de Célia Samba, qui a pu être publiée grâce à un concours. Et elle mérite de l'avoir gagné, ce concours. Dans ce titre destiné à la jeunesse, l'autrice aborde un sujet engagé mais "casse-gueule" : les "Sans Domicile Fixe". Dans son texte, l'autrice est particulièrement lucide quant à la réalité. Qui, parmi nous, échappe totalement aux idées préconçues ? A l'idée de "honte sociale" ? Célia Samba nous met face à nos préjugés, notre incapacité à assumer, nos (mauvais) réflexes face à la pression sociale et au regard des autres. Elle rend bien la complexité de la situation. On peut vouloir lutter contre nous-même...mais ce n'est pas si évident. 

J'ai aimé l'idée des deux fins : la fin triste mais réaliste et la fin qui fait rêver. On a le choix. Et j'ai trouvé ça plutôt sympathique. 

Un livre à mettre entre toutes les mains à partir d'une dizaine d'années.



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Merci à NetGalley et aux éditions Hachette de m'avoir permis de lire ce roman.
Noémia est étudiante en droit, un soir alors qu'elle rentre dans l'appartement qu'elle partage avec son cousin et sa cousine, elle croise la route de Tristan qui fait la manche devant le supermarché. Son regard est d'abord attiré par son bonnet Pikachu et elle a spontanément envie de lui offrir une crêpe au sucre, mais gênée par son geste qu'elle juge potentiellement inconvenant elle renonce. Les jours suivants elle est pleine de regrets et ne cesse de penser au jeune homme… Elle va finir par lui offrir cette fameuse crêpe mais surtout il va de plus en plus occuper ses pensées jusqu'à ce qu'elle admette qu'il l'attire et qu'elle voudrait mieux le connaître, même si elle n'est pas sûre d'assumer cette relation au grand jour.
On sent l'autrice très appliquée, elle prête à ses personnages beaucoup de réflexions intérieures, d'atermoiements et de questionnements, ce qui lui permet de bien rendre la complexité de la situation et des personnages, mais ce qui peut aussi être un poil agaçant par moments. On sent que l'autrice veut bien faire, décrire au mieux les situations mais cela donne un côté un peu artificiel au récit et aux personnages. Cette volonté de nous faire adhérer à l'histoire et entrer en empathie avec les personnages, blessés et peu sûrs d'eux, même si elle est tout à fait louable, rend les dialogues et le récit moins naturels. A mes yeux il y a trop de bons sentiments et d'échanges maladroits. Il faut dire aussi que les histoires d'amour ce n'est pas ma tasse de thé ce qui explique sans doute en partie mon manque d'intérêt, mais le côté atypique de celle-ci, le sujet des sans domicile fixe et les critiques positives m'avaient donné envie de découvrir ce roman malgré tout. Au final, ce n'est malheureusement pas une lecture qui m'a enthousiasmée, je l'ai trouvé souvent « too much », et je suis passée complètement à côté.
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Bouleversant. C'est le premier mot qui me vient à l'esprit en refermant ce livre. 

La rue qui nous sépare, c'est une histoire de rencontre : celle de Noemia, 19 ans, étudiante sur Paris, vivant en colocation avec ses cousins, et de Tristan, 21 ans, SDF. 

Tout au long du livre, nous allons suivre ces deux personnages et nous assistons à l'évolution de leur relation. La timidité du premier bonjour est vite remplacée par la chaleur de l'amitié, une complicité qui se met en place, la naissance d'un amour peut-être ? Et pourtant, les choses ne sont pas simples. La rue est comme une barrière, qui empêche Tristan et Mia d'envisager autre chose qu'une amitié. Et encore. 

La situation de sociale de Tristan se pose là, comme un handicap. Comment aimer une fille normale quand on n'a pas un rond, même pas un toit au-dessus de la tête et un avenir incertain ?

J'ai beaucoup aimé cette histoire. Je l'ai trouvée très touchante. Les personnages sont très attachants, on a envie qu'il leur arrive quelque chose de bien.

La plume de Célia Samba est très agréable à lire. C'est doux, bienveillant. J'ai aimé aussi que l'autrice nous laisse le choix entre la réalité et ce qu'on voudrait lire. (Vous comprendrez quand vous le lirez)

Ce fut vraiment une belle lecture, que ne vous recommande. Et je remercie chaleureusement NetGalley et Hachette pour m'avoir permis de découvrir cette histoire.
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Je tiens un compte instagram sur lequel je publie mes chroniques : labibliothequedepam

« Un sourire coûte moins cher que l'électricité mais donne autant de lumière. » L'Abbé Pierre

Noémia a dix-neuf ans, Tristan vingt et un. Ils se croisent tous les jours, ils se plaisent, c'est évident. Mais Noémia est étudiante et Tristan est sans-abri. Entre eux, il y a le froid, la société ?

Entre eux, il y a la rue....qui est difficile à traverser.

Plus qu'une rue c'est tout un monde qui sépare Noémia et Tristan, et pourtant, un simple geste, un acte de générosité va réussir à rapprocher ces deux êtres que tout oppose. Malgré le fossé qui les sépare, ces deux êtres sont abîmés par la vie et leurs cicatrices les empêchent de surmonter leurs peurs les plus profondes.

Célia Samba a choisi de mettre en lumière un problème de société que nous côtoyons quotidiennement et que nous ignorons bien trop souvent. Elle a choisi de briser le cliché du sans-abri seul avec son chien, la cinquantaine pour dresser le portrait d'un jeune homme qui avait tout pour réussir. L'histoire de Tristan, ça pourrait être la nôtre car du jour au lendemain, tout peut basculer et nous précipiter dans la rue. C'est un livre très touchant qui donne à réfléchir, qui bouscule les préjugés et qui montre qu'un détail, un simple geste peut tout changer, que chacun de nous peut agir. En effet, Célia Samba propose deux fins, l'une tragique, l'autre heureuse. C'est un parti-pris assez surprenant, beaucoup de lecteurs lui reprocheront de ne pas avoir fait un choix assumé, moi je la remercie de nous offrir le choix et surtout de ne pas malmener mon petit coeur romantique. Vous comprendrez aisément quelle fin j'ai préféré.

C'est une lecture poignante empreinte d'espoir, la narration à la troisième personne permet de cerner la psychologie des personnages mais aussi et surtout, de prendre conscience que dans toute relation, la communication est primordiale.

Je remercie Célia Samba d'avoir écrit ce livre et de m'avoir fait comprendre que je ne devais pas détourner le regard quand je n'avais rien à offrir aux sans-abris que je croise dans la rue, mais qu'au contraire, un simple bonjour accompagné d'un sourire suffit à égayer leur journée.
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