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Alcatraz (Brandon Sanderson) tome 2 sur 6

Juliette Saumande (Traducteur)
EAN : 9782740426678
300 pages
Mango (20/08/2010)
3.84/5   58 notes
Résumé :
Flanqué de sa cousine Australie (dont le Talent est de se réveiller avec une tête de déterrée), de son oncle Kazan (dont le pouvoir est de se perdre) et de l'indomptable Bastille, Alcatraz part à la recherche de son père qui aurait disparu dans la terrible Bibliothèque d Alexandrie. Mais il ne fait pas bon s'y promener car les Conservateurs qui y travaillent n'attendent qu'une chose : s'emparer de l'âme des curieux qui veulent emprunter leurs livres...

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Critiques, Analyses et Avis (16) Voir plus Ajouter une critique
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Avec la série "Alcatraz", Brandon Sanderson apporte de belle façon sa contribution au genre "littérature jeunesse".
Dans ce deuxième tome, les bases sont désormais posées et l'on se retrouve immédiatement dans l'action dès le premier chapitre, ça va être rythmé tout du long, on n'aura pas le temps de s'ennuyer !
L'univers proposé se bonifie et on en apprend un peu plus sur la guerre que se livrent les "Royaumes libres" et les (infâmes) bibliothécaires, un peu plus sur la famille Smedry et les dons de ses membres, pouvoirs qui se révèlent aussi étranges que précieux comme arriver en retard ou encore se perdre systématiquement.
Nous passerons l'essentiel de cette histoire dans la fameuse bibliothèque d'Alexandrie qui existe bel et bien (hé oui !), cela dit réfléchissez bien avant d'emprunter un bouquin...
le parti pris narratif est identique au tome précédent avec un auteur qui s'adresse à nous avec humour à chaque chapitre par l'intermédiaire d'Alcatraz, ce qui en fait la particularité de cette série.
Ce qui ne change pas c'est cet humour constant et omniprésent, tantôt fin, tantôt absurde et toujours espiègle, nous sommes résolument dans une comédie qui ne se prend pas au sérieux, un peu comme dans un dessin animé aux multiples rebondissements.
L'idée des verres aux propriétés magiques que seul un "oculateur" peut utiliser est parfaitement mise en valeur et permet quelques combats dans le genre "super héros" assez réussis.
A l'arrivée il s'agit d'une belle récréation, pour ma part j'aime beaucoup !
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Suite des aventures complètement barrées de ce personnage !!

Contrairement au « vieux qui ne voulait pas fêter son anniversaire », j'ai pris énormément de plaisir à lire ce bouquin, l'histoire suit une certaine logique et les évènements s'enchaînent vite. Mais la partie loufoque vient de la narration, le personnage s'adresse directement à nous en nous faisant croire que ce qu'il raconte est véridique et qu'il nous faut le croire sur parole alors qu'il dit lui-même être un menteur. Vous voyez la logique ? Chaque début de chapitre est ainsi à sauter car il nous raconte des bêtises destinées à nous embrouiller sachant que l'histoire en elle-même est compliquée à suivre puisqu'elle se base sur un monde en partie inventé dont nous n'avons que quelques indices sur le fonctionnement réel. Nous sommes d'ailleurs comme Alcaraz dans ce monde, un peu perdus, car il n'y est pas naît et n'apprend qu'au fur et à mesure de ses aventures son fonctionnement et les différences avec le monde dit réel. Pour ma part, au début, j'ai eu du mal à me remettre dans le bain car j'ai lu le premier tome il y a au moins 3 ans. Je me souvenais de l'univers complexe et barré mais pas des détails concernant les Bibliothécaires, les Smedry, les Talents et Crystallia. Bien qu'avec ce tome 2, l'auteur nous fait voyager et nous apprend ainsi une nouvelle partie des subtilités très particulières de son univers complètement loufoque.

Dans ce tome, nous suivons Alcatraz au moment d'une extraction risquée où il rencontre des membres de sa famille ainsi qu'il retrouve sa chère Bastille. Suite à une décision de sa part, ils partent sur les traces de son grand-père à la Bibliothèque d'Alexandrie. Elle est loin d'être comme on pourrait se l'imaginer. Elle est gardée par des spectres aux règles très rigides. Alcatraz et ses amis vont devoir chercher son Papy tout en évitant les pièges des spectres et autres malfaisants.

Comme vous l'aurez compris, ce 2ème tome a été une lecture jubilatoire et il me tarde de continuer à lire la suite des aventures rocambolesques d'Alcatraz et d'apprendre à mieux connaître ce monde original. Je vous conseille donc très fortement de découvrir cette série jeunesse où le personnage principal est complètement barjo et se prend beaucoup trop au sérieux. Mais si vous arrivez à le prendre pour ce qu'il est vraiment, vous passerez un excellent moment de lecture et de détente. Pour ma part, je lirais sous peu les 2 derniers tomes de cette série.

Sur ce, bonnes lectures à vous :-)
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Alcatraz rate son rendez-vous avec son Papi qui est sur les traces d'Attica, le père disparu d'Al. Il se serait rendu dans la grande bibliothèque d'Alexandrie, lieu dangereux entre tous car les Conservateurs mettent tout en oeuvre pour s'emparer de votre âme.
Flanqué de Bastille, de son oncle Kazan qui a le talent de se perdre et de sa cousine Australie dont le talent est de se réveiller avec la tête de quelqu'un ou de quelque chose d'autre, Alcatraz va tenter de sortir son grand-père de ce guêpier et peut-être même retrouver son père.
Comme on connait désormais les particularités des Royaumes libres, ce tome ne présente pas vraiment de surprises hormis de nouveaux personnages.
Les incursions systématiques de l'auteur-narrateur sont à mon goût plus gênantes qu'amusantes…
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Ce tome 2 m'a beaucoup moins emballé que le premier et c'est surtout sur deux points.
Le premier concerne l'humour de l'auteur, que je trouve ici lourd, redondant, ne faisant pas mouche et n'étant pas aussi fin que dans le premier tome. Là où cela fonctionnait et amenait un sourire, un rire ou carrément un fou rire, ici, tout ne prête qu'un vague sourire. C'est même limite si certaines scènes, notamment lorsque l'auteur s'adresse au lecteur en insistant sur un point, ne sont pas lourdingues. Alors peut être que cela passe avec le public ciblé après tout...
Second point qui m'a gêné, l'apparition de trois nouveaux personnages. Ils sortent de nulle part, sont intégrés illico au récit mais on ne sait rien d'eux et on n'en apprend pas guère plus tout au long de l'histoire. D'ailleurs en parlant d'histoire, ici aussi le bât blesse, car il n'y en a pas vraiment. On assiste ni plus ni moins qu'à une succession de scènes d'actions qui s'enchaînent les unes derrière les autres sans réelle motivation. Là aussi peut être que cela fonctionne avec le public cible, mais pour moi, c'est ennuyeux.
On notera tout de même quelques rebondissements à la Brandon Sanderson, tels qu'ils les maîtrisent, et il nous montre d'ailleurs tout son talent encore une fois...
On ne va pas bouder, mais un peu quand même!
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Quel est le roman de Brandon Sanderson que vous préférez ?

Est-ce que ça vous dit de découvrir un monde où les pouvoirs sont des choses que l'on considère en temps normal comme un défaut ?

Bienvenue dans la vie d'Alcatraz Smedry. Un jeune orphelin de 13 ans adroit comme un manchot aveugle. Pour son anniversaire, il va recevoir du sable dans un petit sac.

En même temps, il va se découvrir de la famille : un grand-père déjanté, des cousins et un oncle. Les bibliothécaires sont des êtres malfaisants ne souhaitant pas que du bien au monde. Cette petite troupe va partir à l'aventure pour sauver l'humanité de leur griffe.

Se réveiller avec une tête de déterré, se perdre, danser comme un pied, tout casser... Tant de Talent inhabituel vont animer le roman de Brandon Sanderson avec cet intégrale des quatre tomes de la saga.

Je trouve l'idée des Talent excellente. Ça permet de relativiser sur les "défauts" que nous pouvons avoir. En effet, ces derniers peuvent devenir des qualités quand c'est bien exploité ou alors bien analysé. le fait d'avoir des lunettes au lieu de baguettes magiques est plutôt innovant.

Mais par contre, j'ai détesté la narration où le narrateur nous coupe sans arrêt pour parler d'autre chose. C'est censé être humoristique, mais j'ai trouvé ça d'une lourdeur sans nom.

L'histoire promettait quelque chose de nouveau et d'intéressant, mais j'ai trouvé que l'intrigue traînait en longueur et qu'elle ne s'était pas beaucoup renouvellé.

Sans oublier le traitement des personnages avec lequel je n'ai pas été convaincu. Alcatraz n'est qu'un gosse perdu. Les autres sont plutôt insipides.
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Citations et extraits (19) Voir plus Ajouter une citation
Rien qu'aux États-Unis, des milliers de titres sont publiés tous les ans. La plupart relèvent de la « littérature » (des histoires où il ne se passe rien) ou bien de la fiction débile sur des régimes affreusement ennuyeux (comme les régimes).

(Ces bouquins ont beau être nuls, ils n'en ont pas moins une utilité. Leur but est, évidemment, de faire en sorte que leurs lecteurs se sentent mal dans leur peau. Ainsi, les Bibliothécaires les contrôlent plus facilement. Le plus sûr moyen de se sentir déprimé, c'est de lire un ouvrage de « développement personnel ». En deuxième position viennent les œuvres littéraires sordides qui vous filent le bourdon et vous font désespérer de l'humanité en général.)
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Fichu Talent. Bénédiction et malédiction deux en un. Je ne le laissais plus me contrôler, mais je ne le maîtrisais pas encore complètement non plus. C'était un peu comme si on avait la garde alternée de ma vie, lui et moi. Je n'avais qu'un week-end sur deux et quelques vacances.
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C'est un stratagème très courant. Certains conduisent des voitures de sport pour que personne ne pense à regarder du côté de leur minuscule maison. D'autres ont des tenues aux couleurs pétantes pour dissimuler leur personnalité (hélas) terne. D'autres encore parlent très haut alors qu'ils n'ont rien à dire.
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Les écrivains (en particulier les conteurs comme moi) écrivent sur les gens. Ce qui est très ironique étant donné que nous n'y connaissons en fait rien.
(…)
Les écrivains haïssent l'humanité. Si vous en avez déjà rencontré un, vous savez que ce sont des individus gauches et débraillés qui vivent sous les escaliers, crachent sur les passants et, six jours sur sept, oublient de se laver. Et encore, ceux-là ne sont pas les pires.
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- C'est juste que... repris-je. Ben, je pensais qu'avec toute leur magie et compagnie, les Royaumes Libres auraient éradiqué le nanisme.
- Ils n'ont pas éradiqué la stupidité non plus, rétorqua-t-il. Je crois qu'on ne peut rien pour toi.
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