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3,61

sur 2048 notes

Critiques filtrées sur 2 étoiles  
Je n'ai pas du tout aimé ce livre où il est question d'un homme aux abois près à se suicider et d'un autre qui lui tend la main pour ensuite en faire sa chose. Je suis passée à côté du message philosophique (il y en a toujours un avec E. E. Schmitt) et me suis ennuyée... il faut dire qu'il y a un côté malsain auquel j'ai d'emblée du mal à adhérer.
Il ne faut vraiment pas commencer par ce livre pour découvrir cet auteur qui a écrit de belles pépites.
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Après avoir lu de nombreuses critiques sur l'oeuvre d'Eric Emmanuel Schmitt "lorsque j'étais une oeuvre d'art" je me suis enfin décidée. Je dois admettre que malgré les bonnes critiques, j'ai eu du mal à rester accrochée jusqu'a la fin et à apprécier cet univers si peu ordinaire et si "spécial".
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Original mais j ai préfère "clara et la pénombre" lu il y a longtemps et traitant du même sujet.
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Le thème est un peu gore pour moi et la fin trop attendue. Un homme, sur le point de se suicider, est récupéré par un artiste moderne qui le remodèle à sa façon.
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Personnellement, je n'ai pas vraiment aimé ce roman d'Éric-Emmanuel Schmitt. Cependant j''ai trouvé qu'il était particulièrement original. Au départ, nous ne savons pas le prénom du narrateur. Nous ne le connaissons pas vraiment. On découvre un jeune homme, en haut d'une falaise et prêt à se suicider, après de nombreuses autres tentatives, il espère qu'une seule chose, que cette fois-ci, ça marche. Pour ce jeune homme, il n'est rien, et surtout il ne sert à rien. Mais, un homme, qui se nomme Zeus Peter Lama, va lui demander 24 h, pour essayer de "changer" sa vie. Et donc, le corps du jeune homme va être "transformé" en oeuvre d'art. Je pense que la vision du jeune homme (Tazio Firelli) sur le monde va changer quand il va rencontrer un peintre, le peintre Hannibal. En fait, Tazio Firelli (qui prendra le nom d'Adam bis en tant qu'oeuvre), va découvrir les avantages et aussi les inconvénients d'être considéré comme un objet d'art. Cela m'a été un petit peu difficile de rentrer dans le contexte de l'histoire. La fin de l'histoire, je l'imaginais déjà, donc l'auteur ne m'a pas surprise. En conclusion... pourquoi je n'ai pas vraiment aimé? parce que je pense que c'est une histoire mais sans plus, ... Sans plus car on est en quelque sorte pris dans l'histoire en la lisant mais on l'oublie vite après. En tout cas, ça ne restera pas un très grand souvenir pour moi....
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Le physique... un problème qui peut s'avérer de taille quand on cherche à se comparer aux mannequins.

Et, c'est ça l'histoire. le physique, on a tous voulu, un jour changer quelque chose de soi. le héros arrive à un tel point de non-retour qu'il veut mourir. Vouloir se sentir beau et aimer et quand on y arrive pas, on est prêt à tout, même à donner son corps au premier passant. Non pas pour se prostituer, mais pour voir s'il est possible de mieux. Se laisser convaincre que l'on est beau alors que c'est tout le contraire et inversement. Car le regard des autres est tellement important.

Les personnages, pour la plupart son vaniteux et imbus de leur personne. Seul le paraître est important. L'intelligence n'a pas lieu d'être, d'où le "soit beau et tais-toi" prend tout son sens.

Ce livre met en avant, le physique, le psychique.
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Ce roman m'a vraiment laissé une impression mitigée. C'est comme toujours avec cet auteur bien écrit. Mais là, ça m'a été un peu difficile de rentrer complètement dans le sujet. C'est idiot mais j'ai éprouvé un certain malaise dû au fait que cet homme (qui parle à la première personne) s'en remette totalement à l'artiste et perde complètement son identité. C'est renforcé par le fait qu'on ne sait pas son nom. de plus, il devient une oeuvre d'art mais n'est jamais décrit en tant que tel : on sait qu'il y a eu chirurgie, mais rien n'est fixe, certainement pour que le lecteur puisse se faire une idée par lui-même.

Par contre, j'ai nettement plus apprécié la seconde partie du roman, à partir du moment où l'oeuvre rencontre la jeune fille et son père. On retrouve à cet instant-là la verve et le ton des autres romans d'EE Schmitt.

En résumé : j'ai été dérouté et ne le recommanderais pas à tout le monde.
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Oui, du Schmidt, pas l'ex CEO de Google, mais du E.E. Schmidt.

Alors ça part d'une idée aux extrêmes excellentes, je trouve. Après comme d'autres à part "la part de l'autre", je suis resté sur ma faim.

Un homme devient une oeuvre d'art.
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Le roman débute sur la présentation d'un homme qui veut se suicider. de lui, on sait seulement les raisons qui le poussent à vouloir disparaître. Pour lui-même, il n'est rien, il ne sert à rien. D'ailleurs, on ne connaît ni son prénom, ni son passé. Un artiste opportuniste l'attendait justement, et lui demande de lui accorder 24h. A mesure que l'on découvre le projet de l'artiste, on découvre aussi notre ex-suicidaire. Ces deux-là montent ensemble un projet, celui qui amènera notre artiste à la gloire suprême, et notre héros à ce qui lui a toujours manqué, la notoriété, la reconnaissance. Nous y voilà. Ce roman, sous couvert d'une atmosphère à la Tim Burton, traite de notre société actuelle : le culte de la beauté, la société de consommation, la recherche de la reconnaissance par la gloire, l'argent, l'adulation et l'abêtissement des foules face à ces phénomènes. le génie reconnu de l'artiste tient bien plus aux artifices dont il ébloui les badauds qu'à son oeuvre. Et notre héros est devenue une chose. Et ça ne choque personne. Qui aujourd'hui n'achète pas les nouveaux Danette chocolat-noisette?
Eric-Emmanuel Schmitt a entouré son roman d'une atmosphère vraiment particulière (à laquelle je n'ai d'ailleurs pas du tout accroché), probablement parce qu'un roman traitant de ces sujets dans un cocon plus "banal" serait passé comme une lettre à la poste dans les esprits. Enfin c'est ce que je pense. Quoi que, un roman où tout ressemble au monde d'Alice au pays des merveilles peut également donner l'impression d'être dans un conte complètement déconnecté du monde. A chacun sa lecture donc, mais ça ne restera pas un grand souvenir pour moi.
Lien : http://readviewed.skyrock.co..
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L'analyse est intéressante mais je n'ai pas été sensible au personnage.
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