Marée blanche

Île de Ré. Été 2018. Pendant que l'équipe de France se rapproche de la finale lors de cette coupe du monde qui lui vaudra sa deuxième étoile, Paul, Laurent, Jordan et Théo, marins pêcheurs de profession, rentrent sur leur île après une pêche fructueuse, bien qu'inattendue. En effet, ont été pris dans leurs filets quarante kilos de cocaïne. D'abord partants pour transformer la poudre en billets de banque, ils déchanteront vite en comprenant que ce n'est pas aussi simple et que ce butin peut être source d'ennuis avant même de commencer à pouvoir l'écouler. Trois d'entre eux enterreront finalement leur part, pendant que le quatrième le cachera à portée de nez... Mais il suffit que l'un d'eux parle un peu après quelques verres pour que les drames et catastrophes s'enchaînent...

Paul, à qui Gaël Séjourné a octroyé le rôle de narrateur, raconte de son point de vue cet enchaînement de drames : overdose, course-poursuite, menaces, disparitions et meurtres. le quatuor s'enlise plus profondément dans des situations dont ils ne peuvent sortir, tout en emmenant avec eux leurs proches. de drames en catastrophes, il est maintenant trop tard pour rejeter la dope à la mer...

L'histoire, menée tambour battant, fait preuve de rebondissements sensationnels. Alors qu'elle va de mal en pire, Gaël Séjourné n'en oublie pas pour autant d'y insérer des thèmes plus réjouissants, comme l'amitié, l'amour, le foot, les relations familiales, l'arrivée d'un bébé, venant égayer quelque peu l'ensemble des événements. Les jeux de mots involontaires des jumeaux (bouquet mystère, Alfa Rodéo, faire la vodka du diable), histoire de les faire passer pour plus bêtes encore, ajoutent même une petite touche de fantaisie, mettant le sourire aux lèvres.

Donc oui ici, il nous est bien démontré quels ravages peut faire la cocaïne et son trafic, sans même d'ailleurs avoir eu besoin de s'en faire une ligne, sans même avoir eu besoin de l'écouler. Les drames s'enchaînent mais sans oublier de mettre en avant une dimension humaine non négligeable. Tout se déroule très vite, on passe également très vite d'une scène à l'autre ou d'un personnage à un autre, mais l'intrigue est tout de même bien menée et les personnages saisissants.

Côté graphique, je n'ai rien à lui reprocher. Les dessins sont finement bien réalisés, très réalistes, animés, usant de couleurs chaudes en harmonie avec la période estivale et d'un jeu d'ombres et de lumières épatant. L'île de Ré est joliment dépeinte, avec ses plages, ses touristes, sa vie animée, le beau temps, l'ambiance footballistique et vacancière. Certains paysages, mettant en scène l'océan et la plage notamment, sont superbes.

Reçu et lu dans le cadre d'une masse critique privilégiée, je remercie Pierre de Babelio pour la sélection et les éditions Delcourt pour l'envoi de ce bel ouvrage.

Première question : si vous découvriez quarante kilogrammes de cocaïne perdus dans l'océan, que feriez-vous ? Deuxième question : l'effet papillon, vous connaissez ?

Cette aventure est celle qui arrive à Paul, Laurent, Jordan et Théo, l'équipage d'un bateau de pêche, le Fargo. Ces quatre hommes sont chacun marqués par la vie, un divorcé qui a du mal à communiquer avec sa fille, un célibataire endurci, un jeune père de famille, un adolescent pas encore tout à fait adulte.

La drogue, c'est l'argent facile, la possibilité de planer, c'est tentant. Mais la cocaïne, c'est aussi la prise de trop ou trop dosée et la fréquentation de délinquants qui peuvent attirer de très gros ennuis, voire provoquer la mort.

Gaël Séjourné développe son idée sans qu'aucun personnage, victime collatérale, ne soit oublié. Il fait référence à de nombreuses reprises à Scarface, en allant vers la violence pour dénoncer la violence. Ce livre, avec ses dessins assez classiques, a un scénario plein de rebondissements.

Je pense que cette bande dessinée adulte pourrait également s'adresser à des jeunes adultes pour introduire une réflexion sur les activités qui semblent à première vue procurer de l'argent facile, mais en étant illicites, n'apportent que des désagréments majeurs.

Je remercie Babelio et les éditions Delcourt pour cette découverte très intéressante et rythmée. La diversité et la richesse du catalogue de cet éditeur est toujours source d'un grand plaisir pour les amateurs de bandes dessinées !

Voici mon retour de lecture sur la bande dessinée Marée Blanche de Gaël Séjourné.
Été 2018, Île de Ré, alors que l'équipe de France de football va vers sa deuxième étoile..
Quand l'équipage du Fargo remonte d'étranges paquets dans ses filets, il ne s'attend pas à 40 kilos de cocaïne.
Théo, Laurent, Paul et Jordan se partagent leur trouvaille et jurent de n'en parler à personne, espérant écouler leur trésor compromettant.
Sauf que rien ne se passe comme prévu..
Marée blanche est une aventure stupéfiante qui m'a beaucoup plu.
Déjà, j'ai tout de suite accroché avec les dessins et la colorisation. Et le fait que les pêcheurs soient mis à l'honneur, même si ici il y a surtout une découverte dérangeante et un dilemme..
Nous sommes en 2018, sur l'île de Ré. Alors que nos bleus vont tranquillement vers leur deuxième étoile, l'équipage du Fargo, quand à lui, trouvent 40 kilos de cocaïne dans ses filets !
Que doivent t'ils en faire ? Prévenir la police ? La garder pour eux ? Se la partager mais pour quoi faire ? L'écouler ?
Des décisions doivent être prises.. en espérant que ce soit les bonnes ! Et que cette pêche miraculeuse ne devienne pas un cadeau empoisonné..
Car la cupidité peut gâcher de belles amitiés..
Marée blanche est une bonne bande dessinée.
Je ne suis pas d'accord avec les choix des pêcheurs mais ça en est un parmi d'autres et il ne sera pas sans conséquences, évidemment. Il peut être intéressant de faire lire cette bande dessinée aux jeunes adultes, pour qu'ils aient bien en tête que chacun de nos actes, bons comme moins bons a des conséquences et parfois, pas des moindres !
L'histoire est intéressante, elle se tient bien.
Les personnages sont attachants.
J'ai été surprise à un moment de reconnaître un supermarché des Sables d'Olonne où je vais souvent. Mais vu la domiciliation de l'auteur, ce n'est pas si surprenant que ça :)
J'ai apprécié ma lecture, que je vous recommande et note quatre étoiles.

Marée blanche , blanche c'est la cocaïne découverte fortuitement par quatre amis pêcheurs .
Une aubaine , un cadeau tombé du ciel , enfin plutôt venant de la mer par ses amis qui imaginent des jours meilleurs avec le bénéfice de la vente des 40 kilos de poudre blanche .
Ils se partagent la came en quatre part égales en se promettant de garder le secret .
Mais évidemment tout ne se passe comme pas comme ils l'avaient prévu , les ennuis commencent et se poursuivent crescendo , j'ai été étonnée de ce scénario aussi implacable , les premières pages ne laissent pas imaginer une suite si tragique .
Merci à #netgalley et aux éditions Delcourt .

Un bateau qui prend l'eau par la coke.

Nous sommes en 2018.
Le Fargo navigue en père peinard.
A bord, les pêcheurs sont occupés par les filets qu'ils jettent aux poissons et par ceux qui tremblent à la télévision, sur les buts marqués par l'Equipe de France pendant la coupe du Monde.
Soudain, les 4 hommes tombent sur un banc de ...sachets de cocaïne flottant sur l'eau. 40 kg ! Estimation : 2 millions d'€.
Les traites des maisons, du bateau, les pensions alimentaires...
L'équipage décide de garder cette cargaison risquée et de n'en parler à personne...

Je n'ai pas été totalement convaincu par cet album, mais comme dirait quelqu'un : "j'étais à ça !"

Voici pourquoi.

Le dessin ne présente pas de défauts particuliers et la mise en couleurs (les plans avec le bateau notamment), les cadrages ou la mise en pages sont vraiment intéressants.
Il n'est pas d'une originalité folle avec son style de série "jeunesse" qui manque un peu d'identité à mon goût et qui surtout, atténue le caractère dramatique de certaines scènes.

Et c'est là que le bât blesse. Car si le scénario offrait de belles perspectives, j'ai trouvé qu'elles n'étaient pas exploitées au mieux.

D'abord parce que dès le départ, on sait qu'avec une pareille équipe de bras cassés, ça va mal finir.
Ensuite parce qu'en truffant l'album de références, calembours et jeux de mots, Gaël Séjourné, conforte l'absence de dramatisation déjà induite par son style de dessin. Par exemple, alors que les frères Twin Towers eux aussi, font parler la poudre, la touche d'humour un peu lourdingue ("nous fais pas prendre les vécés pour des lanternes", "hélico presto", "tu es l'homme qui tombe à pile", "je ne voudrais pas me faire la vodka du diable"...) désamorce le caractère inquiétant de ces anciens catcheurs. Autre exemple. Clapton sait que j'aime les calembours idiots ("la fiente de l'esprit qui vole" pour Victor Hugo), mais une jeune fille qui répond à "Hé, les filles vous faites bande à part ?", par "C'est peut-être vous qui bandez à part, les gars !", ça dépasse mon seuil de tolérance.

C'est vraiment dommage car encore une fois, l'histoire aurait gagné à davantage de noirceur (il y a même une allusion, non exploitée, à un prêtre pédophile).

Donc, en résumé : une très bonne BD, mais qui rate un peu l'esprit "Fargo" (film souvent évoqué dans l'histoire) en voulant en faire un peu trop.

Merci aux éditions Delcourt et à Masse critique privilégiée.

• « ᴍᴀʀéᴇ ʙʟᴀɴᴄʜᴇ » ᴅᴇ ɢᴀëʟ séᴊᴏᴜʀɴé, ᴘᴜʙʟɪé ᴄʜᴇᴢ ᴅᴇʟᴄᴏᴜʀᴛ.

• Cette bande dessinée m'a été proposée à l'occasion d'un programme Masse Critique privilégié. Je profite donc de l'occasion pour remercier une énième fois Babelio pour ce programme, mais également Delcourt pour le don, en échange d'une critique, de cette bande dessinée.

[ʟᴇ ʟɪᴠʀᴇ]

• Cette bande dessinée m'a attendue bien sagement chez moi durant mes quelques jours d'absence, et est la première lecture de divertissement que j'ai pu lire depuis neuf jours de sevrage. Autant vous dire que neuf jours sans lire pour le plaisir est très inhabituels chez moi, et que les attentes concernant cette bande dessinée étaient assez hautes. Heureusement pour moi, la sélection fut bonne, surprenante, et j'ai eu le plaisir de découvrir le travail de Gaël Séjourné.

• Les personnages principaux, à savoir l'équipage du Fargo, sont très facilement identifiables et sont tellement humains dans leur façon de s'exprimer, dans leur gestuelle et leur caractère, que l'on s'immerge rapidement dans le bain (Comment ça maintenant, on ne prend que des douches ?!). La situation est elle aussi très claire : quatre marins sur un navire qui trouve quarante kilos de coke en mer et décide de donner un tournant à leur vie. Beaucoup d'entre nous se sont déjà imaginé trouver une grosse valise pleine de gros billets, soulevant un dilemme où la question se poserait, que faire dans une telle situation ? L'histoire est simple, mais son traitement est intéressant, apportant même un engouement malsain au lecteur.

• Ce qui est très appréciable dans cette bande dessinée, c'est l'illustration de la proximité des habitants de la ville portuaire. C'est une ambiance qui rappelle celle des villages de campagne, où j'ai vécu toute ma vie, et qui, bien qu'elle s'atténue progressivement, existe encore dans certaines zones de France. le bistrot du coin, les histoires entres les voisins, la jeunesse insouciante, sont autant d'éléments qui plonge le lecteur dans un cadre qu'il connaît, qu'il peut appréhender sans mal.

• le rythme accélère très rapidement à partir de la moitié de l'album, où les ennuies commencent à pointer dangereusement le bout de leur nez, la lecture devient une course aux événements de plus en plus tragiques et inéluctables. Les vagues sont de plus en plus accrues et la violence des répercussions apportes une tension palpable aux cases de Gaël Séjourné.

• Toute cette tragédie, cet entraînement vers le fond, n'est la conséquence que d'un choix malheureux. Cette décision du capitaine est ramenée au large dans les dernières pages de l'album, ou celui-ci cherche un échappatoire, tentant après la tempête de se raccrocher à une bouée de sauvetage qui jamais n'arrivera.

• Pour le style graphique, dans l'ensemble c'est très correct, assez jolie même. Pas de fulgurance visuelle, un style qui ne se démarque pas tellement des autres mais qui reste toutefois efficace. Un ou deux personnages se ressemblent un peu trop, surtout les jeunots, et peuvent induire une confusion chez le lecteur.

[ʟᴀ ᴘᴇᴛɪᴛᴇ ᴠᴏɪx ᴅᴇ ʟᴀ ғɪɴ]

• Une bande dessinée qui m'a emporté là où je ne l'attendais pas, surtout au niveau du rythme et de son tsunami qui déferle face aux personnages de cette histoire. Un bon retour à quai pour un assoiffé de lecture comme moi.

𝘓𝘢 𝘱𝘰𝘶𝘥𝘳𝘦𝘶𝘴𝘦 𝘩𝘰𝘶𝘭𝘦 𝘦𝘯𝘵𝘳𝘢î𝘯𝘦 𝘪𝘯𝘦𝘹𝘰𝘳𝘢𝘣𝘭𝘦𝘮𝘦𝘯𝘵 𝘯𝘰𝘴 𝘥𝘪𝘧𝘧é𝘳𝘦𝘯𝘵𝘴 𝘱𝘳𝘰𝘵𝘢𝘨𝘰𝘯𝘪𝘴𝘵𝘦𝘴 𝘥𝘢𝘯𝘴 𝘴𝘰𝘯 𝘱𝘢𝘴𝘴𝘢𝘨𝘦, 𝘯𝘦 𝘭𝘢𝘪𝘴𝘴𝘢𝘯𝘵 𝘲𝘶𝘦 𝘥𝘦𝘴 𝘥é𝘣𝘳𝘪𝘴 é𝘤𝘩𝘰𝘶é𝘴.

Quatre marins pécheurs trouvent des ballots de cocaïne en pleine mer. Ils décident d'en ramener pour la revendre et embellir un peu leur quotidien. C'est le début des ennuis.
J'ai beaucoup aimé les dessins de cet album. Ils sont certes assez classiques mais collent parfaitement à cet univers qui sombre peu à peu dans le thriller, pour un résultat efficace et agréable à l'oeil.
Côté histoire, on est là encore dans quelque chose de classique, mais le récit est prenant et bien mené. On s'attache à cette bande de personnages pas malhonnêtes pour deux sous qui vont se retrouver entrainer dans une aventure qui les dépasse bien malgré eux. Une vraie descente aux enfers pour les protagonistes qui ne semble jamais vouloir finir.
Un album agréable à lire qui permet de passer un bon moment.

Prenez 4 marins pêcheurs sur le Fargo, 40 kilos de cocaïne repêchés en pleine mer, 1 mauvaise idée collégiale, 1 équipe de France à 9 jours de devenir championne du monde de football pour la 2e fois, mélangez le tout, vous obtiendrez Marée Blanche, de Gaël Séjourné, qui en est à la fois le scénariste, le dessinateur et le coloriste.

Dans cette histoire classique et macabre à effet papillon, l'auteur nous démontre de façon radicale les méfaits de la drogue, ses ravages collatéraux, les innocents qui trinquent, les vies brisées, les familles détruites. Car il n'y a pas que la consommation de la drogue qui est dévastatrice, il y a aussi l'entourage qui est mis en péril.

Ils s'appelaient Théo, Laurent, Jordan et Paul. Ils ont découvert les ballons de cocaïne, ont décidé de se les partager, par appât du gain, sans rien y connaitre, sans présager des déferlements que cela allait engendrer pour eux et leurs proches.

Un roman graphique de belle taille, découpée en images de bonnes dimensions, avec un texte au cordeau qui maintient le rythme de l'action. L'auteur a pris le parti de faire raconter cette histoire au seul survivant, Paul, capitaine du Fargo, dont la vie a changé. Il s'adresse à un large public, compréhensible aussi bien par des adolescents, de jeunes adultes, que des plus âgés.

Une bande dessinée qui tient ses promesses, et qui se lit comme un page turner, bien rythmée, sans temps morts, avec un graphisme classique mais précis, des couleurs chaudes, une île de Ré magnifiée par les dessins et les couleurs, efficace. Une lecture agréable, prenante, descriptive, ancrée dans le réel.

Je remercie les Editions Delcourt et Babelio pour cette découverte, que je recommande à tous.

Lu dans le cadre de Masse Critique.

Pêche miraculeuse ou pêche maudite ?

Quatre marins récupèrent 40 kg de cocaïne qui dérivent sur la mer.
Que faut-il en faire ? Cela représente un « paquet de pognon », mais en même temps, c'est bien dangereux…
Finalement, chacun emmène chez lui, 10 kg de coke avec interdiction d'en parler à quiconque…

Sauf que, bien sûr, les langues se délient, sauf que bien sûr, gagner de l'argent aussi facilement est quand même trop séduisant.
Et là, le ton de rigolade du début vire au drame et même à la tragédie.

J'ai bien aimé les dessins avec une mention spéciale sur les expressions, souvent en gros plan, très travaillées.
Les paysages, comme ceux de la page 10 ou de la page 23, sont dépouillés pour laisser le lecteur admirer la beauté de la mer et du littoral. Et c'est réussi !

Une excellente BD d'aventures où la morale de l'histoire pourrait être :
« Ne s'improvise pas dealer qui veut »….
Je remercie Babélio et les Éditions Delcourt de m'avoir permis de découvrir cet auteur complet.

Instagram : commelaplume
Lien : https://commelaplume.blogspo..

Bd reçue dans la cadre de masse critique.

Bretagne. Un petit bateau de pêche, Paul, Laurent Jordan et Théo, l'équipage, trouvent en mer 40 kg de cocaïne et après moult discussions décident de rentrer chacun avec 10 kg.

Vont s'en suivre comme on l'imagine péripéties et drames à la clé.

Point positif, Séjourné décrit chaque personnage dans son environnement humain et les personnalités respectives sont plus qu'esquissées.

Les dessins.

De qualité, chacun son style, un peu de mal à m'y retrouver chez les jeunes qui se ressemblent un peu trop. Qui est qui, surtout à la nuit tombée.

Les couleurs.

Un peu ternes et manquant de brillance. Les verts et les bleus ne sont pas assez appuyés. Mais c'est une question de goût et de choix de l'auteur.

Le scénario.

Bien construit sans être extraordinaire. A les limites du format BD

Le découpage.

Je relis deux fois la bd afin de bien comprendre.

En résumé.

Une bonne bd sans une petite touche d'exception, et bon travail de l'auteur.

La dernière phrase, comme j'aime bien à les citer
, ici un mot, sérieux.

Pas clair, mais la morale de l'histoire, si c'était à refaire, je ne le referai pas.

Sérieux  comme une bd ?