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Citations sur Le vieux qui lisait des romans d'amour (467)

Il possédait le seul antidote contre le venin de la vieillesse, il savait lire.
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"- De quoi ça parle?
- De l'amour.
A cette réponse du vieux, il se rapprocha, très intéressé.
- Sans blague? Avec des bonnes femmes riches, chaudes et tout?
Le vieux ferma le livre d'un coup sec qui fit trembler la flamme de la lampe.
- Non. Ca parle de l'autre amour, celui qui fait souffrir."
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Un soir de chasse, il avait senti son corps tellement acide et puant à force de sueur qu'en arrivant au bord d'un arroyo il avait voulu piquer une tête. Par chance un Shuar l'avait vu à temps et lui avait lancé un cri d'avertissement.
- Ne fais pas ça. C'est dangereux.
- Les piranhas ?
Non, lui avait expliqué le Shuar : les piranhas vivent en eau calme et profonde, jamais dans les courants rapides. Ce sont des poissons lents et ils ne deviennent vifs que sous l'effet de la faim ou de l'odeur du sang. De fait, il n'avait jamais eu de problème avec les piranhas. Les Shuars lui avaient appris qu'il suffisait de s'enduire le corps de sève d'hévéa pour les tenir à distance. La sève d'hévéa pique, brûle comme si elle allait arracher la peau, mais la démangeaison s'en va dès que l'on est au contact de l'eau fraîche, et les piranhas s'enfuient quand ils sentent l'odeur.

p93
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Il savait lire.
Ce fut la découverte la plus importante de sa vie. Il savait lire. Il possédait l'antidote contre le redoutable venin de la vieillesse. Il savait lire. Mais il n'avait rien à lire.
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Le Rosaire de Florence Barclay contenait l’amour, encore de l’amour, toujours l’amour . Les personnages souffraient et mêlaient félicité et malheur avec tant de beauté que sa loupe en était trempée de larmes. (page 63)
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C'était l'amour pur, sans autre finalité que l'amour pour l'amour. Sans possession et sans jalousie.
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C’est pourquoi il devait s’absenter régulièrement : ils lui avaient expliqué qu’il était bon qu’il ne soit pas vraiment l’un des leurs. Ils aimaient le voir, ils aimaient sa compagnie, mais ils voulaient aussi sentir son absence, la tristesse de ne pouvoir lui parler, et les battements joyeux de leur cœur quand ils le voyaient revenir.
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- J’ai moi-même un nom de gringo.

- Comment ça pays?

- Eh oui. Onecén, c’est le nom d’un saint des gringos. Il est sur leurs pièces de monnaie. Ça s’écrit en deux mots, avec un t à la fin : One cent.
(Points, p.80)
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C'est à ça que ça sert, l'amitié. A chanter les mérites des amis.
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Le dentiste aimait les négresses, d’abord parce qu’elles étaient capables de dire des choses à remettre sur pied un boxeur K.-O., et ensuite parce qu’elles ne transpiraient pas en faisant l’amour.
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