Un roman pour lequel il faut avoir le temps de se poser, car il est long, très long...
Pour les amateurs d'histoires chinoises. On retrouve la belle écriture de l'auteur qui nous avait ravis dans Balzac et la petite tailleuse chinoise.
J'ai abandonné à la page 170. Pourtant ce livre m'a été prêté par une personne qui a beaucoup aimé et les critiques dont excellentes. Je ne suis pas rentrée dedans... tant pis
Autant, j'avais apprécié "Balzac et la petite...", autant je n'ai pas accroché avec Yong Sheng, en dépit de toutes les qualités d'écriture de Dai Sijie.