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Christiane Ellis (Traducteur)David Ellis (II) (Traducteur)
EAN : 9782266136488
466 pages
Pocket (04/05/2005)
2.78/5   25 notes
Résumé :


L'impétueuse Suzy Wilding, trente-deux ans, graphiste dans une importante agence de pub londonienne, et le fringant Lloyd Rockwell, trente-cinq ans, publicitaire à NewYork, ignorent tout l'un de l'autre... jusqu'au jour où leurs sociétés jumelles leur offrent d'échanger bureau et appartement pendant un mois.

Très enthousiastes, ils acceptent tous deux l'excitante proposition, mais rapidement, de part et d'autre de l'océan, il faut déc... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (7) Voir plus Ajouter une critique
Nuits blanches à Manhattan” de Robyn Sisman offre une immersion dans la chick-lit des années 2000 avec son héroïne à la Bridget Jones. L'aspect divertissant est indéniable, bien que je ne comprenne pas trop ce qu'on peut trouver à Suzy. L'originalité pour moi réside dans le personnage masculin, moins stéréotypé, qui apporte un certain équilibre à l'histoire même si le roman commence à dater.
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Une agence de publicité qui possède plusieurs agences dans le monde, un échange pour quatre semaines entre une Anglaise et un Américain qui vont habiter l'un chez l'autre.
Le début était déjà pesant, que ce soit le style ou la traduction, mon regard accrochait sur les phrases et c'était un peu laborieux. La description du monde du travail, du sexisme et des relations hommes-femmes a très mal vieilli – c'est un roman de 1998 – mais quand je suis arrivée au passage où il arrive malheur au chat, alors là, j'ai vu rouge. Pour moi, c'est rédhibitoire. Donc en plus de cet aspect qui déjà pour moi condamnait le roman, je dois dire que c'est mauvais, mal écrit et que le scénario est totalement sans intérêt. Deuxième grosse déception de la collection Piment de France Loisirs, donc.
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Une lecture qui m'attendait depuis au moins 2, 3 ans sur ma liseuse. 466 pages je privilégiais plutôt pour l'été mais le hasard d'un challenge...
Un roman sympathique mais il sera vite oublié. L'histoire se résume rien qu'avec le quatrième de couverture, ce qui est assez déroutant. On connaît déjà tout ce qui va se passer pour les trois premiers quarts du livre, le reste se devine facilement.
On joue un peu sur les stéréotypes des golden boys de la pub, des relations publiques avec un peu le monde du showbiz.
Un échange d'appartements avec un tout léger parfum de romance, tout cela rappelle the holiday mais en moins romantique. le tout aurait pu être un peu plus creusé au niveau des personnages auxquels on n'arrive pas à s'attacher malgré le nombre de pages.
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Extrait de ma critique:

Envie de vous parler d'un livre lu très récemment et qui m'a plu alors qu'il ne paie pas de mine. J'adore le genre chick lit, vous commencez à bien le savoir, et j'ai craqué il y a un an en voyant ce livre en format Poche à 1 euro dans mon Virgin. Il a attendu sagement de très longs mois que je fasse fis de sa couverture, de son titre et de son résumé de quatrième de couverture pas tip top.

Et il a bien fait!
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Extrait de ma critique:

Envie de vous parler d'un livre lu très récemment et qui m'a plu alors qu'il ne paie pas de mine. J'adore le genre chick lit, vous commencez à bien le savoir, et j'ai craqué il y a un an en voyant ce livre en format Poche à 1 euro dans mon Virgin. Il a attendu sagement de très longs mois que je fasse fis de sa couverture, de son titre et de son résumé de quatrième de couverture pas tip top.

Et il a bien fait!
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Citations et extraits (1) Ajouter une citation
C'était une petite maison de brique jaune sale, enserrée dans un alignement de constructions identiques, de la fin de l'époque victorienne d'après Lloyd. Devant la maison, derrière une clôture en fer forgé, un jardin étriqué avait été abandonné aux mauvaises herbes. Sur le toit d'ardoise, un fouillis de cheminées et d'antennes de télévision se profilait dans la lueur d'un crépuscule aux couleurs menaçantes.
- Très pittoresque, commenta Lloyd en adressant un sourire d'encouragement à Betsy.
Devant la porte d'entrée, un amoncellement de sacs-poubelle noirs attendait le jour de ramassage des ordures ménagères.
- Du pur Dickens !
- Je ne t'aurais pas donné les clés, par hasard ?
Betsy secoua la tête. Une pluie fine se mit à tomber.
- Je voulais juste m'en assurer, fit Lloyd avant de fouiller, une à une, toutes les poches de son sac de voyage.
La voiture qui les avait accueillis à l'aéroport leur avait aussi apporté les clés dans une enveloppe cachetée. Lloyd savait qu'il les avait mises en lieu sûr, mais quel lieu sûr ? Il commença à vider le contenu de son sac sur le pilier qui soutenait un portail déglingué, déballant portefeuille et cartes de crédit sous le regard d'acier de Betsy.
- Et dans ton imperméable ?
- Tu sais bien que je ne mets jamais rien dans mes poches.
En fait, c'était Betsy qui lui avait apprit que cela cassait la ligne des vêtements, et Lloyd essayait de se corriger de cette habitude.
Mais elle avait vu juste, comme toujours. Lloyd empoigna les valises et gravit les quelques marches du perron. La porte d'entrée donnait sur un petit hall avec deux autres portes. Celle de gauche était la leur et permettait d'accéder à un escalier assez raide conduisant au premier étage.
- Oh ! Seigneur ! s'écria Betsy avec un mouvement de recul devant la couleur criarde de l'escalier.
Au sommet, après un palier étroit, se trouvait la cuisine, une pièce exiguë et encombrée, peinte en jaune jonquille ; un sycomore pressait son feuillage contre la haute fenêtre. Quelques marches supplémentaires menaient à un couloir avec trois autres portes. Betsy ouvrit la première avec précaution. La pièce était sombre, les volets empêchant la lumière du jour d'y pénétrer. Lloyd ne put distinguer qu'un grand lit de cuivre qui semblait occuper tout l'espace. Son enthousiasme tomba. Il entendait déjà Betsy pestant contre l'absence de rangements.
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