Mirielle West, issue de la haute société des années 1920 et mariée à une vedette du cinéma. Son médecin va découvrir une tâche suspecte apparaître sur sa main. Elle va alors être envoyée à Carville l en Louisiane, à des centaines de kilomètres de chez elle. Au début elle espère que son séjour sera de courte durée mais Carville se révèle être bien plus qu'un simple lieu de quarantaine : c'est une prison où les patients sont enfermés avec leur maladie incurable. Mirielle comprend rapidement qu'elle doit trouver un sens à sa vie entre ces murs, en se liant avec les autres malades, en luttant pour préserver son estime de soi et en se battant contre un destin qu'elle n'a pas choisi. C'est un combat quotidien pour garder espoir dans l'adversité et redéfinir sa propre identité.
Dès sa parution, j'avais très envie de découvrir ce livre, notamment en raison de son sujet principal, qui me rappelait un livre que j'avais beaucoup aimé «
L'île des oubliés » de
Victoria Hislop.
Cependant, l'histoire n'a pas réussi à me captiver autant que je l'avais espéré. Je n'ai pas réussi à m'attacher au personnage de Mirielle, bien que je ne le trouve pas détestable, contrairement à d'autres avis que j'avais pu lire. Pour ma part, ce sont surtout les longueurs qui ont empêché d'apprécier ma lecture. J'ai aussi ressenti un sentiment de déjà-vu par rapport à un autre livre que j'avais lu, "Ce qu'elle a laissé derrière elle".
Cependant, parmi les aspects positifs, l'histoire poignante de Mirielle avec ses enfants m'a profondément touché, résonnant avec ma propre histoire personnelle. Ainsi que le cadre en Louisiane qui a ajouté une dimension particulière à ma lecture, puisque mon frère y réside. Découvrir l'histoire de cet état américain était très intéressant.
J'ai également apprécié en apprendre davantage sur la maladie abordée dans le livre cela m'a permis de mieux comprendre certains aspects de la condition de Mirielle.