Le journaliste Sorge se soûlait avec des cocktails en écoutant Mlle Harich jouer, sur un piano légèrement désaccordé, du Bach et du Couperin. Un air de ce dernier, Sœur Monique, semble le favori du correspondant de la Frankfurter Zeitung, qui le lui a fait répéter plusieurs fois. Cet individu, sous ses dehors outrecuidants, doit être un incorrigible sentimental qui cache bien son jeu.
Et le journaliste de l'Asahi de renchérir par le conseil suivant : "Donc, ayons tous un embryon de culture musicale !"
Prends soin de toi, chère petite sœur. Et, s'il t'arrive d'entrer dans une église, prie aussi pour tous les Allemands dispersés sur les terres et sur les mers, au service de notre partie...
Les aviateurs avaient-ils conscience que les créatures peuplant le monde en dessous d'eux appartenaient elles aussi à l'humanité ?
La victoire allemande est un événement historique comparable à celui qui a fait triompher il y a plus de mille ans le christianisme en Europe. Un mouvement est né au sein même de la vie, dirigé par la volonté la plus implacable qui ait jamais régné en Allemagne, constitué par le réveil de la biologie et du caractère de quatre-vingt millions d’hommes et d’une race qui va employer cette force vitale contre toutes les forces ploutocratiques de la destruction….cette guerre serait une lutte mondiale entre l’or et le sang : l’or des banquiers enjuivés, et celui de la valeur financière qu a aboli toutes les hiérarchies, notamment celle de la race et du sang
La collaboration au meurtre de masse faisait partie du domaine d’activité du personnel d’ambassade, et cela à travers toute l’Europe. Dès 1939, une circulaire datée du 25 janvier demandait aux diplomates de s’imprégner de l’idée que « dans le cas de l’Allemagne, la question juive ne saurait être définitivement réglée par le départ des juifs du territoire allemand ». Et des « experts de la question juive » se trouvaient en poste dans les différentes missions diplomatiques allemandes à l’étranger
D'un autre côté, si nous laissons notre identité germanique se dissoudre dans le marais des influences de qualité inférieure-ploutocratiques,sémitiques ou slaves-, nous serions perdus.
Lorsqu'on est un vacancier de Tokyo ou de Yokohama, ce mot sensô, la guerre, semble s'être entièrement évaporé dans la chaleur.
Sûrement le fait d'être citoyen du Reich et fonctionnaire d'ambassade doit me protéger, penses-tu, eh bien pas du tout ! Le racisme officiel anti-Blanc prend la pas sur tout le reste.
Mes amis et moi rejetons cette pudibonderie qui a contribué à détruire chez le peuple allemand l'instinct de ce qui dans notre corps est noble et beau.