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EAN : 9782702159910
416 pages
Calmann-Lévy (10/01/2018)
3.93/5   15 notes
Résumé :
Des neiges du Vermont à la jungle thaïlandaise, c’est toujours la mort qui rôde…

Tout commence dans un Vermont entièrement sous la neige. Deux jeunes attaquent une école élémentaire à la mitraillette et tombent, bien malheureusement pour eux, sur Kate Swift, une ex-tueuse de la CIA devenue lanceuse d’alertes. Elle les abat froidement mais, au lieu d’attendre qu’on la félicite d’avoir sauvé des dizaines d’enfants, s’enfuit au Canada avec sa fillette. I... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (7) Voir plus Ajouter une critique
Depuis combien de temps n'avais-je pas lu un vrai roman d'espionnage ? qui plus est un très bon roman d'espionnage? Depuis ceux de John le Carre il me semble que ce genre de roman est un peu passé de mode . excusez du peu Roger Smith alias James Rayburn redonne des lettres de noblesse à ce genre littéraire . Tous les ingrédients sont réunis . Vous allez pouvoir faire la connaissance de Kate Swift,une ex-tueuse de la CIA, devenue lanceuse d'alerte donc cible potentielle pour Lucien Benway qui veut sa peau depuis qu'elle a réussi à le faire éjecter de son poste de chef des opérations . Prête à tout pour sauver sa petite fille, Suzy, Kate va s'adresser à Harry Book lui aussi un ancien ...
Alors accrochez vos ceintures, partez du Vermont, direction Berlin puis la Thaïlande et après quelques centaines de pages vous saurez peut-être si vous allez vous en sortir vivants ou pas . C'est très bien fait, addictif en diable, et plus vous avancez dans le récit moins vous avez envie de poser ce fichu bouquin. Un excellent moment de lecture, une analyse géopolitique , géostratégique et humaine qui vous donneront quelques sueurs froides.
Un très grand merci aux éditions Calman Levy via NetGalley pour ce partenariat . un roman que je vous recommande sans réserves .
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C'est la 4ème de couv' qui m'a interpellée, promettant suspens et action. En préparant mon article, il apparaît que James Rayburn est le pseudo de Roger Smith auteur sud-africain de polars versés dans l'extrême violence tels Mélanges de sangs ou Un homme à terre. Ça promettait…

Et en fait, le style n'est pas le même. Il est plus soft. Attention! Plus soft ne signifie qu'on s'endort dès les premières pages! Au contraire, c'est une fuite en avant à la Jason Bourne au féminin qui démarre sur les chapeaux de roue!

Avec un handicap de taille, une petite fille.
Kate Swift croyait en son travail à la CIA jusqu'à cette décision qui a mené à la mort de son époux. Elle a rendu coup pour coup, est considérée comme un traître à son pays et essaye tout de même de vivre dans l'ombre avec sa fille.
En intervenant dans une fusillade, son portrait se retrouve dans tous les médias et la discrétion qu'elle voulait sienne vole en éclats.
Kate doit fuir de nouveau. Pour sauver sa vie et préserver celle de sa fille… Mais surtout pour échapper à celui qui la hait plus que tout, Benway.
En qui aura-t-elle encore confiance?

Comme je le disais, c'est une course poursuite haletante. L'action est au rendez-vous, on ne s'ennuie pas: on fuit, on traque, on parle stratégie, on attaque, on se défend et parfois, on se baigne et on bronze (oui, oui, ça arrive!) pour recharger les accus. Mais le danger règne, le repos ne s'éternise jamais bien longtemps. L'action est omniprésente avec son lot de rebondissements et de suspens et les pages défilent à toute allure.

Kate est une Jason Bourne en jupette qui doit, de surcroît, protéger son enfant. Pas facile d'avoir dû renoncer à un métier qu'elle avait et qu'elle a toujours dans la peau mais fuir n'est pas une vie. Elle avance courageusement car elle n'a pas le choix mais on sent qu'elle est épuisée émotionnellement. Elle voudrait croire en un peu de paix mais elle n'est pas conditionnée à la savourer. Certaines personnes ont une propension au bonheur mais elle semble avoir perdu cette faculté en même temps que la vie de son mari. C'est un personnage profondément attachant et humain, une alliance intime de force et de fragilité, que j'ai beaucoup aimé.

Son principal ennemi est Benway, ponte désavoué de la CIA suite aux révélations de Kate, et il exprime toutes ses perversions dans sa vengeance, dans tous les excès alors que Kate lutte pour retrouver la paix et défendre sa vie. Mais de proie, elle va rebondir pour être la prédatrice.
Alors franchement, je dois dire que si Benway est un personnage antipathique, carriériste ayant utilisé les arcanes du pouvoir et sa position au sein de la CIA pour ses ambitions égotiques, pervers et tordu, mari abusif torturant son épouse, savourant son emprise sur les autres et autres joyeusetés qui symbolisent parfaitement le grand méchant devant l'Éternel qu'on a réellement envie de claquer, j'avoue qu'il m'a bien fait rire malgré moi!
Pauvre petite chose aux souliers ridicules qui a bien du mal à toucher terre! Oui, je me moque!
Quelques descriptions autour de ce personnage ont été bienvenues et ont apporté une touche d'humour rafraîchissante dans ce climat bien tendu!
Et j'ajoute que la fin de l'histoire pour ce personnage est d'une cruauté juste et jouissive!

Les personnages de Danvers, vieux de la vieille, en fin de vie, revenu de tout mais toujours prêt pour un baroud d'honneur, et de Hook m'ont émue également car ce sont des hommes engagés par idéalisme, un idéalisme écorné par la réalité des actions menées. Danvers reste lucide des alliances et mésalliances, des dettes d'honneur et des mensonges de convenance alors que Hook, agent de terrain, orfèvre de la séduction et du paraître a été détruit par un excès de confiance qui a coûté des vies. Beaucoup de vie. C'est une chose de mentir et manipuler pour son pays, s'en est une autre de voir la mort en face.

J'ai adoré cette immersion dans le monde des agents secrets car l'auteur a émaillé son intrigue d'un ensemble de portraits et de flash-backs analysant tantôt finement tantôt dans de grandes tirades enflammées le leitmotiv de ces hommes et de ces femmes engagés au plus près de leur pays.
Le patriotisme porte certains jusqu'à la fin de leur existence alors que d'autres s'épuisent, désabusés devant les trop nombres entorses infligées à leur conscience.
Certains se fichent comme de leur première chemise de l'amour du pays pour ne voir dans leur métier qu'un moyen de briller, de dominer, en une gloriole aussi brillante qu'éphémère.

Des hommes et des femmes, des trajectoires individuelles que nous, lecteurs pouvons condamner, justifier ou excuser. Mais l'auteur n'est pas tendre non plus envers l'impérialisme américain et les ombres qui hantent les couloirs du Pentagone ou du Bureau ovale.
C'est une critique caustique et acerbe mais ô combien juste de la politique extérieure des États Unis quand une prise de distance objective permet une vision globale de l'action des States dans le monde.
Il associe ainsi le regard extérieur de tout un chacun et celui, intérieur, des principaux acteurs de ce monde obscur de l'espionnage et tout cela en déroulant à vitesse grand V, son intrigue.

Il a même eu le temps, entre deux vols et deux continents, de glisser un sujet très intéressant sur la manipulation de masse par les médias. Complice volontaire ou pas, un journaliste capable de tout pour avancer sous les lumières, créer le buzz, alimenter un scandale, reste inconscient des enjeux et du danger que représente ses révélations aux grand public avide de scandale. L'intégrité des médias est ainsi mise en souffrance et nous interpelle dans leurs rôles dans notre quotidien et le grand jeu mondial.

Et pour terminer, un final en demi-teintes, pas de happy end mais un espoir pour couronner un thriller nerveux et captivant. Pas de bluette mais la dure réalité des sacrifices arrachés à l'être humain…

Excellent. J'ai adoré cette lecture pour cette aventure trépidante, à 100 à l'heure, pure adrénaline en pages, mais aussi pour les sujets plus sérieux et actuels touchant l'espionnage et les enjeux géo-politiques qui agitent notre société.
Je préfère la plume caustique et passionnée essentiellement basée sur l'action de James Rayburn que celle de Roger Smith, davantage brute et violente…
Lien : http://livrenvieblackkatsblo..
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Roger Smith est un auteur sud-africain de thrillers politiques sombres et assez violents. Sortant de son thème habituel, il écrit sous le pseudonyme de James Rayburn un roman d'espionnage hors du commun, La Vérité Même, où il est question d'individualisme, de patriotisme et de règlement de comptes.

Kate Swift, ex-agent de la CIA, est devenue une paria . Suite à la mort du père de son enfant, motivée par son dégoût et son désir de vengeance, et probablement aussi pour laver sa propre culpabilité, elle fait éclater la vérité sur les agissements et atrocités en tout genre commis par certains agents . Parmi ceux-ci, Lucien Benway, l'homme qui a dirigé les opérations spéciales de la CIA, des opérations secrètes en pays étrangers, missionné par le président en personne, et qui a subi, suite aux aveux de Kate, l'humiliation de voir tous ses liens avec la CIA, le Pentagone et la Maison-Blanche coupés du jour au lendemain, un homme renvoyé dans les limbes, désaimé des puissants amis qu'il admirait tant, passant de chien de concours à bâtard en moins de cinq secondes, un homme qui a la haine envers la responsable de ce gâchis et qui n'a de cesse de la retrouver pour régler ses comptes.

Planquée depuis deux ans dans le Vermont , sous une fausse identité, avec sa fille Suzie, Kate mène autant que faire se peut une existence paisible, bien loin des missions de sa vie antérieure. Un jour, en sa présence, deux jeunes hommes font irruption et ouvrent le feu dans l'école primaire de Suzie.
Laissant ressurgir ses automatismes, Kate parvient à maîtriser les agresseurs au risque de se dévoiler. Persuadée que ces hommes armés ont été envoyés par son ancien ennemi juré, Lucien Benway, elle disparaît avec sa fille et part retrouver son mentor à la retraite Philip Danvers, et Harry Hook, stratège de génie, qui n'avait pas son pareil pour imaginer des plans infaillibles, dans le but de disparaître une deuxième fois. Mais Lucien Benway n'a aucune limite pour assouvir sa vengeance, et l'irruption de Kate va remettre à jour des règlements de comptes qui vont coûter cher en vies humaines.

Ce n'est donc pas un thriller d'espionnage géopolitique tel qu'on a l'habitude de voir, mettant en scène une puissance étrangère néfaste, mais plus un livre sur les espions eux-mêmes.
La Vérité Même explore l'idée que les espions, tout en étant des machines à tuer impitoyables, sont des êtres humains imparfaits comme vous et moi. Travailler pour la CIA est stressant et cela finit par vous épuiser, tuer votre rêve et vous transformer en un gâchis existentiel. L'intrigue du livre provient essentiellement d'un conflit d'égos entre Kate Swift, la patriote – son allégeance au pays et au drapeau forgée par ce qu'elle avait vécu à quatorze ans lorsque, debout sur un trottoir du Mower Manhattan, elle avait vu s'écrouler les tours jumelles et inhalé la poussière des morts - , et Lucien Benway, un fanatique qui dissimule sa psychopathie sous un chauvinisme des époques Reagan et Bush.
Les thrillers d'espionnage traditionnels présentent cet aspect patriotique qui oppose les Etats-Unis à un ennemi politique malintentionné. Celui qui s'éloigne du programme finit toujours par être un traître. Ce n'est pas le cas ici. Techniquement, Kate Swift est le traître pour avoir dénoncé les activités de la CIA, tandis que Benway est juste un employé du gouvernement trop ambitieux qui a été pris en flagrant délit de faire de la merde. A eux deux, ils symbolisent les deux visages du patriotisme : le sacrifice désintéressé pour le plus grand bien (avec sans doute un goût sauvage pour l'aventure) et l'ambition insouciante se cachant dans les agences gouvernementales et se faisant passer pour de l'altruisme.

James Rayburn (Roger Smith), avec un fond d'espionnage, nous offre un excellent thriller d'action. Il conduit le récit vers une conclusion palpitante en Thaïlande, tout en le parsemant d'un peu d'humour et de satire, ce qui a pour effet d'atténuer un peu la violence bien présente.
Bien qu'il y ait un peu de rédemption, tout le monde ne survit pas. Ceux qui ont cette chance risquent de vous surprendre.
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La vérité même de James Rayburn (pseudonyme de l'auteur Roger Smith) m'a été envoyé par net galley et les éditions Calmann-Lévy.
La vérité même est un roman d'espionnage, genre que je connais mal, mais dont le résumé me tentait beaucoup.
Kate travaillait pour la C.I.A jusqu'à la mort de son mari, depuis elle est en fuite. Mais pas toute seule car elle est la maman d'une fillette. Quand une fusillade survient dans l'école de sa fille, et qu'elle abat les tueurs, elle se dépêche de quitter les lieux avant qu'on ne la reconnaisse ! S'en suit une fuite désespérée vers le Canada, en espérant ne surtout pas être retrouvée... Mais avec une petite fille sur les bras il est évident que ce n'est pas si facile que ça de disparaître...
J'ai apprécié ce roman, il y a énormément d'action, du suspense, des rebondissements..
J'ai aimé le personnage de Kate.
C'est un roman réussi, qui se lit très facilement. Une fois que je l'ai commencé, difficile de le lâcher.
Je lui mets quatre étoiles :)
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Une jeune femme Katie Swift, exécute avec une expertise très professionnelle deux tueurs qui s'apprêtaient à faire un massacre dans une école primaire du Vermont. Dans cette école étudiait Suzie la fille de cette justicière. C'est le début du roman de James Rayburn « la vérité même. » S'ensuivent, alors que Katie et Suzie disparaissent et quittent la ville où elles menaient une vie ordinaire, une série de chapitres où apparaissent les acteurs principaux, tous plus noirs les uns que les autres, dans leur vie passée. Des êtres pour la plupart malfaisants qui avaient croisé un jour ou l'autre la route de Katie.
James Rayburn est, annonce l'éditeur, le pseudonyme d'un auteur, réalisateur et producteur connu. Il a écrit un roman d'espionnage qui, avec des chapitres très courts (90 sur 400 pages soit 4 pages de moyenne) augmente l'intérêt et la lecture, relançant une intrigue qui prend de l'épaisseur au fil des pages. Je regretterai parfois des phrases plus longues qu'une journée de Ramadan (dépassant parfois les quinze lignes) et difficiles à lire sans reprendre son souffle. Ce qui est surprenant vu la qualité d'une écriture très stylée.
Katie Swift qui a (probablement bénéficié de la loi américaine sur la protection des témoins car son passé semble nébuleux) devient alors une bête traquée qui va trouver refuge en Thaïlande auprès d'un ancien collègue espion, disposant d'une imagination débordante pour créer un passé et faire disparaître un fugitif. Harry Hook est en même temps plus que cela. Mais on l'apprendra dans le dernier quart du livre. Ne dévoilons pas ce qui ne doit pas l'être.
Ce roman de James Rayburn nous apprend tout de ce monde parallèle et souterrain qu'est l'espionnage. La sociopathie, l'absence de sentiment si ce n'est celui d'une mère, une forme de patriotisme qui est plus motivée par les rapports financiers qu'humains. Cette apparence d'une amitié bien superficielle car portée par des intérêts ou ambitions supérieurs ou ce sens du devoir qui tourne le dos dès qu'il est question de pouvoir ou de survie. Cette fourberie, cette habileté dans le mensonge et cette faiblesse pour les alcools forts. Une manière d'oublier le passé, de combattre les démons du présent et d'affronter un avenir incertain.
Suzie n'a que six ans quand elle est versée dans ce monde cruel qui percute sa naïveté primitive. Mais elle raisonne comme une adulte. Et cela sera nécessaire pour sortir de ce marasme.
Pour être complet, tous ces portraits d'espions plus ou moins sympathiques, possèdent le même vice. Une grande attirance pour le whisky de la marque Cutty Sark. Un whisky pourtant très moyen dit un des acteurs. C'est à croire que c'est l'un des pêchés mignons de l'auteur ou bien qu'il a signé un contrat publicitaire avec la marque. Sinon, il aurait pu faire preuve d'un peu plus d'imagination. Pour ma part, j'aimerais bien connaître son nom véritable.
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Citations et extraits (8) Voir plus Ajouter une citation
Kate toujours dans des contrées où les minarets poussent dans le désert, où les femmes ne sont que des spectres noirs et où, armés d’AK-47 et d’engins explosifs bricolés, les hommes sont prêts à tuer et à mourir pour une foi passée au tamis de la peur et de la haine, aiguisée par l’Amérique, ses agents recruteurs, ses désertions, ses missions secrètes, ses drones et ses incessantes croisades monolithiques dopées au Coca-Cola, l’Amérique avec ses opérations militaires, ses armées par procuration – rien que des pillards, violeurs et cinglés du moment, cooptés, armés et lâchés dans la nature jusqu’à ce qu’ils soient désavoués la semaine suivante, après quoi ils se retournaient, aussi sûrement que la Terre tourne sur elle-même, contre leurs amis devenus ennemis et les haïssaient avec passion.
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Le langage politique a pour fonction de rendre le mensonge crédible et le meurtre respectable, et de donner une apparence de consistance à ce qui n'est que du vent. George Orwell
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La seule chose qu’elle pouvait faire était d’essayer de se construire un petit radeau de raison et de rester debout dessus en chevauchant les eaux tumultueuses de l’affliction et de la folie qui faisaient de leur mieux pour la faire chavirer.
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Depuis qu’il était devenu un paria et avait subi l’humiliation de voir tous ses liens avec la CIA, le Pentagone et la Maison-Blanche coupés deux ans plus tôt, Benway gagnait sa croûte en tant que prestataire de services indépendant travaillant pour le compte de toute une liste de clients peu recommandables et exploitant la moindre fissure dans la façade islamiste, un monde où les allégeances étaient aussi fluides que le sable et où dollars, armes et promesses en tout genre allant de la frappe chirurgicale par drone interposé à la livraison de femmes blondes permettaient d’acheter loyautés douteuses et trahisons faciles.
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Elle avait quinze ans et Lucien trente et un. Jamais il n’avait porté la main sur elle. Il l’avait demandée en mariage quand elle avait fêté ses seize ans, elle avait accepté et cela faisait maintenant vingt ans qu’ils étaient mariés. Sans que leur union ait jamais été consommée.
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