Une fois l'exposé des motifs présenté, le voyageur, depuis son paramoteur, nous livre de superbes images en couleurs des déserts, des logements, des rivières, des plaines et autres marais agricoles africains. Un beau livre.
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Nul ne connaissait mieux le Sahara que Théodore Monod, un naturaliste brillant qui l'avait sillonné de long en large. A 95 ans, il travaillait encore sur le terrain et insistait pour porter lui-même son équipage.
Il ne restait plus grand-chose du village d' Opia. Le 4 janvier 1999, environ la moitié de ses quatre-vingt cinq maisons à toit de chaume avaient été réduites en cendres. Des soldats nigérians avaient déferlé sur ce hameau miséreux du delta du Niger, à bord de bateaux et d'hélicoptères sous contrat avec la compagnie américaine Chevron.
Cette partie désolée du littoral namibien s'appelle la côte des squelettes. Elle doit son nom tant aux ossements de baleines et d'otaries échouées sur la plage qu'aux centaines de navires commerciaux qui ont fait naufrage dans un épais brouillard.
J'étais venu en Afrique autant pour découvrir un monde dont j'ignorais tout que pour échapper au monde dont j'étais issu.
La plupart des clichés aériens présents dans ce livre ont été pris en paramoteur, l'aéronef motorisé le plus léger au monde.
Le photographe George Steinmetz parcourt les océans avec un but : montrer le mal que la surpêche fait à notre planète.
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