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EAN : 9782253147114
381 pages
Le Livre de Poche (13/10/1999)
3.06/5   25 notes
Résumé :
Parce que son père, riche banquier vénitien, a détourné à son profit des capitaux appartenant à la Mafia, Dina se retrouve à vingt ans seule et traquée par des ennemis mortels. Sa vie bascule lorsque, devenue photographe de presse, elle fait la rencontre de Michel de Durovick, héritier d'une principauté sur l'Adriatique, qui aussitôt s'éprend d'elle. Mais bien des appétits convoitent ce minuscule Etat, plaque tournante idéale pour les capitaux douteux venus de l'Est... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (5) Ajouter une critique
La confession de Dina Winter

Oui le quatrième de couverture pourrait nous attirer
Ce n'est pas mon cas quand j'ai entamé le livre, d'ailleurs j'avoue n'avoir pas eu le courage d'aller jusqu'au bout
Une jeune femme héritière de son père, un comte qui est tué car apparemment il traficote avec la mafia, elle est belle, connue comme photographe et rencontre Michel de Durovick, héritier d'une principauté de l'Adriatique
Quel obscur dessein pousse le conseiller Guerrieri à entrainer la jeune femme dans ce palais où les ors et les fastes rendent plus ténébreuses de mortelles intrigues ? Michel veut-il tenir tête à ceux qui rêvent de mettre la main sur cet ilot
Le conte de fées risque fort de tourner au cauchemar pour Dina
Voilà en gros (sans la fin certes), mais pendant plus d'un tiers du livre, elle se croit supérieure à tous, traite les hommes comme des serviteurs et passe de l'un à l'autre si le suivant lui apporte quelque chose de plus
Et là j'ai abandonné
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J'avais entendu, lu des critiques comme quoi les romans écrits par Paul-Loup Sulitzer étaient mauvais, Ben, j'ai été édifiée par ma lecture de celui-ci.

Cela dépasse vraiment les bornes. Je n'ai jamais lu un bouquin aussi mauvais, aussi nul que celui-ci. Il a failli me tomber, plusieurs, fois des mains !!! En clair, je ne renouvellerais pas l'expérience Paul-Loup Sulitzer.
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Je n'ai pas du tout apprécié ce livre étant donnée que le personnage principale (une femme) se fait violentée sexuellement et physiquement. Je suis pas spécialement une feministe mais là c'est comme dur à lire...et puis s'il y a des pubs contre la violence domestique c'est pas fait pour des prunes...A bon entendeur, lisez autre chose...
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C'est une tranche de vie. Dina se retrouve embarquée dans une histoire qui la dépasse et doit s'endurcir pour survivre et battre des hommes et des femmes sans pitiés.
Dina n'est pas aussi bien sympathique que Hannah.
Mais Paul - Loup Sulitzer sait très bien décrire des vies de femmes ambitieuses et fortes.
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Voilà, je me suis jetée à l'eau, j'ai lu un Sulitzer ! Et j'ai le mérite de l'avoir lu jusqu'à la fin... Livre inutile, creux, racoleur et totalement invraisemblable ! Sauf si vous n'avez vraiment rien d'autre sous la main...
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Citations et extraits (10) Voir plus Ajouter une citation
...e suis cette jeune femme élancée, belle, sur qui on se retourne, que tous les amis de Delmas ont essayé de séduire, d’arracher à ce salaud qui va de jolie femme en jolie femme – les photographes ont vraiment toutes les chances. Et je suis là, j’enlève mon soutien-gorge. Je souris. Je m’approche de lui. Je l’enlace. Je l’interroge. Puis-je utiliser sa salle de bains, tout de suite, s’il n’est pas pressé ? Il hésite. Il tente de m’écarter. Mais je suis suspendue à son cou et ses mains emprisonnent tout à coup mon dos. C’est moi qui le repousse, qui lui explique que j’ai deux rendez-vous, avec le rédacteur en chef d’un hebdomadaire féminin et avec le directeur de l’agence de presse Regards.
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Mon père, lui, est toujours puissant. On l’appelle le comte Giulio Gasparini. Il donne des ordres. On s’incline devant lui. Les gondoliers, après avoir placé le cercueil de ma mère sur un catafalque, devant la chapelle qui jouxte le caveau en marbre de la famille Gasparini, ont salué mon père d’un grand geste, levant leurs chapeaux de paille entourés d’un ruban noir. Puis ils ont tendu la main et mon père, sans les regarder, a donné à chacun d’eux des billets.
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Quand mon père est absent, Margaret m’entraîne hors de la maison. Elle me conduit dans sa voiture découverte, haute sur ses énormes roues, jusqu’au sommet des collines, au-dessus des barres rocheuses qui dominent l’océan. Nous nous asseyons à l’abri. Elle continue ses leçons, en utilisant alternativement les langues qu’elle doit m’enseigner ; elle ne me parle plus des maîtres de la littérature des différents pays mais de l’amour, du corps et du désir.
Parfois elle a des gestes inattendus. Elle me prend par la taille, elle glisse sa main entre mes cuisses, elle me serre contre elle, ses lèvres tout près des miennes. Elle halète. Je sens sa poitrine qui palpite.
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Peut-être vont-ils venir m’agresser, me violer.
Ma peur, quand ce mot m’envahit, m’affole. Je ferme le store. Je suis nue. J’ai si chaud. Les miroirs m’attirent. Je me regarde comme si je pouvais voir les marques des violences qu’ils vont me faire subir. Ou pour découvrir sur ma peau les traces des caresses de Margaret. Car depuis que mon père est absent, Margaret est de plus en plus audacieuse. Elle a voulu voir ma chambre. J’ai baissé la tête et je l’ai guidée jusqu’ici.
Je ne savais pas qu’un lit pouvait être un océan en furie.
Quand je me souviens des heures que nous avons passées, l’une contre l’autre, l’une dans l’autre, silencieuses et moites, ma peur disparaît.
Je suis debout devant la grande glace de l’armoire. J’effleure ma peau brune, mon sexe. Je n’ignore plus rien du mot désir.Je décline le mot plaisir. Je suis devenue autre.
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Les gens accepteront pour pouvoir te regarder bouger devant eux. Tu va être le serpent qui les hypnotise. Ils voudront recommencer le reportage. Ils t’obéiront. Sois exigeante. Tape-leur dessus, comme un dresseur. Ils monteront sur les escabeaux, ils sauteront dans des cerceaux enflammés, tu verras, les stars, les princes, les auteurs à succès, les présidents, tu les auras tous à ta botte.
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Vidéo de Paul-Loup Sulitzer
Tantzor - Paul-Loup Sulitzer - LTL # 185
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