Écrits en 1953 – 1954, ces quinze récits, autant de visions fulgurantes, font ressurgir, stylisés, tranfigurés, des personnages et des situations dans ou hors le ghetto de Wilno pendant la seconde guerre mondiale. On y retrouve tout l’art de Sutzkever : voir et faire voir la vie et la mort, la grâce et l’horreur, dans toute leur puissance.