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3,23

sur 551 notes

Critiques filtrées sur 1 étoiles  
Extrait de la quatrième de couverture :
Provocant, urgent, impitoyable, un roman coup de poing, une révélation dans la lignée d'un Don DeLillo ou d'un Jonathan Franzen. Lors d'un barbecue entre amis, un adulte gifle un enfant qui n'est pas le sien. Un incident qui va créer une onde de choc parmi les invités et provoquer une série d'événements explosifs. Mais aussi révéler, derrière les belles apparences, le racisme ordinaire, la drogue, l'alcool, la honte et une extrême solitude. Tour à tour violent et bouleversant de tendresse, un très grand roman qui dresse, avec une formidable lucidité, le tableau d'un Occident en pleine confusion.

Non, ça ne sera pas un billet habituel mais l'autopsie courte d'une lecture abandonnée à la moitié. L'auteur a choisi de bousculer le lecteur par une utilisation massive de mots crus. Et la lectrice que je suis en a fait une overdose… J'ai tenté de poursuivre cette lecture, de m'intéresser aux personnages mais le vulgaire l'a emporté.
Dès la première page, les amis de la confrérie de la poésie comprendront que celle-ci ne sera pas au rendez-vous. Avant même l'incident de la gifle, Hector chez qui le barbecue est organisé m'est apparu comme quelqu'un qui se soucie beaucoup de ses besoins sexuels. du sexe à l'état brut que j'ai retrouvé dans les 246 pages lues (pour la sensualité, il faudra repasser). A partir de l'incident, on découvre l'intimité des personnages. Derrière les masques, on trouve de la drogue, des questions sans réponses, des désillusions, des enfants surprotégés ou élevés devant la télé.
J'aime les lectures qui me font réfléchir sur notre société et ses dérives. Mais là, j'ai abandonné. L'écriture ou plutôt le vulgaire m'a coupée l'envie d'en savoir plus sur ces personnages.
Faut-il user à outrance du trash pour émouvoir le lecteur ou le faire réagir sur certains sujets ? Je n'en suis pas certaine.

Lien : http://fibromaman.blogspot.c..
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Je suis enfin venue à bout de ce roman sans intérêt... On pourra dire que j'ai vraiment peiné... Pfff ...Passons sur la question du style puisqu'il n'y a rien à en dire. Les personnages sont communs, plus ou moins tarés, plus ou moins vulgaires. La sexualité est très présente mais présentée sous un angle réellement rebutant, très primaire...Certains parlent de choc... "la Gifle" n'aura même pas eu le mérite de me choquer! J'aurais préféré...
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J'ai tenu bon pendant la moitié du livre parce que c'était un partenariat, mais j'ai lâchement abandonné cette lecture.

Où sont les évènements explosifs annoncés dans la quatrième de couverture ???? Suite à l'épisode de la fameuse gifle on découvre la vie de certaines personnes qui étaient présentes lors de ce geste violent.

Alors mon avis est le suivant : Il ne se passe rien ou pas grand chose, les personnages ne sont ni sympathiques ni attachants, c'est assez vulgaire et même si c'est bien écrit je n'ai pas réussi à tenir bon jusqu'à la fin et à m'intéresser suffisamment aux protagonistes de cette histoire pour continuer.


Lien : http://pages.de.lecture.de.s..
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J'ai vraiment détesté ce livre.
En bref, " La gifle" commence alors qu'une famille élargie ( +des amis) se réunit pour un barbecue de banlieue. L'un des enfants devient incontrôlable et l'un des autres parents lui donne une gifle. L'idée de base est intéressante - « l'incident » à la fête et comment il affecte la vie des personnes impliquées, ce qui conduit à son tour à une histoire et une étude de caractère d'un groupe de personnes vaguement liées entre elles. D'un autre côté, l'idée de retracer la vie des témoins de la gifle en question aurait été intéressante si :
a) ils avaient été crédibles et non des caricatures monstrueuses des adultes
b) vous ressentiez un quelconque sentiment pour eux
c) la gifle avait eu un effet sur leur vie... concrètement je veux dire...
Chaque chapitre vous donne un aperçu de la vie, des attitudes racistes, des moeurs sexuelles et de la position sur la gifle de chaque personne qui était là pour en être témoin. L'objectif est de savoir comment cela divise un groupe d'amis alors que chacun prend parti, et ce qui avait été un groupe d'amis assez proche se divise et les relations deviennent tendues. Mais lorsque le livre avance, l'auteur entre dans la vie non seulement du groupe principal d'amis autour duquel la première section du livre est basée, mais aussi dans la vie des personnages mineurs. À chaque page que je tournais, je me demandais pourquoi je lisais ça (je m'ennuyais tellement)... je n'ai toujours pas ma réponse. Peut-être parce que j'aime bien aller au bout d'un livre avant de donner mon opinion.
Un autre gros souci, c'est le langage du roman. Pour le dire très clairement, vous aurez du mal à trouver une page qui ne contient pas au moins une obscénité. Maintenant, je ne suis pas une prude et je ne suis pas démodée non plus. Je n'ai aucune objection aux jurons occasionnels ou lorsqu'ils sont utilisés dans des contextes appropriés. Mais quand ils sont jonchés partout sans raison apparente ou but autre que de jurer pour le plaisir de jurer, je suis irritée. C'est grossier et inutile. Et je ne parle plus des scènes de sexe gratuit. S'il est fait avec sensibilité ou décence, je n'ai aucun problème. Oui, je sais, le sexe se vend. La drogue aussi. Et ici, nous avons tout le cycle du sexe, de la drogue et du rock n roll. Mais personne dans le roman ne souffre jamais d'un manque , personne n'a jamais fait de bad trip sur le LSD. Tout est merveilleux et il n'y a pas d'effets secondaires. Sans blague ?
Eh bien, je crois que vous avez compris mon avis. . Mais ce que je ne comprends pas, c'est pourquoi ce livre a un tel succès critique. Pour moi, c'était grossier, irréaliste et épouvantable en matière de développement de l'intrigue et du personnage pendant les trois premiers quarts du roman.
Enfin, la gifle, qui est censée se répercuter dans la vie de chacun des personnages, n'a qu'un impact très limité, à part pour Rosie et son mari, et à mon avis ce n'était qu'une excuse.

Quel gaspillage de temps ! Ce livre ne m'a rien apporté dont je ne vous le recommanderais pas. Libre à vous de le lire pour avoir votre propre avis!
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Que vous dire de ce livre? Je ne m'attendais clairement pas à cela.. Je n'ai pas réussi à adhérer au style de l'auteur ni à l'histoire en elle-même.

Les critiques sont dans l'ensemble toutes positives envers ce livre mais moi je ne l'ai pas du tout aimé.

Je pense que l'utilisation massive de mots crus, il n'y en a quasiment à chaque pages, m'a très rapidement énervée et ne m'a pas spécialement donné envie de poursuivre ma lecture. J'ai d'ailleurs fini par abandonner ce livre (ce qui m'arrive très rarement), j'avais cette impression que l'auteur voulait nous convaincre que la liste d'immoralités qu'il décrit est tout à fait normal, que c'est le quotidien de chacun. Aucun personnage dans ce roman ne semble "normal".

Une énorme déception pour moi, avec pourtant un sujet qui semblait intéressant à aborder, mais l'auteur ne l'a, à mes yeux, pas fait de la bonne manière!
Lien : http://geekofbooks.blogspot...
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Dois-je classer ce livre parmi ceux que j'ai "lus" puisque je me suis arrêtée à la page 140 ?
L'intrigue de départ était pourtant tentante : plusieurs couples avec enfants se retrouvent autour d'un barbecue. Un homme gifle un enfant qui n'est pas le sien. Les parents dudit enfant ne l'entendent pas de cette oreille et veulent porter plainte...

Le roman dépeint certes la société occidentale actuelle dont les valeurs sont souvent en perdition et où les opinions des uns et des autres sont parfois en totale contradiction.
Les chapitres qui exposent chacun la vie le point de vue d'un des personnages sont trop longs; je me demande même si on ne pourrait pas les lire dans le désordre tellement qu'ils sont détachés...
Il n'y a pas assez de dialogues et c'est trop vulgaire (je ne pense pas que la majorité de la population occidentale conçoit le sexe de la même façon qua dans le livre), les personnages sont trop barjos pour être crédibles.

Bref, vous l'aurez compris, La Gifle ne m'a pas touchée.
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J'avoue être franchement déçue par ce roman. L'idée de départ était bonne pourtant. tout d'abord je n'aime pas trop la construction du roman : chaque chapitre est consacré a un personnage. de plus, je trouve ce livre vulgaire, il est s'en cesse question de sexe, de drogue et d'alcool. Et enfin, je trouve qu'il y a trop de longueur, l'auteur dérive souvent sur des sujets qui ne sont pas utiles pour l'histoire.
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À sa sortie, en 2011, ce roman m'avait fait de l'oeil. Avais-je vu un engouement du lectorat cybernétique ? Entendu une recommandation d'un ami ? Repéré le titre à la radio ? dans une revue ? Aucun souvenir.
Mais j'avais très envie de découvrir ce texte, présenté comme "Provocant, urgent, impitoyable, un roman coup de poing...", selon la 4e de couverture (que je ne lis jamais avant de lire un bouquin... mais parfois après).
J'étais motivé également par mon envie de découvrir de plus en plus d'auteurs et d'autrices hors de France. C'était l'occasion de lire un livre australien.

Eh bien...

Déjà la mise en place est longuette et confuse : il y a un BBQ chez Hector et Aisha, les (nombreux) invités arrivent et il faut essayer de retenir qui est le père, la mère, la fille, le cousin, le pote de lycée, la collègue, le mari, la stagiaire de qui. Et qui est grec, indien, malaisien ou australien bon teint (c'est-à-dire blond et rougeaud). Ce que l'auteur ne facilite pas, en décidant de donner à 3 invités les prénoms de Harry, Ari et Gary.
Hélas la fête capote quand l'un de ces 3 flanque une gifle au mioche insupportable d'un autre.
"Un incident qui va créer une onde de choc parmí les invités et provoquer une série d'événements explosifs", dixit la 4e de couv.
Ben... pas trop, en fait

Arrivé à la page 212 sur 467, j'ai assisté à 4 ou 5 BBQ, 6 ou 7 copulations légitimes ou non, suivi une journée complète dans une clinique vétérinaire (les chiens se remettent bien, soyez rassurés), vu passer 892 bières (et un nombre plus restreint de lignes de coke, de comprimés d'ecstasy et autres substances psychotropes), lu 328 insultes racistes, misogynes ou homophobes échangées par les personnages (mais, c'est pour rire, hein... ou pas) et avalé des kilomètres de dialogues dépassant de très loin les frontières de la vacuité sidérale établies par les Feux de l'Amour en 1973.
Mais ni scène marquante, ni style, ni humour, ni idée intéressante et des personnages qui sont des caricatures de clichés.

J'ai reposé le livre et pris un Toni Morrisson.
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Décevant,car confus avec personnages stéréotypés ,caricaturaux,avac abondance de trivialités et sexes cracra ,crues crues.
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Immense déception que ce roman. Ce n'est pas tant l'histoire qui m'a déplu (j'ai trouvé les portraits assez francs et honnêtes, loin du politiquement correct) mais plutôt l'écriture très vulgaire sans que cela n'apporte quoi que ce soit au récit, et la longueur du roman. Autant de pages sur ce sujet, c'est lassant, et ça n'apporte rien. D'ailleurs, en parlant du sujet, je m'attendais à une analyse des répercussions de la gifle sur chacun des personnages. En réalité, cet incident n'est qu'un prétexte pour parler des personnages, mais n'est ensuite quasiment plus abordé (alors pourquoi ce titre ?) Je n'ai ressenti aucune empathie pour les personnages. Chaque portrait malheureusement dégénère, et glisse vers la vulgarité voire la bestialité parfois. Pourquoi ? Quel est le message ? Je cherche encore comment ce livre a pu recevoir autant de prix...je suis peut être passée à côté du sens ?
Au final, j'ai l'impression de m'être faite avoir avec ce roman : le thème de la gifle n'est pratiquement pas abordé et le style de l'auteur ne mérite pas selon moins qu'on s'y attarde.
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