Je ne le cache pas, j'ai pris cette BD au hasard, pour sa couverture que je trouve magnifique et pour le titre... C'est après que j'ai lu le résumé.... et j'étais enchantée à la lecture de celui-ci ! J'ai donc ouvert l'album confiante que j'allais passer une moment magnifique de lecture, malgré le sujet difficile... Une Nouvelle-Orléans dévastée après le passage de Katarina, des hommes sous l'emprise de la drogue, leur chemin de croix vers la nouvelle dose... Ça commence fort, les dessins sombres, avec ce bleu glacial.... mais bon... au final, la route n'a pas été aussi captivante qu'espérée... J'ai aimé, mais sans plus... Il y a tout de même quelque chose de vivant, désespérément vivant qui ressort de cette ambiance sombre, de calvaire de junkie en manque de leur prochaine dose... L'amitié, la force de s'en sortir parce que l'envie y est, la rencontre entre un homme et une femme... Mais ça reste superficiel...
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(LX971) Si on parvient à rentrer dans cet univers sombre, servi par des encres ténébreuses, on chemine avec intérêt aux côtés de ces trois junkies, à la recherche de leur came au lendemain du passage de l'ouragan Katrina. Les paysages dévastés croisent la déshérence des personnages jusqu'à l'éclaircie finale. Cette bande dessinée réussit le pari de dépeindre le calvaire du junkie, sa dépendance physique et psychologique à la drogue. Malgré tout, elle ne semble pas adapté à nos lecteurs du Prix BDz'îles car trop singulière et sombre à mon avis.
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Katrina viens de ravager la Louisiane, alors qu'ils pensent être les rois du monde dans ce monde où tous sont touchés par la misère, trois clochards se rendent compte que leur Eden n'en est pas un, les dealers ne sont plus là pour leur fournir leurs doses quotidienne. Une course contre la montre face aux effets dévastateurs du manque du précieux crack.
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... lui, c'était son premier shoot... et, en un clin d'oeil, son dernier... je n'ai rien vu venir.
Vincent Turhan sur la route des Étoiles s’éteignent à l’aube