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Cela fait quelques temps que je souhaitais lire un roman de Charlotte Valandrey, après avoir vu il y a moins d'un an une interview, ou j'ai découvert son histoire dont je ne connaissais que la séropositivité.
J'ai donc lu ce roman avec beaucoup d'attentes et d'attention, mais il me faut avouer que seule la première partie et la toute fin m'ont intrigué.
Je ne sais pas si tout ce qui est écrit a été vécu par Charlotte ( hormis bien sûr les parties concernant la maladie), si c'est le cas, quelle vie.
Je ne donnerai pas de précisions pour éviter de gâcher le plaisir des futurs lecteurs. Mais il y a de nombreux anecdotes que j'ai cru romancé. Peut-être est-ce que je me trompe...
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Il y a d'abord Charlotte Valandray que je me souviens d'avoir admirée sur les écrans il y a de nombreuses années et par laquelle j'étais attirée comme son cardiologue dans le roman. Difficile dans ses conditions de ne pas avoir envie aujourd'hui de la protéger, de l'entourer en étant toujours sous le charme. On s'intéresse donc à elle, à ce qu'elle vit, on compatit ou on s'exalte avec elle. Mais au fil du livre il m'a été difficile de ne pas être un peu agacé par son attitude de petite fille, parfois naïve, parfois capricieuse. Mais j'ai tellement envie de lui "pardonner".
J'aurais aimé en savoir plus sur la mémoire cellulaire et sur ses manifestations si spectaculaires et déstabilisantes. Est-ce que ce phénomène est à l'origine de son idylle avec le mari de sa donneuse ? Après tout ce n'est pas si important s'ils sont tous les deux heureux.
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Un superbe témoignage. Je ne connaissais pas particulièrement cette actrice ni même son histoire avant d'avoir à lire ce livre pour un concours.
Ce livre est surtout basé sur son ressentie après sa greffe de coeur, et la mémoire cellulaire, c'est à dire pouvoir avoir des souvenirs ou des nouveaux goûts, qui appartiennent au donneur. Nous voyons sa recherche pour trouver qui c'était. Ses problèmes pour trouver du travaille depuis la sortie de son premier livre révélant qu'elle est atteinte du sida depuis ses 17 ans. Nous partageons aussi ses coups de coeur, ses amours, ses voyages, et ses problèmes.
J'ai découvert un femme pleine de vie avec rage de vivre incroyable et compréhensible, une combattante qui réussit à tout surmonter, et un peu fantasque. C'est une vrai leçon de vie, qui donne une nouvelle vision du don d'organe.
C'est une livre que je suis ravi d'avoir découvert, que je conseil à tout ceux qui peuvent être intéressés par ce genre de livre.
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charlotte valandrey tout en
retenue et surtout en émotion, mon raconte sa
greffe cardiaque. a travers un roman riche en tension.
émouvant, a travers une
expérience qu'elle nous fait partager.une vraie rencontre avec une femme
avec ses peurs, ses envies,
un roman a la fois triste et émouvant. mais aussi plein
d, humanité et non pas non plus dépourvu d, humour.
👍😉
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Il est des rencontres qui nous marquent à vie, des rencontres éphémères ou plus longues. Peu importe! Des rencontres que l'on attendait mais que l'on n'espère plus, à force d'attendre et de chercher, parfois sans même le savoir.
Une amie m'a parlé d'un livre qu'elle s'était procuré un jour. « C'est l'histoire d'une femme atteinte de séropositivité. Elle s'appelle Charlotte Valandrey ». Cette phrase avait suffi à m'en éloigner. Je ne voulais plus revivre la séropositivité. Plus jamais.

Je me souvenais trop bien de la relation particulière que j'avais entretenue avec Cyril Collard à travers son livre Les Nuits Fauves. Je m'en souviens encore. J'étais collégienne. J'étais à mes premiers amours littéraires et ce livre m'était tombé sur les mains. Je devais avoir 13 ou 14 ans. Je ne sais plus. Peu importe.
Je n'ai jamais raconté cette histoire, ce lien si fort que j'avais ressenti avec lui. On ne se connaissait pas lui et moi. On ne s'était jamais rencontré non plus. Et pourtant. Lorsque j'ai fini son livre que j'ai lu en une journée, j'ai eu si mal au coeur. Si mal partout, dans mon corps et dans mon coeur. J'avais mal pour lui, pour moi, pour cette injustice qui touche l'amour censé donné la vie. Je me souviens avoir levé les yeux vers mes parents qui se déchiraient une fois de plus. J'avais envie de leur crier d'arrêter, de leur dire que la vie ne méritait pas que l'on se dispute. J'avais envie de les supplier de chanter, de rire et de pleurer mais uniquement de rire. Mais je n'ai pas pu. Leur maladie m'atteignait autant que celle de Cyril Collard. Une maladie physique. Une maladie d'amour. Une maladie de coeur, avais-je fini par conclure. « Ah ! Si on savait aimer » me disais-je en pensant à tous ces cris que les humains font et que l'on reçoit en héritage.

Mon amie m'a parlé de ce livre l'année dernière. Je l'ai acheté cette année. Une impulsion. J'écoute toujours mes impulsions. Elles ne me trompent jamais.
Je fus d'abord surprise par cet achat, me demandant ce que je n'avais pas encore compris de la vie. Et puis je me suis faite confiance. Les messages sont partout. J'en vois de plus en plus tous les jours. Je ne les cherche pas. Ils sont là et me saluent juste.

J'ai commencé par regarder la couverture. Je ne connaissais pas cette femme qui posait là. Elle était belle. J'étais presque fascinée. Son regard, sa bouche… Un visage particulier à n'en pas douter. Les visages expriment tant de choses. J'ai fait confiance à ce visage familier que je sentais mien de plus en plus. Sensation étrange, je vous assure. Puis, petit-à-petit, je n'ai plus eu peur. « Personne n'est comme Cyril Collard, me disait ce visage. Personne n'est comme moi non plus. » J'ai donc commencé à aimer Charlotte Vallandrey, avant de lire son livre via son visage de papier. Je ne connaissais rien d'elle. Je n'avais pas vu ses films. C'est une actrice. Je ne l'ai toujours pas fait. Un jour peut être. Aujourd'hui, c'est la femme qui m'intéresse, plus que l'actrice. Peut-on être amie avec une femme de papier ? Ca fait sourire cette phrase, n'est-ce pas ?

Ce livre est difficile à résumer. En fait, plus j'y pense et plus je crois qu'il ne se résume pas et qu'il se vit. On dit rarement ça des livres. On dit souvent ça des émotions et de la vie. Je pourrais user de belles phrases et le décrire comme la vie faite femme. Ce serait proche de ce que je ressens, mais peut être trop mièvre cependant. La femme que j'ai lue n'est pas mièvre du tout. Difficile que d'écrire sur ce livre. Je parlerais donc de mes émotions.

« C'est l'histoire d'une femme qui aima tellement la vie qu'elle eut besoin d'un autre coeur » dit-elle à son propos à plusieurs reprises. Aimer la vie, ne pas l'aimer suffisamment, l'aimer trop ou l'aimer comme il faut. Sa vie est une histoire d'amour gigantesque. Je pourrais parler de la vie comme de Charlotte Valandrey. Les deux vont si bien ensemble. Je pourrais décrire ainsi ma vie, ou la votre. L'amour est partout dans la vie. Même quand il est absent. Son absence nous rappelle sa présence, ailleurs. L'amour nous fait vivre et souffrir. Tous. C'est peut être aussi pour ça que je soupçonne ce livre de toucher beaucoup de gens. On ne peut pas rester insensible à la vie. Même le plus grand des égoïstes souffre. Tout part de l'amour. C'est le fil conducteur de nos vies qu'est la vie.


Alors quand je lis son livre, je saute de joie lorsque je vois Charlotte heureuse et amoureuse. Mon coeur fait un bond vers elle et je l'entends qui bat, pour elle. Je repense encore plus à son histoire. « le coeur est le seul organe que l'on puisse ressentir » lui dit son docteur, devenu compagnon, puis ex compagnon. Peut être parce que c'est l'organe le plus important. Peut être pour nous rappeler de toujours aimer aussi. Je ne sais pas. Je me permets juste de supputer, juste pour le plaisir d'être encore avec Charlotte Valandrey, en pensant à son livre qui m'a tant émue.


« J'ai lu votre livre, votre vie ressemble un peu à un polar », lui dit une personne travaillant dans une maison d'édition. Ici, je sens tellement l'amour présent, à chaque page, derrière chaque mot, chaque signe de ponctuation. Si je croisais Charlotte rapidement, je lui dirai que son livre est un mélange d'intrigue, de poésie et d'émotions magnifiques. Surtout d'émotions. Ca en soulève tant chez moi que je ne peux passer à côté. Je rajouterai aussitôt que c'est une personne qui mérite d'être connue et que j'adorerai connaître. Puis, si j'ai le temps, je lui dirai que son père a raison, qu'elle est un ange et que ses mots me transpercent le coeur. Peut être que moi aussi j'ai besoin d'un nouveau coeur. Peut être parce qu'elle touche/révèle/ guérit des fissures que se réveillent en moi sous le poids de ses mots. On croirait des mots sans frontières et sans limites, comme l'amour l'est, normalement, mais que le VIH a banni par exemple. Ce livre me touche parce qu'il ouvre à la réalité des personnes au coeur si immense qu'il prend trop de place dans le corps. C'est un livre émouvant car elle a la volonté de protéger les êtres vivants. Ainsi, évoquant sa cicatrice avec un petit garçon greffé lui aussi du coeur, elle lui précise que c'est le signe des guerriers. Elle l'embrasse sur le front, désirant par ce faire le protéger, un peu comme un ange. Un livre sur les exceptions aussi. N'est-elle pas la seule greffée cardiaque séropositive en France ? Ils étaient trois il y a quelques années. Une a fait un rejet et l'autre s'est suicidé. Mais elle n'est pas que ça. Charlotte Valandrey, pardon, Anne-Charlotte Pascal de son vrai nom, n'est pas que ça. Oui, elle est séropositive mais pas que. Oui, elle est greffée du coeur mais pas que. Ne la réduisez pas à cela. Elle est tellement plus. Elle est « fondamentalement programmée pour survivre », comme le dit sa psy en parlant de nous, de l'humanité. Mais nous, le savons-nous ? En avons-nous conscience ?

« On vit une succession d'expériences, d'états jamais durables dont on peut toujours sortir grandis. le succès ne dure pas, le malheur non plus, c'est normal. Dans un cycle de vie, il y a le printemps ou le temps de préparation, de gestation de l'action, puis vient l'été, le temps du succès, puis l'automne, l'après-succès, l'inévitable décompression et l'hiver, le repli sur soi, l'introspection puis les saisons continuent. Ces cycles s'enchaînent selon un mécanisme vital régi par des forces naturelles et extérieures, indépendantes de notre volonté. Il nous appartient cependant de ne pas passer trop de temps en hiver. Certains réussissent même à prolonger l'été ou a passer directement de l'automne au printemps. »

Charlotte Valandrey, si un jour vous passiez par là, sachez que « je n'ai jamais dit adieu. Ce mot m'est inconnu. Alors simplement je vous embrasse » et je vous remercie pour ce nouveau coeur, le votre, qui m'a révélé le mien.

Puis, pour vous, un petit cadeau en partant, un peu d'art thérapie que vous aimez tant via cette chanson de Barbara. Elle est un peu de vous. Un peu. Beaucoup. Passionnément.
http://www.youtube.com/watch?v=nUE80DTNxK4 (version de Barbara)
http://www.dailymotion.com/video/x34e7p_benabar-dis-quand-reviendras-tu_music (version de Bénabar qui me fait terriblement penser à vous)

Lien : http://aupetitbonheurlapage...
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A 17 ans, lors d'une liaison avec un rocker drogué dont elle tait le nom, Charlotte contracte le virus du sida, la voilà « séropo », devenue subitement une paria alors qu'elle commençait une carrière de comédienne après son succès dans le film « Rouge baiser ». En 2005, elle raconte son parcours (sida, greffe du coeur) dans son livre L'Amour dans le sang (qui donnera lieu à un téléfilm).

Avec pudeur mais sans cacher ses difficultés, elle raconte la solitude, la carrière interrompue, l'abandon par le « milieu » (faisant référence aux propos bouleversants d'Annie Girardot lors de la remise de son César), le tri qu'on fait quand on est gravement malade : important/pas important, ami vrai même récent/ ami de pacotille malgré les années communes, à fréquenter/à fuir comme toxique ou égocentré : expérience vécue.et encore d'actualité.

L'impossible va se produire : ce coeur qui bat en elle lui « parle », elle semble recevoir des informations, sensations, émotions, de cet organe. Et sa quête lui devient essentielle : identifier son donneur, malgré les interdits, malgré l'omerta légale du milieu médical.

Que penser de la « mémoire cellulaire » ? Les scientifiques ricanent. D'autres chercheurs s'intéressent (ex : ARC, analyse et réinitialisation cellulaire, une médecine révolutionnaire)

Et soudain se produit, un coup de théâtre : des lettres sur papier de luxe arrivent qui lui disent qu'elle porte un coeur aimé, le coeur de l'épouse chérie, perdue un soir place de la Nation lors d'une collision de voitures.

Les événements s'enchaînent, vrais ou à peine vraisemblables, on ne sait pas très bien puisque ce livre paraît sous la rubrique « témoignages ». Qu'importe. Ce qui compte, c'est la richesse de ce coeur changé, la ferveur des sentiments, la vérité des mots et des émotions décrites. Charlotte Valandrey met tant d'énergie dans son combat, dans son récit, qu'on y croit, qu'on a envie de réussir avec elle, pour elle, un chemin semblable. Même si on a un petit sourire sceptique mais envieux quand elle raconte son « devin Pierre », on lui envie Claire, sa psy, ultra-professionnelle et réconfortante mais surtout Lili, son amie sa soeur, et Tara, sa fille, la perle de ses jours.

Charlotte Valendrey, quasi absente des écrans, d'une présence impressionnante sur le papier. Bravo, mademoiselle !
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J'ai dévoré ce livre ! J'ai du mal à mettre un commentaire dessus tellement il m'a ému! Dans ce livre, je me suis sentie hyper proche de Charlotte Valandrey. Je ne la connaissais que de nom avant la lecture de ce livre mais maintenant, j'ai envie de la connaître davantage. Je vais surement lire son premier livre et voir ses films. Je ne la verrais pas seulement comme une actrice. Je la verrai aussi comme une personne unique. Les acteurs, les auteurs, on les voit, enfin, je les vois comme des génies, des personnes inaccessibles. Avec Charlotte, je n'ai pas eu cette sensation de distance lecteur-auteur. Je n'ai rien vécu de ce qu'elle décrit mais je me suis retrouvée dans ses mots dans certains traits de son caractère.

Je trouve qu'elle est très courageuse car même si, de nos jours, les mentalités évoluent parler du sida reste difficile, surtout médiatiquement. Mais Charlotte le fait sans détour et avec des pointes d'humour.

Avec ce livre, j'ai vécu, j'ai ri, j'ai pleuré, j'ai ressenti des tas d'émotions contradictoires. Merci Charlotte parce que ça faisait longtemps que je n'avais pas ressenti autant d'émotions dans une lecture !
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Je vous l'avais dit après l'avoir découverte dans 7 à 8 l'autre dimanche, racontant son incroyable histoire d'amour : je voulais lire « de coeur inconnu », alors que, regrets, je n'avais pas lu « de sang et d'amour ». Qu'importe, l'histoire de Charlotte Valandrey ne peut que toucher, surtout quand elle s'apparente à un roman de Guillaume Musso, ce n'est pas moi qui le dis, c'est sa pote Lili, mais je l'ai pensé immédiatement en l'entendant à la TV, cette histoire rocambolesque.

Je vous l'avais dit, je l'ai fait : j'ai lu de coeur inconnu. Et cette plongée dans la tranche de vie de Charlotte m'a captivée du début à la fin.

Charlotte a tout vécu déjà, à à peine 40 ans : la gloire alors qu'elle était encore toute jeune, la passion amoureuse qui lui laisse en cadeau la contamination par le VIH, l'oubli de la profession, une petite fille, son « bébé de l'an 2000 », le coeur mourant qu'il faut remplacer en urgence, les infarctus, la solitude aussi.

Alors je m'attendais à un livre un tantinet tristounet…

Et bien que nenni, Charlotte est pleine d'un humour fou qui se ressent dans chacune de ses phrases.

Outre le récit des années qui ont suivi la parution de son premier ouvrage, c'est cette histoire à la Musso qui captive. Cette lettre qu'elle reçoit, anonyme, en caractères d'imprimerie, sur papier luxueux, et qui commence par « je connais le coeur qui bat en vous, je l'aimais… », qui la lance dans une quête effrénée afin de comprendre le pourquoi de ces cauchemars d'accident de voiture qui peuplent ses nuits et le pourquoi de ce goût soudain pour la tarte au citron meringuée engloutie sans la meringue. Avec son amie Lili, alias Miss Marple, avec son psy, avec un voyant séduisant et avec la profession médicale, elle va tenter d'en savoir plus.

Un livre triple effet, donc : témoignage, enquête et romance. le tout saupoudré du zeste d'humour que j'évoquais plus haut. Sans oublier une émotion, toujours contenue, jamais larmoyante, mais bel et bien présente.

Pour ma part, j'ai profité d'une de ces journées d'été indien qui nous est actuellement offerte pour m'avachir sur un transat, au soleil, et commencer ce livre. Je n'ai plus quitté mon transat avant la dernière page.

Quelques heures dans la vie de Charlotte Valandrey, qui m'ont donné une seule envie : me ruer sur D'amour et de sang.

Et lui écrire, aussi, comme tant d'autres. Pour lui dire quoi ? Je ne sais pas trop. Que j'ai, moi aussi, le physique d'une grenouille, en tout cas, ça nous fait un fameux point commun. Que je n'admirerai pas son courage, puisqu'elle estime ne pas en avoir, mais tout de même. Que j'espère que ce sera adapté à l'écran, comme son premier ouvrage, passqu'il le vaut bien et passque ce sera so romantic, et puis passqu'elle aime tant la caméra, Charlotte. Quant au reste, cela sera entre elle et moi…
Lien : http://www.le-celibat-ne-pas..
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L'histoire qu'elle nous livre ici est vraiment surprenante, on a du mal à y croire. Est ce le destin ou autre chose qui a fait la rencontre? Elle aborde le sujet de la mémoire cellulaire, sujet très délicat pour les médecins. En tout cas c'est un livre qui ne laisse pas indifférent.
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ce livre témoignage de Charlotte Valandray..
comme le dit si bien son amie "lili"ressemble a un roman de Marc Levy ou Musso"..
simplement magique...émouvant...
qu'elle courage nous montre Charlotte Valandray,
qu'elle sensiblité,qu"elle force..
l'écriture est belle,prenante,poétique,réelle....
Merci pour ce magnifique témoignage..
et surtout ce livre transmet un méssage...
ne jamais baissez les bras,croire et avancer...
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