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Quelle joie de lire une lecture de ce niveau ! Sur le papier, le duo Vehlmann et Andreae est plein de promesses et en effet, leur collaboration envoie du lourd !

Bien que je ne souhaite pas les comparer, l'univers ogresque m'a forcément fait penser à la saga des Ogres-Dieux que j'avais beaucoup aimée à l'époque.
Et bien cette nouvelle proposition se défend très bien face au mastodonte du genre !

Nous découvrons l'intrigue grâce au personnage de Blanchette, jeune fille chétive et secrète dont les cheveux auraient soudainement blanchi une nuit suite au décès de sa mère. On comprend que Blanchette porte en elle un lourd et probablement terrible secret, dont on aura l'explication à la fin du récit.
Blanchette, donc, fait partie d'une bande de gamins qui survivent comme ils le peuvent. La jeune fille n'est pas vraiment acceptée par les autres enfants qui la trouvent étrange et trop réservée. Cela ne l'empêche pas de tenter de voler à leur secours lorsqu'ils se font tous enlever, sauf elle, ce qui l'amène à pénétrer sur les terres de ogres...

Je garderai cette critique sans spoiler pour ne gâcher le plaisir de personne, car ce serait trop dommage de connaître les détails de l'intrigue et sa fin. Ne passez pas à côté de ce superbe album, de cet excellent conte pour adultes.
Tout est bien pensé, réfléchi, c'est fin et intelligent en plus d'être très très beau. L'univers est étonnant, décalé et fantastique (dans tous les sens du terme) ; les personnages quant à eux sont attachants et amènent beaucoup à l'intrigue déjà maîtrisée.

Je conclurai en précisant que d'autres tomes sont prévus, mais cette histoire est auto-conclusive donc vous ne resterez pas sur votre faim (ce qui aurait été un comble pour un ouvrage autour de la cuisine hihi) !
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Blanchette est une gamine des rues maladroite mais au grand coeur. Quand ses compagnons de la rue se font emporter par le croque-mitaine, elle n'hésite pas à les suivre jusqu'à l'intérieur de la "dent du chat", repère de la cuisine des ogres!

J'ai trouvé cette lecture passionnante et originale. Nous suivons le parcours de cette petite fille dont on devine le passé lourd à porter. Elle qu'on surnome blanchette car ses cheveux ont blanchi d'un coup à la mort de sa mère, qu'elle a fuit du domicile paternel pour de terribles raisons... puis qu'on surnomme trois-fois-morte pour sa survie incroyable parmi les Ogres.
L'univers est formidable. Il est rempli de détails qui font vivre cette cuisine et la rendent vivante. C'est à la fois cruel (des enfants se font jeter au hachoir, des morceaux de barbaques sanguinolentes sont bien visibles et les licornes se font dépecer méticuleusement) mais aussi touchant et drôle. Une recette parfaite pour passer un excellent moment de lecture.
Surtout que le dessin est sublime. Il fait vivre l'univers grâce à tous ses détails, ses arrières plans détaillés, son imaginaire fantastique. La colorisation et les lumières sont très justement dosées.
A la manière des ogres fin gourmets, on apprécie et on en redemande !
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Les enfants voient au loin de la fumée s'élever au-dessus de la montagne qu'on appelle La dent du chat. La légende dit que c'est le signe que les cuisiniers de l'enfer ont allumé leurs fourneaux...Qu'y a-t-il derrière cette montagne ? Les enfants, et parmi eux Blanchette, vont bientôt l'apprendre à leur dépens. Personne n'échappe à la cuisine des ogres...

Le scénariste Fabien Vehlmann (Seuls, le dernier Atlas et bien d'autres) nous a concocté un conte improbable. Langage, personnages, situations, le récit est d'une richesse folle et nous surprend de page en page. En héroïne chétive et courageuse, Blanchette alias Trois-fois-morte fait merveille en dépassant ses peurs et son destin...

Il fallait bien la créativité et les crayons magiques de Jean-Baptiste Andreae (Azimut, La confrérie du crabe) pour relever un tel défi ! Et c'en est un de mettre en scène l'arrière cuisine de la cantine des ogres, le lac-vaisselle et autres joyeusetés fantasmagoriques illuminent les pages ... C'est tout un monde caché qui prend vie sous nos yeux !

Alors bien sûr, cette histoire complète donne envie d'avoir une suite. Car oui, c'est peu de dire que cet album nous donne l'eau à la bouche ! Inventif, généreux, grave et drôle à la fois, il y a tout pour plaire dans cette BD là !

PS: il devrait y avoir 3 volumes indépendants
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Je suis faible devant les belles couvertures, surtout de ma couleur préférée, et les promesses de revisite d'univers des contes. Voilà les deux seules raisons qui m'ont poussée à ouvrir et prendre ce livre sans en savoir beaucoup plus ^^

Derrière se cachent deux auteurs chevronnés du monde de la BD officiant depuis des décennies. Fabien Vehlmann est notamment le scénariste de la saga fleuve : Seuls, tandis que Jean-Baptiste Andreae officie comme dessinateur depuis les années 90, ce qui fait qu'on lui doit des titres comme Wendigo ou Azimut. Ils ont de la bouteille !

Ensemble, ici, ils proposent, plutôt aux jeunes lecteurs, une revisite moderne et grinçante de ces contes où on retrouve des ogres et des enfants qui se font enlever. C'est le cas de la jeune Trois-fois-morte et de sa bande dès les premières pages, mais la suite ne va pas se passer exactement comme prévu et les auteurs vont nous surprendre de roublardise et de douce noirceur dans une histoire pleine d'humour noir et de rebondissements.

J'ai beaucoup aimé cette idée de revisiter un grand classique d'une telle manière. Ça me parle totalement. J'ai aimé pénétrer ainsi dans les coulisses des cuisines des ogres, assister au marché où on vend les enfants au menu, les voir se faire engraisser ou découvrir ce que cache les farces au menu. C'était amusant de découvrir que les cuisiniers eux-mêmes bien que figure ogresque effrayante n'étaient rien par rapport à leurs patrons et patronnes. Ce petit goût rabelaisien du récit m'a mis en joie.

Je suis en suite plus dubitative concernant l'héroïne et les aventures de celles-ci dans les coulisses de cette cuisine et de cette ville d'ogres. le récit étant, pour le moment ?, présenté sous forme de oneshot, j'ai eu l'impression d'une narration qui avait pas mal de trous pour ne pas trop rallonger l'histoire, mais qui du coup manquait d'approfondissement et sautait trop vite du coq à l'âne. Je n'ai pas ressenti d'attachement particulier à l'héroïne malgré son grand courage et son esprit astucieux. J'irai même plus loin quand tombe la révélation sur la raison de son surnom, je n'ai pas compris d'où ça sortait et ce que ça faisait là. Ce n'était pas le bon moment pour une telle révélation et c'était totalement hors de propos pour moi.

J'ai donc passé un bon moment graphique lors de cette aventure mais la narration et l'intrigue m'ont déçue et laissée sur ma faim. J'attendais une revisite plus engagée, plus personnelle, plus barrée et originale. Heureusement les dessins ont largement aidé à faire passer la pilule. J'ai adoré la teinte bleu nocturne d'une grande partie du récit, ces figures décharnées très burtonniennes avec aussi les cheveux fou de l'héroïne rappelant beaucoup un certain Edward aux mains d'argent. Il y a aussi un bel imaginaire monstrueux, grotesque, autour de ces ogres qu'on rencontre et les tableaux de vie qui les mettent en scène. Je suis juste, là aussi, plus réservée sur les tonalités choisies qui font alors perdre en lisibilité, je trouve, par rapport aux autres planches. Il y a un sentiment de frénésie que j'aime moins.

Je m'attendais presque à un coup de coeur avec cette lecture, je ressors un peu mitigée, un peu sur ma faim. J'ai trouvé l'expérience visuelle très chouette avec ses références à Burton et Rabelais. L'histoire, elle, manquait de profondeur, de nuances, de tissage aussi. Les auteurs avaient des idées, ils n'ont pas su pleinement les mettre en scène dans ce vaste tableau burlesque et grotesque imaginé par leurs soins mais inspirées des lectures de notre enfance. Je serais curieuse de savoir si les jeunes lecteurs à qui la BD est destinée ont eu le même sentiment ou si c'est moi qui suis trop pointilleuse >
Lien : https://lesblablasdetachan.w..
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Voici le genre d'album qu'on est obligé de consulter quand on tombe dessus en librairie, il est beau, il donne envie d'être ouvert, acheté et lu.
Et vous ne serez pas déçu(e) !!
Cette histoire est très belle, et mise en image de main de maître.
Bien sûr elle va apporter son lot de suspense, de drames, mais pour ce qui est donc des émotions,la palette va être large, de quoi vous convaincre, si besoin en est encore, de vous arrêter un instant quand vous vous retrouverez face à lui.
Bonne lecture !
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La soupe des gueux.
Pendant que les grands du monde ripaillent, dégustent en fins gourmets les fricassées de marmots désossés concoctés par des ogres aigres, rient à gueule bec au banquet chic, les gueux trinquent au prix fort. Ils sont la chair et le sang des festivités incessantes, à leur corps défendant. Encagés, les mioches font de la brioche qui sera dorée et craquante sous la dent dure des clients rois. 
Blanchette, une fillette de la rue, s'est retrouvée dans le sac de Grince-matin, croque-mitaine arachnéen qui leurre et hameçonne les enfants perdus pour les vendre aux ogres de la Dent du Chat, un monde merveilleusement affreux, invisible aux humains et situé dans le massif de la Chartreuse. Blanchette a la vie chevillée à son frêle petit corps. Elle va lutter, ruser, interroger, comprendre, apprendre et prendre des risques extraordinaires pour tenter de survivre et d'extraire ses compagnons d'infortune de la cuisine des ogres.
Le scénariste Fabien Vehlmann a su redorer le blason des contes édulcorés depuis des lustres en les replongeant dans le bain horrifique des origines. En y adjoignant une pincée de vice contemporain, il en fait un conte moderne. C'est la deuxième bonne surprise après la première, la beauté de l'album, avec son titre en creux, rehaussé à la feuille d'or et son splendide dessin de couverture, parfaitement équilibré, baignant dans les bleuités irréelles d'une nuit magique. Grince-matin pêche Blanchette et sa gibecière, dans ses replis, évoque une tête de goule qui semble sourire avec bonhommie. le propos est riche, référencé, actuel et nourri de symboles forts. Blanchette est résiliente et son chemin de croix devient initiatique. Quant au graphisme de Jean-Baptiste Andreae, il est remarquable de vie comme si le trait faisait naître de lui-même des formes que l'auteur captait et continuait dans des courbes, des voltes et des envolées émouvantes. Découpage, cadrage, mise en couleur sertissent le trait magique du dessinateur. On peut apprécier la beauté de son crayonné en allant sur son compte Instagram.
"La cuisine des ogres" est une parabole de notre monde moderne : l'homme est un ogre pour l'homme.
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Il y a trois ans s'arrêtait au cinquième tome l'une des plus incroyables saga de la BD franco-belge, un monde fou co-construit par Wilfried Lupano et Jean-Baptiste Andreae, cet Azimut qui restera un chef d'oeuvre intemporel. L'univers de JB Andreae est si fort et identifiable qu'il fait toujours craindre que le scénariste soit vampirisé, étouffé sous cet imaginaire issu de Tim Burton et du surréalisme de Dali. Fabien Vehlmann était le comparse idéal pour proposer un nouveau projet au dessinateur, dans lequel il se fond avec gourmandise et une facilité toujours sidérante.

La Cuisine des Ogres est un (gros) one-shot, en tout cas annoncé comme tel. le format double-album n'est pas de trop tant l'univers juste aperçu est monumental et se prête à une série. le sous-titre de l'album semble rappeler cette volonté qui cadre avec la politique raisonnable de Rue de Sèvres de ne jamais démarrer sur de longues séries mais de laisser la porte ouverte au développement de l'univers. le scénario malin permet tout à fait cela et on l'espère vivement en refermant le volume tant celui-ci est riche!

On commence avec une amusante variation Andreaéienne de Seuls lorsque l'histoire s'ouvre sur une bande d'orphelins très vite raptés par un croque-mitaine bondissant qui file livrer sa victuaille au monde des Ogres. Début alors pour celle qu'on appelle Trois fois morte la découverte d'un monde souterrain où des milliers de créatures sont occupées aux différentes étapes de fabrication du repas des Géants, du nettoyage de la vaisselle à la conception des plus fins mets. Réchappée au broyeur par miracle, la jeune fille est bien décidée à sauver ses amis de l'assiette…


Le ton tragi-comique est celui de tous les albums d'Andreae: celui d'un conte de fées pour sales gosses, où les personnages ont les yeux globuleux, les ogres le nez crochu et la plus mignonne des créature un je-ne-sais-quoi d'inquiétant. Au-delà des pérégrinations truculentes de l'héroïne se dessine une vie tout à fait dramatique qui n'a pas grand chose à faire dans un récit pour enfants… ce que n'est pas vraiment cette Cuisine des Ogres.

Sous une base tout à fait classique du conte de fée (distordu), les auteurs plongent allègrement dans le monde de Rabelais, que ce soit par le verbiage utilisé, les citations (nos géants sont Gargamel et Pantagruel) ou les tableaux de grande bouffe où le dessinateur se régale à croquer mille et un détails. Les facéties et déformations de son dessin nous ont d'ailleurs fait oublier combien il était précis dans ses planches et la finesse de tous les décors ne cesse d'étonner. Aussi brillant dans sa colorisation directe (qui ferait passer Marini pour un débutant) que dans le dessin pur, Andreae confirme par cet album qu'il reste un des plus éminent dessinateurs de la BD franco-belge.

Fourmillant de références aux contes et légendes sans perdre en cohérence locale, La Cuisine des Ogres s'avère bien plus ambitieux qu'il n'en a l'air et parvient à créer un monde fonctionnel où la bonne morale est absente et que l'on a hâte de retrouver pour peu que le lectorat soit au rendez-vous. Avec deux artistes absolument gourmands et appliqués il aurait été difficile de se rater. Alors on savoure les pages avec un plaisir permanent et le seul regret que l'aventure ne soit pas plus longue.

Lire sur le blog:
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L'histoire raconte la mésaventure de Blanchette, une jeune fille aux cheveux blancs, capturée avec ses amis par un croque-mitaine nommé Grince-matin qui les emmène au coeur de la montagne appelée « La Dent du Chat ». Dans cet endroit caché aux yeux des humains règne une population d'ogres gastronomes, fervents amateurs d'ingrédients délicats. Malheureusement, Blanchette et ses amis se retrouvent sur un marché de vente de nourriture prêt à partir précisément dans la cuisine des ogres, condamnés à une destinée culinaire peu enviable, ils se retrouvent plongés au milieu des fourneaux...

C'est dans ce contexte que nous découvrons le monde d'ogres gourmands et leurs secrets de cuisine, un endroit souterrain caché où l'espoir subsiste de trouver des amis avec qui apprendre à ruser, développer des stratégies et trouver le courage pour échapper à un destin funeste.

Ce superbe conte horrifique nous invite à réfléchir sur la détermination, le courage, l'amitié, la chaîne alimentaire et la liberté. Les illustrations remarquables sont sublimes, précises et complètement immersives, donnant vie à un univers à la fois monstrueux et incroyable, avec des décors richement détaillés et tous en finesses. Les couleurs sont toutes aussi recherchées, vibrantes et créent des atmosphères envoûtantes.

Un coup de coeur !
Nous avons adoré l'univers graphique merveilleux, peuplé de créatures extraordinaires et agrémenté d'un Lac à vaisselle stupéfiant, les nuances de couleurs offrant des ambiances fascinantes ; et l'intrigue riche offrant une plongée dans l'univers incroyable de la cuisine sanglante des ogres, mais où la magie opère avec une fantastique alchimie.

Ce one-shot sera suivi d'une suite comprenant deux histoires à venir, mettant en lumière un personnage secondaire. Vivement !
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Chef d'oeuvre! Et je pèse mes mots.

Fabien Vehlmann et Jean-Baptiste Andrea nous racontent une histoire. Celle d'une enfant, Blanchette, la fille du boucher. Ses cheveux ont blanchi d'un coup suite au décès de sa mère et pour une raison qui nous ait inconnue au début du récit, elle a fugué.

On la découvre donc en compagnie d'orphelins en mode survie.

Le récit démarre très vite par le rapt des orphelins par le Croque-mitaine. Puis survient un preux chevalier qui attrape Blanchette et se rue à la poursuite du kidnappeur. Et tout ce petit monde atterrit dans la cuisine des Ogres.

Je ne vous raconterai pas la suite pour ne pas vous spoiler. Mais sachez que les auteurs vous ont déployé un monde riche. Riche de grasse nourriture. Riche de mythologie. Un monde où se croise des fées, des korrigans, kraken et minotaure. Riche de danger mais aussi d'amitié. Un monde cruel dans lequel une promesse ne peut être brisée.

Les illustrations sont magnifiques, à la hauteur de l'inventivité du scénario. Les planches sont très immersives et servent parfaitement l'ambiance du récit.

On retrouve dans ce volume l'esprit de Jolies ténèbres du même scénariste. Je vous invite également à bien regarder les planches car il y a quelques caméo en clin d'oeil aux autres ouvrages de Fabien Vehlmann.

L'histoire est complète et n'appelle donc pas de suite mais comme j'ai très envie de retourner sur les rives du lac vaisselle, j'espère que les auteurs continueront d'exploiter cet univers empreint de merveilleux.

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Intriguée par la couverture sombre et un peu fantastique, avec un dessin qui me rappelait celui de Loisel dans Peter Pan, j'ai souhaité en savoir plus. Et surprise ! Je m'attendais d'abord à un genre de remake des Ogres-Dieux, mais pas du tout. Il s'agit d'un mélange plutôt entre l'univers de Peter Pan, d'Oliver Twist, et presque du Petit Poucet. C'est un genre de conte qui s'avère être une terrifiante et sanguinolente aventure pour des enfants qui vivent sans parents dans les rues sales et dangereuses.
J'ai adoré l'ambiance, ai été complètement emportée par l'histoire et le dessin est incroyablement réalisé. J'ai été super déçue lorsque j'ai compris qu'il ne semblait pas y avoir de tome 2 envisagé.
A lire !
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