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Citations sur Les enfants du capitaine Grant (49)

Dans un Français, il y a toujours un cuisinier.
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Enfin, vous connaissez la nature humaine. Il suffit que l'on respire pour espérer ! Et ma devise c'est "spiro, spere", qui vaut les plus belles devises du monde. Paganel.
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l’aguara ne sort que la nuit, et, le matin venu, il rentre dans son repaire. C’est le loup des ténèbres, une bête lâche qui a peur du grand jour, un hibou à quatre pattes !
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— Qu’y a-t-il ? demanda le jeune Grant.
— Des Indiens ? dit Glenarvan.
— Non, répondit Thalcave, des « aguaras. »
Robert regarda Glenarvan.
— Des aguaras ? dit-il.
— Oui, répondit Glenarvan, les loups-rouges de la Pampa.
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Çà et là étincelaient des points lumineux, qui se croisaient dans tous les sens, s’éteignaient et se rallumaient tour à tour.
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Tout est curieux à l'oeil du géographe. Voir est une science. Il y a des gens qui ne savent pas voir, et qui voyagent avec autant d'intelligence qu'un crustacé.
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- étrangers! chère enfant.ni votre frère ni vous n êtes des étrangers dans cette maison,et je veux qu a son
arrivée lord glenarvan apprenne aux enfants du capitaine grant ce qu'on va tenter pour sauver leur père
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L'ensemble de ces terrains porte un nom significatif sur les cartes anglaises : "Reserve for the blacks", la réserve pour les Noirs. C'est là que les indigènes ont été brutalement repoussés par les colons. On leur a laissé, dans les plaines éloignées, sous les bois inaccessibles, quelques places déterminées, où la race aborigène achèvera peu à peu de s'éteindre. Tout homme blanc, colon, émigrant, squatter, bushman, peut franchir les limites de ces réserves. Le Noir seul n'en doit jamais sortir.
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On monta pendant toute la nuit ; on se hissait à force de poignets sur des plateaux presque inaccessibles ; on sautait des crevasses larges et profondes ; les bras ajoutés aux bras remplaçaient les cordes, et les épaules servaient d’échelons ; ces hommes intrépides ressemblaient à une troupe de clowns livrés à toute les folie des jeux icariens. Ce fut alors que la vigueur de Mulrady et l'adresse de Wilson eurent mille occasions de s'exercer. Ces deux braves Écossais se multiplièrent ; maintes fois, sans leur dévouement et leur courage, la petite troupe n'aurait pu passer. Glenarvan ne perdait de vue le jeune Robert, que son âge et sa vivacité portaient imprudences. Paganel, lui, s'avançait avec une furie toute française. Quant au major, il ne se remuait qu'autant qu'il le fallait, pas plus, pas moins, et il s'élevait par un mouvement insensible. S'apercevait-il qu'il montait depuis plusieurs heures ? Cela n'est pas certain. Peut-être s'imaginait-il descendre.
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Cet homme grand, sec et maigre, pouvait avoir quarante ans ; il ressemblait à un long clou à grosse tête ; sa tête, en effet, était large et forte, son front haut, son nez allongé, sa bouche grande, son menton fortement busqué. Quant à ses yeux, ils se dissimulaient derrière d'énormes lunettes rondes, et son regard semblait avoir cette indécision particulière aux nyctalopes. Sa physionomie annonçait un homme intelligent et gai ; il n'avait pas l'air rébarbatif de ces graves personnages qui ne rient jamais, par principe, et dont la nullité se couvre d'un masque sérieux. Loin de là. Le laisser-aller, le sans-façon aimable de cet inconnu démontraient clairement qu'il savait prendre les hommes et les choses par leur bon côté. Mais sans qu'il eût encore parlé, on le sentait parleur, et distrait surtout, à la façon des gens qui ne voient pas ce qu'ils regardent, et qui n'entendent pas ce qu'ils écoutent. Il était coiffé d'une casquette de voyage, chaussé de fortes bottines jaunes et de guêtres de cuir, vêtu d'un pantalon de velours marron et d'une jaquette de même étoffe, dont les poches semblaient bourrées de calepins, d'agendas, de carnets, de portefeuilles, et de mille objets aussi embarrassants qu'inutiles, sans parler d'une longue-vue qu'il portait en bandoulière.
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