Voyage au centre de la Terre

Je sais que je ne vais pas me faire bcp d'amis avec ma critique mais bon ... vraiment désolée pour les fans mais je ne vais pas mentir parce que c'est Jules Verne !!!
Voici ce que j'en ai pensé : En lisant Jules Verne, je pensais me plonger dans une épopée fantastique incroyable ... Quelle déception pour moi :( En effet, mis à part le fait de savoir que le centre de la Terre est composé de Granit, de schitz, de quartz et je ne sais quel autre chose encore et qu'a une pression de 10 et une température de 37 °c ils devront certainement y arriver dans ... euh ... 40 ans !!!! My god, que ce livre fut pénible pour moi ... et dire qu'on donne ce genre de lecture aux enfants mais vraiment, il y a de quoi ne plus ouvrir un seul livre de sa vie !!! Une lecture interminable où rien ne se passe ... on descend, on dort, on mange et puis on continue à descendre ... c'est long mais que c'est long ... Puis quand enfin ça y est on est arrivé, ben non il faut traverser la mer et rebelote c'est parti pour un tour ... on traverse, on mange, on dort et on retraverse ! Désolée pour ceux et celles qui adorent J. Verne et vous êtes nombreux mais pour moi ... NON ! Plus jamais

Autant les romans de Jules Verne me passionnent habituellement autant celui ci m'a laissé presque indifférente.
Certes c'est très bien documenté.
Mais j'ai trouvé cette "promenade" sous terre un peu longue par moment.
Et le côté SF du 19ème siècle me laisse assez indifférente.
Ce qui m'a poussé à aller au bout c'était pour savoir "comment ils remontent à la surface"...

Je ressort plutôt déçu de cette lecture pourtant d'un grand classique de la littérature.
L'histoire reste intéressante mais je me suis ennuyé sur beaucoup de page à cause des détails ou des listings d'objet apporté par l'auteur. On voit bien que Jules Verne s'est beaucoup renseigné sur la science pour l'écriture de son oeuvre mais cela tire en longueur quelques fois ce qui m'a même souvent fait sauter certains paragraphes.
Au final, je tenterai surement une autre lecture de Jules Verne, en espérant ne pas retrouver à nouveau ces ennuyants paragraphes de détails qui n'apportent rien à l'histoire.

J'ai conservé de mes plus jeunes lectures de Jules Verne un souvenir particulièrement marquant :
celui de l'exceptionnel périple de Michel Strogoff.
Je me souviens de l'avidité qui était la mienne en tournant les pages du seizième volume des Voyages extraordinaires, des images qui ne cessaient de naître dans mon esprit d'adolescente pleine d'imagination, et du bonheur infini qu'avait été cette traversée entre ses pages jaunies.

Aussi, lorsque pour les besoins de mon troisième roman, je me suis attelée au Voyage au centre de la terre, c'est emplie d'enthousiasme que j'ai entamé ma lecture. Et si cet entrain a perduré durant les quelques cent premières pages, le soufflé est vite retombé.

Si bien que j'avoue m'être passablement ennuyée. Je trouvais Axel fort peu attachant (et même sacrément énervant, disons-le!), son oncle assez insupportable et leurs réflexions au sujet de « la petite Graüben » assez désespérantes. Jules Verne avait beau ne pas être connu pour l'impressionnante épaisseur psychologique de ses personnages, c'était, entre les pages du Voyage au centre de la terre, presque grotesque.

Si le style de Jules Verne n'avait jamais été considéré comme fondamentalement digne d'intérêt, il était indéniable que cette plus que relative « blancheur » l'avait aidé à assoir ses récits : seul ce qu'il racontait avait de l'importance, comment il le faisait n'émoustillait personne, et c'était très bien ainsi.
Il n'empêche que dans le voyage au centre de la terre, cette platitude ne faisait, trouvais-je, que renforcer celle des personnages. Sans parler du caractère un peu « facile » de la fin que même les plus grands amateurs de l'auteur qualifient encore de courbette un brin hasardeuse.

Cette fois donc, la magie, pour moi, n'opéra pas et c'est avec un réel soulagement que j'ai terminé l'ouvrage, pressée de poser mes yeux sur d'autres mots et d'autres idées. Axel, Otto Lidenbrock et l'Islandais auraient fort bien pu rester coincés à plusieurs centaines de kilomètres sous la croûte terrestre que cela ne m'aurait pas plus émue.
Lien : https://www.mespetiteschroni..

J'ai rarement été aussi frustrée à la lecture d'un livre.
Le principe de l'histoire est attractif : un scientifique et son neveu découvrent un manuscrit qui les mène à la découverte d'un monde vivant bien loin sous l'écorce terrestre !
Le problème, c'est que vous n'aurez rien, mais alors rien de plus que cela. Quelle vacuité!
Je m'attendais à l'exploration véritable du monde souterrain, la rencontre avec des dinosaures, des humains... Alors oui (spoiler alert), il y a une rencontre : les héros les voient, en prennent bonne note dans leur carnet de bord, puis le chemin continue et on en parle plus! Pas d'interaction, quelle qu'elle soit, pas de tentative d'explication sur les raisons de leur présence sous terre, pas d'observation sur une humanité développée en parallèle de la nôtre! Rien!
A mon sens, même si le livre est facile et agréable à lire, au fur et à mesure que les chapitres passent, la pensée qui vient à l'esprit c'est : "eh, quoi, c'est tout?"
Si au moins il y avait un développement du psychisme des personnages, s'ils étaient attachants, si une réflexion était menée sur les émotions des protagonistes! Mais tout ce que vous aurez en matière d'émotion c'est : le professeur est un peu colérique et Axel est amoureux de la nièce du professeur. Nièce à qui trois lignes sont consacrées... le tout est d'une naïveté déconcertante.
On sent que le seul intérêt de ce bon Jules, c'est-la-science! C'est aussi l'unique intérêt du livre puisqu'il permet de voir l'idée que l'époque se faisait de la configuration du monde et des lois de la physique naturelle. Mis à part cela, l'effet du temps a été cruel sur ce livre et lui a fait perdre, à mon sens, son attrait. Si vous cherchez des émotions fortes ou de l'émerveillement, passez votre chemin.

Voici le premier livre lu en janvier dans le cadre du #Readingclassicschallenge2018. J'avais donc choisit un Jules Verne, car cela faisait un moment que je rêvais de roman d'aventure, de découverte et d'évasion. Spoiler alert : je me suis ennuyée comme ja-ja.

Alors oui, l'histoire avait l'air passionnante, c'est très bien documenté et très bien écrit, et je comprends tout à fait le succès que le livre a pu rencontrer à sa sortie en 1864. Mais ce n'était pas pour moi.

D'abord c'est d'une lenteur incroyable : la faute aux descriptions sans fin, aux listings d'objet, aux calculs de latitude, etc. Et il faut des pages et des pages avant d'arriver sous Terre, et seuls quelques passages sont un tant soit peu excitants. J'ai du lire de nombreuses pages en diagonale.

Ensuite, je n'ai pas accroché avec les personnages. L'oncle et géologue est assez cliché : rustre, obsédé par sa découverte et plein de tocs. L'accompagnateur est flegmatique et fort puisque c'est un montagnard. Mais ce qui m'a le plus dérangé c'est le narrateur et surtout sa vision de la vie. Qui dit XIXe siècle dit autre mentalité, alors quand en plus le narrateur est un jeune homme un peu naïf cela donne : des clichés misogynes sur les femmes et sur sa petite amie « ma chère enfant », des réflexions très condescendantes sur les pauvres, les campagnards, les lépreux, etc. En gros, tous ceux qui ne viennent pas de la bourgeoisie. C'était très agaçant.

Bref, j'ai quand même terminé le livre, car je souhaitais avoir le fin mot de la découverte, mais que ce soit le style descriptif, les personnages ou les réflexions sur le monde, je n'ai pas du tout aimé. Je retenterais peut-être un autre Jules Verne un jour quand même.
Lien : https://ninaalu.wordpress.co..

Un extraordinaire voyage dans les entrailles de la Terre, raconté par le jeune Axel, neveu du professeur Otto Lidenbrock. La découverte d'un passage qui mènerait jusqu'au centre de la Terre à partir du cratère d'un volcan d'Islande, le Sneffels.
Roman d'aventure, roman de science-fiction, écrit par Jules Verne en 1864. A redécouvrir.