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S. Marval (Traducteur)3/5   1 notes
Résumé :
LNGLD - (Livre Numérique Gratuit Libre de Droit)

Wallace Edgar – L’Homme du Maroc : L’Homme en Noir défraie la chronique : il a percé avec brio une série de coffres de banque, et neutralisé les gardes sans violence, avec son masque de soie noire et son pistolet à gaz. Ses victimes sont tellement bien choisies qu’elles n’osent jamais faire connaître l’ampleur de leurs pertes. Mais est-ce bien l’argent qui l’intéresse ?
À Creith, le lord du lieu ... >Voir plus
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— La maison, la propriété, notre hôtel à Londres, tout, il y a encore une semaine, était hypothéqué. Nous sommes les plus pauvres du pays.
— Je suis vraiment désolée, c’est terrible pour vous.
— Pas du tout. Ici chacun est au bord de la culbute ; tout le monde sauf Mr. Morlake qui, de l’avis général est plusieurs fois millionnaire, car il ne discute pas ses charges à longueur de journées ce que tout le monde fait. Nous nous réunissons les uns chez les autres pour nous lamenter de concert sur la baisse des grains, la cherté des fourrages, le manque d’honnêteté des fermiers, les maladies du bétail et mille autres choses mais surtout sur la perte considérable que subira le pays quand l’imprévoyante noblesse aura cédé la place à l’écœurante démocratie. (p16i17)
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— Excusez-moi, dit une voix douce.
Le veilleur, revenant à la réalité, sauta sur ses pieds et chercha instinctivement son revolver sur la tablette auprès de lui.
— Votre arme est dans ma poche, et l’alarme est coupée, dit l’Homme Noir, et ses yeux par les trous du masque brillaient ironiquement. Au mur !
L’homme, stupéfait, cherchait déjà en son esprit quelle histoire il pourrait bien inventer pour se disculper.
La petite pièce réservée au gardien renfermait un coffre-fort, une table et un réchaud électrique. Le nez au mur le veilleur entendit le bruit des clefs et du coffre ouvert où l’on gardait les passe-partout et doubles clefs. Puis la porte se referma et la serrure grinça. Environ dix minutes d’attente, puis le visiteur revint, remit les clefs dans le coffre, puis le referma.
— C’est tout, je pense, dit l’étranger ; j’ai volé le moins possible, juste le nécessaire pour mes vacances et une nouvelle voiture. Il faut bien vivre !
— On va me sacquer après ça ! grogna le gardien.
— Cela dépend du mensonge que vous trouverez. Si vous racontez qu’on vous a drogué, comme l’ont prétendu ceux de la Home Countres Bank, vous n’avez guère de chance d’être cru…
— Et le veilleur dans le hall ?
— Lui est endormi, réellement drogué… grâce à un truc ingénieux de mon invention, répondit l’intrus en se retirant. (p10)
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— En réalité, j’ai quitté Wold House et j’étais à Londres la nuit dernière. Mais quel que soit le travail répréhensible auquel je me suis livré, j’ai, du moins, accompli une bonne action. J’ai sauvé d’une arrestation certaine un jeune homme ivre et je l’ai ramené à cette bonne Mrs. Cornford.
Elle était devenue toute pâle.
— Vous avez été bien bon.
— Connaissez-vous cet homme ?
Elle secoua la tête.
— Joan, avez-vous un ennemi quelconque ?
— Je suis toujours dans le pétrin, dit-elle gaiement. Et je le suis depuis que j’étais haute comme ça !
— Je vois que vous ne voulez pas me répondre. Mais me direz-vous…
Il éprouva de la difficulté à trouver ses mots.
— Joan… si… si je n’étais pas… si j’étais un membre honorable de la société, et que je puisse prétendre à être… à être de votre classe… m’épouseriez-vous ?
Profonds et sombres, ses yeux le fixaient, tandis qu’elle secouait la tête.
— Non.
— Pourquoi ?
— Parce que… vous m’avez interrogée tout à l’heure au su-jet de Mr. Farringdon ?…
— Eh bien ?
Il la vit mouiller ses lèvres sèches, puis :
— C’est mon mari !
(p165/166)
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En premier lieu, nous avons ce document, lettre ou déclaration, dont la publication placerait Hamon dans une situation, disons, gênante. Y a-t-il quelque chose dans ce document qui force absolument Hamon à le conserver ?
— Rien.
— Alors, pourquoi ne le détruit-il pas ?
— Parce que, c’est un singe. Il a glissé sa main dans la gourde et il a saisi le fruit ; il ne peut retirer sa main, sans lâcher le butin. (p171)
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C’est ce qu’il y a de plus triste dans notre métier ! Nous devons mentir. Et des mensonges si inutiles ! Je frémis parfois, quand je songe à toutes les histoires qu’il me faut raconter au cours de la journée. (p169)
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