Y'a pas de héros dans ma famille !

Alors, comme tous les enfants du monde quand ils sont incompris des adultes, j’ai fait ce qu’on attendait de moi. J’ai rejoint les autres dans la cour et j’ai shooté dans un ballon pendant une demi-heure sans marquer un seul but.
(p. 51, Chapitre 8).

ça m'a fait plaisir que papa dispute Titi sur son vocabulaire, surtout depuis que j'avais découvert que la langue de mes frères n'était pas une langue étrangère, mais juste un mauvais français et que dans la famille des héros et des gens médaillés ce n'était pas ce langage-là qu'on utilisait, mais celui de la maîtresse et de la famille Castant. (p.40)

J'ai l'habitude d'avoir un double lexique. C'est un peu comme d'être bilingue. (p.11)

Mon histoire pourra peut-être aider quelqu'un d'autre. Un enfant, un élève qui, comme moi, ne se sent plus à sa place dans un de ses deux mondes. écrire, ça reste. (p.9)

Je sais que les vrais héros sont ceux que les gens aiment, mais aussi ceux qui savent aimer. Ceux qui rendent les autres plus forts, au lieu de se croire les plus forts.

Un mélange de mots d'école et puis d'autre,des gros,des interdits et même des inventés.c'est pour ça que mes frères m'appellent

tous les gens qu on a vus

- Peut-être bien, Mo. "Ceux qui lisent ne sont jamais malheureux!", c'est ce que disait ma mère.
J'ai souri à m'en déchirer la mâchoire. J'adorais Amandine et Amélie, mon arrière-grand-mère et ma grand-mère que je n'avais pas connues.

je remercie,Mo

je sais que les vrais héros sont ceux que les gens aiment mais aussi ceux qui savent aimer,ceux qui rendent les gens plus fort ;au lieu de ce prendre le plus fort