Blue period, tome 3

Mme Saeki : L’art est un langage qui ne passe pas par les mots.

Je veux une belle réaction chimique entre l'énoncé et toi.

Le monde est bourré de choses formidables. C’est juste que je ne les voyais pas.

En art, l’échec n’existe pas.

"Le lien n'a pas qu'une seule forme à mes yeux."

J'étais obsédé par la "composition". Mais j'étais à côté de la plaque. La composition, c'est pas le message lui-même... mais sa "forme".
En gros... je me servais de la "forme" pour exprimer la "forme".

Je ne sais pas peindre sans regarder...
C'est pour ça que je m'appuie sur la composition et tout...
Mais ce qui constitue une belle œuvre, ce n'est pas la technique.

Ma passion, c’est d’observer les œuvres des autres. Chaque article ici a été pensé et fabriqué par quelqu’un, non ? Donc pour moi, les supérettes, c’est comme un musée.

Les liens... Ça évoque quoi ? Des fils ? Ouais... C'est pas mal, ça... Des fils. Ce qui est précieux à mes yeux, ce sont les miens avec les autres, donc les fils.

Le lien ? Pour moi , ce serait la combinaison d’une « circonstance » et d’une « coïncidence ». Dans ton cas, la « circonstance », c’est qu’on était dans la même classe au stage d’été. Et la « coïncidence », c’est qu’on prépare tous les deux les concours d’admission au même moment. Donc, on est devenus potes.