A. J. Finkri est libraire sur une petite île du Massachusetts. Il a récemment perdu sa femme, et il perd peu à peu le goût de vivre. Il s'isole au milieu des livres de son commerce au bord de la faillite.
Un soir, il découvre un bébé dans la librairie, que sa mère a abandonné avec un souhait : qu'il grandisse au milieu des livres.
D'abord réticent, le libraire va peu à peu réparer son coeur brisé grâce à cet enfant.
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Si j'ai cru en ouvrant ce livre passer un moment léger, dans la veine de la Charmante librairie des jours heureux, j'ai vite été détrompée.
C'est une histoire qui cherche à parler de la vie, qu'elle soit belle ou moche, qu'elle soit heureuse ou dramatique. Certains passages m'ont pourtant semblé peu réalistes. de plus, l'autrice à une jolie plume, mais les ellipses placées à plusieurs endroits du livre rendent la lecture hachée. Et enfin, je n'ai pas réussi à m'attacher aux personnages. Ça fait beaucoup ! 🙄
Je pense que ce roman pourrait plaire, et peut-être que ce n'était juste pas l'histoire qu'il me fallait à ce moment-là. 🤔
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Bref,
La Librairie de l'île n'est pas, comme le dit la citation du Washington post sur la quatrième de couverture, « d'un optimisme rafraîchissant ». Et ce n'est pas un coup de coeur.