La librairie de l'île

J'ai eu beaucoup de mal à m'immerger dans cette histoire. Mais comme j'ai pour devise de ne jamais laisser un livre tant que je ne l'ai pas terminé j'ai continué ma lecture. Malheureusement ce récit n'a pas matché pour moi. Bien que les personnages soient attachants et l'écriture agréable il m'a manqué un petit quelque chose pour réussir à me captiver. Une lecture qui n'était pas faite pour moi.

M. Fikry tient une librairie sur l'île d'Alice. Mais depuis le décès de sa femme, rien ne le rend plus heureux, il est même désagréable avec les autres et ce n'est pas Amélia, représentante d'une maison d'édition qui va dire le contraire.
Mais le vol d'un livre ancien dans sa maison et surtout la découverte de Maya, petite fille de 2 ans, qui a été abandonnée par sa mère dans la librairie, vont venir bouleverser son quotidien et sa vie.
On va donc suivre la vie bouleversée par ces événements de de M. Fikry. Mais à mon avis, plus que suivre on survole la vie de M. Fikry et de Maya. Les années se succèdent très vite, j'ai eu le sentiment de ne pas entrer dans ce livre mais juste d'en tourner les pages. Même si les personnages sont intéressants ainsi que le sujet, il me manque quelque chose.

gentillette histoire pour passer un moment

Un roman bien décevant en dépit des commentaires élogieux que j'ai pu lire ici ou là

La vie d'A.J. Fikry, libraire d'Alice Island, est bien morne depuis la mort de sa femme Nic. Chaque jour l'enfonce un peu plus dans une certaine noirceur. le quotidien de cet homme s'apprête pourtant à voler en éclat. le cambriolage d'un ouvrage de collection, la petite Maya que l'on a abandonné à ses bons soins et la rencontre fabuleuse avec Amélia, l'éditrice qui remplace le vendeur de livres auxquels il était habitué jusqu'ici.

Rien de moins. Ce roman raconte donc le quotidien en mutation. Comment cet homme taciturne s'emploie progressivement à prendre en main son nouveau rôle paternel. de quelle manière il change et se redécouvre des sentiments.

Ainsi donc, tous les ingrédients étaient réunis pour composer un cocktail plein de mystères, de magie d'onirisme. Une librairie avec tous les trésors qu'elle recèle ; la perception enfantine que la petite Maya a de l'existence…

Et pourtant non, l'auteur livre un récit morne comme l'existence de cet homme désabusé. L'écriture n'est pas simple et accessible, non. Elle est plutôt dépouillée et mièvre. Aucune magie ne s'échappe des livres et la petite Maya ne semble pas dotée d'une grande imagination. Pas de figure de style, aucun emportement lyrique qui permette de s'élever un peu et donner à l'histoire une autre dimension. L'auteur réalise même l'exploit d'évacuer en quelques pages d'une grande platitude le récit d'un accident dont la soudaineté et la brutalité auraient justifié des mots forts.

L'histoire malgré tout est plutôt bien construite. L'intrigue est suffisamment conséquente et donne l'envie d'en savoir un peu plus sur la façon dont sa vie évolue. Mais plus l'histoire avance et plus résonne l'impression désagréable de perdre son temps à lire une histoire de 243 pages qui n'en vaut pas la peine.

Au final, c'est la déception qui domine et le sentiment d'avoir gâché un matériel pourtant bien prometteur.

Si la quatrième de couverture avait quelque chose de prometteur, le contenu m'a bien déçue...
Il se lit vite mais n'est pas accrocheur. Un homme qui retrouve le goût d'aimer la vie et les gens. Des livres qui rapprochent et unissent les gens.
Pour moi le sujet est bon mais il manque quelque chose... Mais finalement je ne saurai dire quoi...

Ce livre m'aura appris une chose : "arrête de te laisser berner par le titre et la quatrième de couverture". Et pourtant ce n'est pas la première fois que ça m'arrive, de craquer pour un livre que je vois sur mon passage en librairie, de me dire que ce sera peut-être une belle surprise, ou une lecture légère, ou une source d'idées pour un de mes sujets d'écriture du moment parce que le thème semble correspondre. Mais ce livre là était de trop.
Je l'ai trouvé extrêmement mal écrit, ou au mieux mal traduit. À la fois niaiseux et pesant. Une histoire archi convenue, sans surprises, qui sonne faux, bourrée d'autant de clichés que d'incohérences, avec les passages clés qui tombent comme un cheveu sur une soupe fadasse, et, comme trop souvent à mon goût dans la littérature actuelle, des drames familiaux qui semblent juste posés là pour dire que le livre apporte, de force, un peu d'émotion (comme l'écriture seule n'y suffit pas). à croire que ça avait été écrit par un jeune lycéen pistonné par un parent éditeur.
Bref. Je n'ai pas aimé. Je vais me remettre à lire des classiques, des valeurs sûres, ou des bons conseils.

Je me suis laissé tenter à lire ce livre en lisant le titre et la quatrième de couverture... et j'ai été très , très déçu !
La lecture n'est pas fluide, il est mal écrit ou mal traduit, les personnages ne sont pas plus attachants que cela, il y'a une incohérence dans le temps qui défile dans l'h...
Une grosse déception pour ce livre qui pourtant était censé aborder un thème qui me tient à coeur : les livres.

Depuis la douloureuse perte de sa femme, A.J. Fikry, unique libraire d'une petite île, se perd sur le chemin du deuil au point que la vie n'ait plus pour lui ni saveur ni couleur. Morose, bougon, déprimé, il n'attire que de piètres regards et pourtant c'est à lui qu'une jeune mère désespérée va confier son enfant ; une adorable petite de deux ans qui va lui redonner le goût du bonheur et changer le cours de sa vie, ainsi que celle de ses proches…

« La vie est plus belle lorsqu'elle s'écrit à plusieurs ». Cette phrase est ce que démontre avec force ce sublime roman qui m’a néanmoins laissé un avis mitigé à cause de petites déceptions ici et là qui m’ont malheureusement empêché de l’apprécier pleinement. Mais, bien que l'intrigue ne soit pas aussi prenante et égayante que je l’imaginais et surtout assez éloignée de l’image que je m’en faisais après lecture du résumé, et que les nombreux personnages, bien qu'attachants, m’ont semblé trop survolés et pas assez décrits, ce roman est pour sûr une magnifique histoire, qui en englobe d’ailleurs plusieurs, et une belle morale sur le caractère destructeur de la solitude et des faux semblants et sur l'importance de l'amour dans toute vie, quel qu'il soit.