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sur 8527 notes

Critiques filtrées sur 5 étoiles  
Etienne Lantier, jeune machineur de vingt et un an, a été renvoyé pour avoir giflé son chef. Parti sur les routes à la recherche d'un emploi, il se fait embaucher à la Compagnie des mines de Montsou, dans le Nord de la France. Il découvre dans ce pays de la houille et du fer, un paysage de hauts fourneaux et de fours à coke, parsemé de multitudes de cheminées alignant leurs rampes de flammes rouges, "torches géantes qui ensanglantent les ténèbres". Etienne loge chez les Maheu, mineurs de pères en fils, voire en filles, puisque Catherine, leur adolescente de quinze ans, en est elle aussi. Il faut dire que pour les familles, souvent nombreuses, le moindre sou est bienvenu.
On vit entassé dans les petites maisons du coron, ces constructions de briques installées par la Compagnie, aux cloisons si minces que le moindre souffle les traverse et que la vie intime des voisins n'a pas de secret. La promiscuité rapproche précocement les filles et les garçons, qui "se jettent à cul" dès la nuit tombée ; les herscheuses tombent enceinte à peine femmes, leurs mariages avec les jeunes pères mécontentent les familles de ces derniers, qui ne vont plus rien leur rapporter. L'église, qui ressemble elle-même à un modèle de haut fourneau, fait concurrence à la pléthore de bals, débits de bière et autres estaminets auxquels les travailleurs réservent toujours une partie de leurs maigres ressources pour s'octroyer quelque moment de détente. Les grands moments de fête sont quasi orgiaques, immenses beuveries où se mêlent adultes et enfants. Une fois mères, vite déformées par ces vies de misère et de grossesses nombreuses, les femmes s'occupent de leur progéniture et s'échinent à assurer la subsistance du foyer, abusant du café et médisant les unes des autres lorsqu'elles tombent sur une voisine.

C'est une vie de dureté et de souffrance, vampirisée par un travail destructeur, parfois mortel, qui permet tout juste de manger à sa faim.

La mine est un univers à part entière, labyrinthe de veines souterraines dans les ténèbres desquelles les travailleurs fouissent jour et nuit. A des centaines de mètres de profondeur, hommes et femmes travaillent comme des bêtes, à quatre pattes ou courbés, suant et ahanant, subissant tantôt une humidité extrême, tantôt une chaleur tout aussi insupportable, quand ce ne sont pas les deux en même temps, dans le fracas des berlines qui roulent continuellement, tirées par des chevaux qui pour certains, n'ont pas vu le jour depuis des années. Et tout cela sans une plainte, avec la résignation qu'induit l'habitude et l'absence de questionnement sur l'aberration que représentent leurs conditions d'existence, qui laissent leurs stigmates sur les corps et les visages. Ils ne s'interrogent pas vraiment non plus sur l'injustice dont témoignent le confort et la richesse dans laquelle s'épanouissent ceux qui leur doivent leur fortune, et qui leur manifestent une insupportable condescendance paternaliste, quand ce n'est pas juste du mépris.

Etienne, lui, se pose des questions. Révolté à l'idée d'être une bête qu'on aveugle et qu'on écrase, il est très perméable aux discours de Rasseneur, un ancien mineur renvoyé par la Compagnie pour ses idées révolutionnaires qui tient dorénavant l'un des bistrots du coron, où le jeune Lantier rencontre Souvarine, un machineur d'origine russe au passé mystérieux, qui l'initie à Marx et Proudhon. le jeune homme structure peu à peu sa pensée autour des luttes prolétariennes et de cette fameuse Internationale qui vient de se créer à Londres, et la propagande latente qu'il diffuse finit par avoir un écho chez les mineurs, qui décident, suite à une décision de la direction qui va encore réduire leurs salaires, de se mettre en grève. Etienne prend la tête du mouvement, sa popularité croissante et la maigre instruction acquise au fil de ses lectures révolutionnaires le grisent, et le dotent d'un sentiment de supériorité sur ses camarades, dont il déplore bassesse des convoitises et la grossièreté des instincts. Pendant ce temps, la grève s'éternise, accablant les mineurs d'une misère croissante. Etienne perd bientôt le contrôle de la situation, certains grévistes se laissent aller à une fureur meurtrière.

Il faut dire que le contexte est d'une manière générale à la débâcle, suite à la crise industrielle qui sévit dans le pays entier depuis deux ans, la succession de faillites provoquant licenciements et bouchant les perspectives.

C'est un plaisir de découvrir cet univers de la mine par la plume d'Emile Zola, qui en la personnifiant, en fait une héroïne à part entière, "monstre géant dont la gueule engloutit les hommes, dont les boyaux (…) sont capables de digérer un peuple", conférant à son texte une dimension épique et en même temps presque horrifique. le monde qui orbite et grouille autour de ce monstre est d'un incroyable foisonnement, les passions et les drames qui les agitent rendent le récit aussi palpitant que bouleversant. J'ai aussi apprécié qu'il amène par l'intermédiaire de l'intrigue et des personnages toute une réflexion sur le décalage entre idéaux, politique et réalité, en opposant à la "culture" révolutionnaire dont se targue Etienne Lantier et la spontanéité d'une révolte que le désespoir et l'humiliation menace à tout moment de faire basculer dans la sauvagerie.
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En 1885, le maître du naturalisme français nous livre ce classique qui est une véritable immersion dans le quotidien de la région minière du nord de la France du 19ème siècle. En plus de nous plonger dans le quotidien difficile et violent d'un coron, Zola met en scène une crise sociale où la politique est omniprésente, ce qui permet au lecteur de comprendre les enjeux et la crise qui touchait cette époque.

Pour écrire ce roman, miroir de cette société enragée, Zola a produit un important travail de recherche au niveau du vocabulaire spécifique au travail dans les mines. de cette manière, le lecteur ressort instruit de sa lecture.

Cependant, le nombre trop important de personnages peut rendre cette lecture compliquée si l'attention est absente dès les premières pages.

Pour ma part, cette lecture m'a passionné étant donné que le passé minier de ma région me touche particulièrement. Je classe (pour le moment) ce chef-d'oeuvre comme le meilleur classique que j'ai pu lire jusqu'à aujourd'hui. de ce fait, je vous recommande cet ouvrage à 3000%
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En 1902, à l'enterrement d'Émile Zola, une délégation de mineurs de Denain accompagna le cortège, scandant : « Germinal ! Germinal ! ».

Zola s'est inspiré pour ce roman[réf. nécessaire] de la catastrophe des mines de Lalle à Bessèges le 11 octobre 1861 - la même catastrophe a aussi inspiré Hector Malot pour son roman Sans famille.

Fin 2021, le manuscrit de l'adaptation théâtrale est mis en vente aux enchères par un vendeur privé. La vente suscite de vives réactions dans la classe politique12. Il est finalement acquis par la Bibliothèque nationale de France et rejoint les collections nationales13.
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Pendant huit jours, Émile Zola a parcouru le vaste bassin minier du Nord-Pas-de-Calais, allant jusqu'à descendre dans la fosse Renard de la Compagnie des mines d'Anzin à Denain, afin de s'imprégner des conditions laborieuses dans lesquelles évoluaient les mineurs. Son travail de recherche documentaire est talentueusement retranscrit à la faveur d'un récit angoissant dont le réalisme, la sensibilité et l'émotion vibrent sous la plume experte de l'auteur.

Le titre « Germinal » pourrait évoquer cette maladie souterraine qui « germinait » insidieusement et irrémédiablement en pénétrant les corps meurtris des « herscheuses » et des « gueules noires » dont l'espérance de vie se trouvait écourtée en raison de leur dur labeur dans l'extraction du charbon et du contact permanent avec le minerai toxique. En 2021, ce chef d'oeuvre littéraire a été magnifiquement adapté en feuilleton historique télévisé franco-italien !
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Une fabuleuse découverte.

Tout y est : peinture sociale, Histoire de l'exploitation minière, suspense, huis clos de village, mécanique des foules, terreur, ahurissement.

C'est vibrant, vivant, magistral.
Pour le coup, j'ai commandé les 3 Rougon-Macquart qui me manquaient, avec l'idée un peu ambitieuse de lire (ou de relire) les 20 volumes dans l'ordre...
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Quel plaisir de retrouver la plume et le style d'Émile Zola.
Dans Germinal, il nous plonge dans l'univers des corons et des mines du nord.
On est tout de suite immergé dans la vie difficile des mineurs grâce à ses descriptions complètes. Tout est détaillé, on se rend tout de suite compte des recherches approfondies que l'auteur a dû faire pour produire son récit.
L'atmosphère est excessivement bien rendue, on suit les personnages dans cette mine, on ressent le travail harassant, la chaleur, l'obscurité, la promiscuité et la crasse, on compatit devant la misère sociale des personnages, on endure la faim avec eux.
J'ai adoré le style, et oui, Zola est un maître de la description et c'est également un livre dit « classique » qui utilise un vocabulaire choisi avec précision mais qui reste facilement accessible.
La psychologie des différents personnages est fine. Zola, comme dans la majorité de ses romans, arrive à rendre le psychologie humaine dans toute sa complexité. Ce n'est pas manichéen, aucun personnage n'est bon ou mauvais, mais on retrouve toutes les facettes des personnalités humaines.
En ce qui concerne l'histoire, Cette tentative de révolte contre le système m'a beaucoup touchée, c'est l'échec d'un héros qui aurait voulu changer les choses. J'ai apprécié les parallèles entre la vie ouvrière et la vie bourgeoisie de l'époque.
Zola excelle, ici encore, à nous dépeindre le développement politique et social de son temps, son regard est sans concession sur le monde ouvrier du XIXème. Je recommande et et j'ai hâte de poursuivre ma lecture des Rougon-Maquart.
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Au commencement était le charbon. Un charbon qui rend malheureux: il rapporte de moins en moins aux ouvriers qui crèvent de faim, les actionnaires tremblent en investissant pour lui. Au commencement était l'incompréhension: les ouvriers ne comprenant pas le système d'offre et de demande, de concurrence qui joue sur leur salaire, les actionnaires persuadés qu'il est doux de gagner chaque mois avec régularité le fruit de son travail, sans réaliser qu'un quignon de pain n'est pas suffisant. Zola replace cette antinomie dans le contexte des mines du Nord où l'arrivée d'Étienne Lantier, fils de Gervaise, fait éclater la contestation. Ça gronde entre ouvriers et patrons, ça gronde aussi entre ouvriers, où les vues divergent: du pacifique qui veut « attendre de voir venir » à l'anarchiste extrémiste voulant tout faire sauter, en passant par le virulent, le tiède et le désabusé. Que de malheureux pour un peu de bonheur! Dans le calendrier, Germinal commençait le 21 mars, jour du printemps, début du renouveau de la nature: Zola remet un peu de lumière dans son tableau plus que sombre en montrant l'espoir acharné de ces mineurs de fond qui ne lâchent rien. Mon expérience de lecture s'est faite en deux temps: tout d'abord, calmer les attentes (car, comme pour tous les « monstres de la littérature » tels que Les Misérables, Don Quichotte, La Peste et bien d'autres, elles étaient démesurées) et m'empêcher de voir la tête de Renaud à chaque fois que je lisais le nom d'Étienne Lantier (pour plus d'ironie, sache que je n'ai jamais vu le film avec Renaud), ensuite me plonger dans l'histoire. Les premières pages m'ont laissée froide, puis sont venus la description du travail au fond, le rude quotidien des familles à la surface, la révolte qui gronde, qui éclate: jamais la plume de Zola ne m'avait autant sauté à la figure et emportée.
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Il y a peu de temps on m'a demandé ce qu'était un chef-d'oeuvre littéraire et je dois dire que la définition est personnelle, subjective parce qu'elle renvoie aux sentiments et à l'état dans lequel on se trouve à la lecture du livre en question.
Bref, pour moi c'est le roman qui aurait mérité une sixième étoile sur Babelio. le meilleur exemple est "Germinal" d'Émile Zola que je viens de lire et qui me laisse encore complètement bouleversée alors que je connais l'histoire depuis longtemps. Et si cette histoire est passionnante, chaque phrase est un délice de la langue française.

"Germinal" est le treizième roman sur vingt volumes de la série Les Rougon-Macquart sous-titré par l'auteur "Histoire naturelle et sociale d'une famille sous le Second Empire" oeuvre élaborée à partir d'enquêtes très fouillées lui permettant de dresser un tableau de tous les milieux sociaux. Ici, il s'agit des ouvriers, les mineurs du Nord de la France. Etienne Lantier est le personnage principal, lié à la famille Maheu dont les membres exercent différents métiers de la mine. C'est Lentier qui mène la grève, la révolte des opprimés à l'époque où L'internationale ouvrière tente d'agir pour plus de justice sociale. On a faim, on a froid, on a chaud et on a envie de crier avec eux face aux injonctions des soldats armés.

Émile Zola montre l'opposition de deux mondes celui du travail et celui du capital et considère comme possible une révolution de la misère. D'ailleurs le titre même du roman "Germinal" indique qu'il y a une perspective d'avenir. C'est vraiment un excellent roman sur la lutte des classes mais aussi sur l'amour, la solidarité et les relations humaines.


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Il me semble que les grands classiques en général, et celui-ci en particulier, ont fait l'objet de tant de louanges, de critiques, d'analyses, d'études, d'avis et de commentaires, qu'il est bien difficile, voire illusoire et vain, d'ajouter encore quoi que ce soit à leur sujet. Leur gloire est telle que toute tentative en ce sens me paraît dérisoire et superfétatoire, surtout lorsqu'elle émane d'un obscur rat de bibliothèque tel que moi.
Pourtant, quand on aime à ce point les livres idéalement écrits, les récits superbement contés, il est tout aussi difficile de ne pas céder à la tentation d'ajouter sa modeste contribution à l'enthousiasme général. Et de ce point de vue, la saga des Rougon- Macquart m'offre l'embarras du choix. J'aurais tout aussi bien pu m'épancher sur un autre titre, "l'Assommoir", dont la noirceur correspond mieux à mes idées sur la nature humaine, mais si je sélectionne "Germinal" ici, c'est sans doute parce que je mesure pleinement l'ironie de la tragédie de ces ouvriers dont les conditions de travail dantesques sont si bien restituées sous la plume alerte et précise du grand Emile Zola, de leur souffrance et de leurs vies sacrifiées sur l'autel de la cupidité capitaliste et de la révolution industrielle, ces deux calamités qui sont aujourd'hui encore plus que jamais à l'oeuvre pour finir de rendre la planète invivable à force de dérèglement climatique et de montée des eaux. Chez Zola, la fosse du Voreux est tantôt un monstre, tantôt l'Enfer. Or, "l' humanité a ouvert les portes de l'Enfer" se désolait tout récemment le Secrétaire Général des Nations Unies dans l'indifférence quais générale d'un monde toujours obsédé par la guerre, la consommation et la "croissance". J'y vois là une continuité. J'entends cependant déjà les grincheux m'objecter que je n'ai rien compris, que Zola n'a pas annoncé l'anthropocène mortifère. Mais ce n'est pas mon propos! Je trace juste une ligne en suivant la relation de cause à effet entre ce dont il s'est fait l'observateur méticuleux et ce dont nous souffrons aujourd'hui, continuité fatale entre charbon extrait et brûlé depuis deux siècles environ et la planète Terre qui bout en 2023, alors que les ouvriers ont quasiment disparu dans l'économie uberisée.
Je pense enfin qu'aujourd'hui nous souffrons aussi d'un cruel manque de nouveaux "Zola"...
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Un très grand livre que l'on croit connaître parce qu'il a été adapté au cinéma. Etienne Lantier aura toujours le visage de Renaud et Maheude celui de Miou-Miou pour toute une génération. Vu et revu, visionné avec les élèves dans le car pour la visite à la Lewarde.

Treizième dans la Série des Rougon-Macquart, j'ai oublié le film, et j'ai retrouvé Etienne, le fils de Gervaise. Etienne Lantier arrive à la mine après avoir perdu son emploi de machineur parce qu'il a giflé son chef après boire. L'alcool, cette malédiction familiale, avec la folie....

Un grand livre : un reportage sur la vie des mineurs, au fond et dans les corons. Un reportage d'une grand richesse : les conditions de travail sont racontées avec un luxe de détail. le vocabulaire de la mine est très précis. Chaque occupation dans la mine est désignée par un mot précis, haveur, herscheuse, machineur, porion, ....Chaque outil.  C'est un plaisir de découvrir ces expressions inconnues, désuètes maintenant que les mines ont fermé, poésie.

C'est l'histoire d'une grève. Avec ses causes, ses meneurs, ses traitres, ses violences, et les conséquences dramatiques. Avant de lancer l'action Etienne étudie les théories croise un mystérieux Russe, cherche à joindre l'Internationale qui vient de naître:


Prise de conscience des luttes sociales, socialisme, marxisme, anarchisme, nous apprenons en même temps qu'Etienne comment les luttes de classe se déroulent. La force de la lutte collective qui dépasse la volonté. Déchaînement de violence non contenue.

Les bourgeois ne sont pas oubliés : les Grégoire, rentiers presque malgré eux, qui ont hérité de la fortune sans efforts et qui en profitent tranquillement sans chercher autre chose que leur confort. Hennebeau, directeur général de la mine, aux ordres de la Compagnie, grands capitalistes anonyme. Négrel, l'ingénieur prometteur, gendre idéal. Deneulin,  capitaine d'industrie, à la tête de sa mine.

Les intermédiaires, les commerçants, cafetiers...

C'est une tragédie avec ses héros, ses traitres, ses jalousies. Les accidents qui estropient, tuent. La mine et ses pièges. Comme un organisme vivant.  Les  menaces du grisou et de l'eau qui suinte, pompée, contenue.

C'est l'histoire de la famille Maheu, le grand-père Bonnemort, la Maheude et tous ses enfants, des adultes au bébé au sein, toute cette famille qu'il faut nourrir. Des braves gens qui accueillent Etienne. Tout au long de ce gros roman, on s'attache à chaque personnalité et à celle des voisins. Histoire d'amour : dès les premières pages on devine qu'Etienne sera amoureux de Catherine. Finiront ils par s'aimer?

Un grand livre à lire et relire avec ces différents niveaux de lecture. Même si vous avez vu le film et que vous croyez connaître l'histoire.
Lien : https://netsdevoyages.car.bl..
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