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4.27/5 (sur 28 notes)

Nationalité : France
Né(e) à : Paris , le 01/05/1954
Biographie :

Guy Darol, Guy Gauthier à l'état civil, est un écrivain qui vit près de Morlaix (Finistère).

Journaliste à Muziq et à Jazz Magazine Jazzman, Guy Darol a collaboré à Libération puis au Magazine Littéraire. Auteur d'une dizaine d'ouvrages (roman, essai, dictionnaire, chronique, poésie), il a écrit plusieurs livres sur Frank Zappa et des études sur André Hardellet et Joseph Delteil.
"Héros de papier" (Le Castor Astral) est une chronique sur son enfance parisienne et bretonne. Il y raconte son accès à la littérature par la lecture des Albums du Père Castor et des petits formats (Akim, Blek le Roc, Mandrake...).
"Guerrier sans poudre", son troisième roman, a été publié aux Editions Maurice Nadeau en juin 2014.
"Outsiders/80 francs-tireurs du rock et de ses environs" (Le Castor Astral) est une collection de portraits portant sur des précurseurs de courants musicaux, de tendances, de formes et de styles.
Il est membre du comité de rédaction de la revue La Sœur de l'ange, une publication des éditions Hermann.

Son site (www.guydarol.fr) témoigne de sa passion pour la littérature et la musique.
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Source : wikipédia
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Citations et extraits (10) Ajouter une citation
Plus de vingt ans s'étaient écoulés. Louis avait tracé un chemin de musique mais ses pas voulaient revenir à la source primordiale. C'était chez les Indiens Navajo du Nouveau-Mexique. Cette fois, il allait partager leur vie et découvrir tous les aspects d'une culture qui affirmait que l'Homme est l'égal du brin d'herbe. Certain que ses constructions musicales, qu'il qualifiait parfois de jazz amérindien, dépendaient de cette vision du monde fondée sur l'harmonie, il demanda à rester auprès d'eux. Mais le personnage qu'il s'était fabriqué dans sa tenue de moine rappelait trop de mauvais souvenirs, ceux du conquérant évangilasateur. Il fut contraint de demeurer en dehors du cercle, loin d'une tribu dont il admirait cependant la science du regard qui admet l'invisible. Et il reprit sa route errante et solitaire. (p. 13)
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La connerie, cible des flèches zappaïennes, est d'un format monumental qui inclut, en général, le parti Républicain et, en particulier, le bouffon Reagan, auteur de cette phrase qui résume l'étendue du cerveau dirigeant: "Les faits sont stupides".
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Guy Darol


J'ai le goût de la lenteur et du paysage que l'on absorbe en faisant ribouler les yeux du dehors vers le dedans.
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Zappa imagina une nouvelle notion [...]. La "continuité conceptuelle", ainsi qu'il l'avait nommée [...]. Cette théorie du tout était un excellent modèle pour expliquer les liens qui se tissaient entre chacune de ses oeuvres. Ils formaient un tout, tressé de nœuds insécables, décrivant des interrelations entre les paroles de ses chansons, les pochettes de ses albums, un concert, chaque chose qu'il allait produire: films, livres et opéras. C'était au choix un véritable sujet d'étude ou une facétie vaguement métaphysique qui appelait à sourire.
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1984.
9 janvier: l'ensemble InterContemporain, dirigé par Pierre Boulez, interprète quatre pièces de Zappa au Théâtre de la Ville de Paris. Jack Lang, ministre de la Culture, lui remet l'insigne de Chevalier des Arts et des Lettres. À l'occasion d'une cérémonie, il donne à son Synclavier le nom de Barking Pumpin Digital Gratification Consort.
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Les mots sont des notes légères, des papillons de compagnie.
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Le responsable de ce joyeux mélange était Spike Jones, un batteur décomplexé qui passait pour un massacreur de classiques -il s'évertuera sans vergogne à mutiler des pièces respectées de Liszt, Rossini ou encore Tchaïkovski- et faisait dérailler le train-train des recettes musicales. Franck le prit aussitôt pour modèle!
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Un jour, apercevant trois religieuses en habit noir portant cornette, Frank s'exclama : "Regarde les pingouins !" C'était sa première phrase iconoclaste : les prodromes d'un art de la satire dont il fera grand usage par la suite!
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1979.
21 décembre: son film Baby snakes est projeté au Victoria Theater de New York. Il obtiendra 2 ans plus tard le premier prix du Festival international du film musical de Paris.
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Demeurent des voies d'errance, vagabondages dans le maquis, nomadismes en solitaire et Zappa marquant de sa baguette l'heure rebelle.
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