Anlor

Des personnages étonnants et hors du commun qui vont être amenés à s’apprivoiser malgré toutes leurs différences. C’est joli, touchant et plein d’humour même si les dessins, beaucoup trop chargés, ne m’ont pas toujours plu.


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Sur une galerie de portraits hauts en couleurs, Aurélien Ducoudray et Anlor bâtissent un récit plein d’humanité et d’humour.
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Un premier tome rempli de personnages sympathiques avec qui on se laisse embarquer sans peine.
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Une comédie sociale dynamique et réjouissante : du rires aux larmes, entre bons mots et situations de détresse, l’album se hisse au niveau du modèle avoué, « Les Vieux Fourneaux » de Wilfrid Lupano.
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Un gros coup de coeur pour cette BD, au sujet grave, que je ne cesse de relire.

Découverte par le Prix lycéen "Sors de ta bulle", j'ai plongé dans la Russie des années 90, où une pauvre mère russe, qui survit en vendant des DVD dans le métro, part en Tchétchénie, accompagnée de son chien. elle part retrouver son fils, prisonnier de Basseiev. Elle plonge dans l'enfer, des bombes, des conflits ethnique, de la guerre, où les russes sont aussi sanglants que les tchétchènes.

On sourit parfois ( vive le chien et ses tours), et l'on s'attache très vite à ces personnages au graphisme sobre, proche parfois de Astérix...

Excellent pour faire réfléchir au sujet des conflits, pour ouvrir les horizons. A hélas extrapoler à d'autres pays.

Une suite tout aussi riche, voire plus. On commence à connaître les destins, les personnalités. La rage monte, les mauvais traitements se multiplient... Mais les cerveaux bouillonnent. Le troisième tome sera sans doute aussi prometteur que les deux autres. Je vais immédiatement y jeter un oeil.

Très bonne BD, dessin soigné, ambiance très réaliste, on s'attache vite au destin des 4 détenus.

Je viens de commencer le tome 2...

Jean, Miguel, adrien et Honoré sont toujours détenus aux Marronniers. Leur projet d'évasion est la seule chose qui leur permette de supporter chaque jour les brimades du directeur et de ses sbires. Pour retrouver la liberté Adrien et Honaré devront savoir mettre de côté leurs anciennes querelles ; et chacun devra accepter une petite compromission avec leur ennemi juré....Un dernier tome qui se termine en "happy end".

Bénéficiant d’un découpage habile, le rendu est toujours sobre, efficace et fluide. Une fin rythmée et réussie pour une série bien construite, accrocheuse et distrayante.
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A travers différents albums du label grand Angle, plusieurs auteurs se retrouvent autour du thème de l’enfance abimée : guerre, déportations, maisons de correction, bagne pour enfants.
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On se révolte, on espère, on angoisse, comme les héros de papier que l’on suit. Et on ne demande qu’à lire la suite.
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Superbement soutenu par le dessin et les couleurs d’Anlor dont le trait réaliste exprime tout ce que les mots ne pourraient dépeindre sans une longue tirade. L’angoisse, la peur mais aussi les petites joies et une volonté farouche de survivre.
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