Falzar

Les relations humaines sont au cœur de cette BD. Dans la tendance des ouvrages feel good, cette bande dessinée rappelle combien les liens entre les générations sont enrichissants pour chacun. Dans « mon papy Titanic », Rose n’en peut plus des disputes de ses parents. Elle trouve refuge chez son grand-père à deux pas de là (mais visiblement ils ne sont pas habitués à passer du temps ensemble). La BD se déroule comme des saynètes qui s’enchaînent montrant la relation évoluer entre papy et Rose en fonction des situations. C’est une très belle BD qui fait réfléchir sur la place que l’on accorde à chacun dans nos vies, à l’attention que l’on porte (ou pas) à ceux qui nous entoure, aux souvenirs et à la transmission. L’histoire est portée par des dessins tout en tendresse, où les expressions des visages révèlent les sentiments des personnages. Une très belle découverte !

Une BD vraiment top que les minis ont adoré !



Les grands-parents sont souvent un mystère pour nos bambins et Rose va découvrir tout un nouveau monde avec son grand-père. Il n’est pas du genre pantouflard et va l’entrainer dans quelques folles aventures !



C’est drôle et touchant, les minis l’ont dévoré et adoré. Ils ont hâte de découvrir les suites.



On a beaucoup aimé les dessins et les couleurs plutôt pastel qui ajoutent de la douceur à l’histoire.



Un cadeau idéal d’un papy à ses petits enfants 🙂 Et qui pourraient leur donner des idées à tous.tes !
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Excédée par les disputes de ses parents, la petite Rose décide d'aller vivre chez son grand-père... à deux maisons de chez elle.

Même si entre les deux, il y a une belle complicité, le quotidien chez ce papy qui a ses petites habitudes, notamment la construction d'une maquette du Titanic, s'avère pleine de surprises.



Cette BD est vraiment de celles que j'aurais aimé lire quand j'avais 10 ans, et même avec quelques années de plus (si peu !), ça a été un vrai plaisir.

Les personnages sont très mignons, le papy avec sa grosse moustache et son look à l'ancienne est attachant et émouvant. Rose est une petite fille touchante, et qui bouscule la vie de son grand-père pour notre plus grand bonheur. Les petites histoires s'étalent sur cinq ou six pages et sont autant d'occasions de mieux connaitre les protagonistes. L'une d'entre elles, où le papy doit emmener Rose à l'école dans la voiture de sa défunte femme est une de mes préférées car elle est à la fois drôle et émouvante. le souvenir de la grand-mère plane particulièrement ici, d'une façon discrète et en même temps évidente.

Bien évidemment, l'une des stars de cet album, c'est aussi la maquette du Titanic, la passion du papy. Elle est un peu le fil rouge de la BD, Rose interrompant régulièrement son grand-père alors qu'il est concentré sur la peinture d'une pièce par exemple

Les parents de Rose, qui sont la cause de son "déménagement" sont bien dépeints, ils tentent de résoudre leurs problèmes, cependant, cela ne semble pas simple.

En plus du dessin très agréable, les couleurs sont aussi un bonheur pour les yeux, il y a de jolis détails dans certaines planches, c'est mignon, c'est coloré, un seul regret, c'est trop court ! Heureusement, une suite est prévue.



Pourquoi lire Mon Papy Titanic ?



Cette BD est une belle représentation de la relation entre grand-parent et petit-enfant. Il y a bien sûr des différences générationnelles, gommées par la tendresse et l'affection. Rose apporte un vent de folie dans l'existence de son papy que l'on sent marqué par la disparition de sa femme. Un bel album, à lire en famille !
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Ce 6 avril 2023, j’ai lu « Mon Papy Titanic », de Falzar (scénario) et Marco Paulo (illustrations). J’ai eu la chance de lire cette BD Feel Good grâce à une Masse Critique de Babelio, en collaboration avec Bamboo édition. Je les remercie chaudement pour cet envoi.



Résumé :

Rose va grandir bien plus vite qu’elle ne le pense…

Elle a décidé d’aller vivre chez son grand-père et de ne revenir chez elle que quand ses parents arrêteront de se disputer. Mais la vie avec son papy, vieux monsieur solitaire aux habitudes fantasques, ne va pas être des plus apaisées. Entre moments tendres et situations cocasses, Rose va découvrir une existence aussi mouvementée que chez ses parents.



Je l’avoue, je suis une néophyte en matière de bande-dessinée, et tout ne m’attire pas. L’histoire, les dessins et la colorimétrie doivent former un ensemble organique qui m’attire pour que je me décide à en acheter une.



Avec « Mon Papy Titanic », j’ai replongé dans mon enfance grâce à ces chroniques quotidiennes drôles, joyeuses et touchantes qui racontent les aventures d’une petite fille installée chez son grand-père pour échapper aux disputes fréquentes de ses parents.



Les couleurs sont vives, l’univers est doux, et certaines situations cocasses donnent le sourire. Pourtant, on ne s’évade pas du quotidien réaliste des personnages, l’adaptation à une nouvelle dynamique leur permettant de sortir de leur zone de confort et de se retrouver dans des situations loufoques.



De Titanic, dans cette histoire, il n’y a que la situation de départ qui évolue très vite et pour notre plus grand plaisir. On constate avec soulagement que quand des générations différentes se rencontrent et prennent le temps d’établir un dialogue, elles réalisent qu’elles partagent de nombreuses similitudes qui permettent de se comprendre.

J'avais un peu peur de ne pas accrocher aux dessins jeunesses de cette BD mais le thème et les couleurs m'avaient attiré alors je me suis lancée. Je dois reconnaître que j'ai été surprise d'adhérer autant au graphisme qui apporte un côté très expressif aux personnages !



D'ailleurs, j'ai adoré découvrir ce duo attachant, les liens qui se tissent entre Rose et son grand-père. Celle-ci décide de s'installer chez lui après un énième dispute de ses parents. Cette nouvelle cohabitation va bouleverser leurs petites habitudes mais de manière très positive une fois la phase d'adaptation passée. A travers eux, c'est le choc des générations avec le grand-père qui, depuis le décès de son épouse, s'est réfugié dans sa passion du modélisme et sa petite-fille qui passe son temps dans ses jeux vidéos. Ces petites scènettes du quotidien permettent d'évoquer avec humour des thèmes universels tels que les conflits familiaux, la solitude,...



Pour conclure, j'ai passé un très bon moment plein de tendresse avec ses planches qui abordent des thèmes forts de manière ludique à travers les tranches de vie de ce duo singulier et attachant ! La complicité qui les lie peu à peu a su me toucher en plein cœur.

Quel que soit votre âge, cette BD saura donc vous emporter grâce son côté intergénérationnel !
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Les parents de Rose n’arrêtent pas de se disputer et Rose en a marre. Elle fait son baluchon et file s’installer chez son papy. Son dynamisme bouscule le quotidien de ce papy veuf et solitaire. Mettre un réveil, se lever le matin, foncer jusqu’à l’école, chamboule sa vie avec tendresse.



À mesure que les jours passent, Rose passe moins de temps sur ses jeux vidéo et son papy délaisse la construction de sa chère maquette du célèbre Titanic. Leur complicité se renforce et les situations cocasses s’enchaînent.



Les deux personnages sont très attendrissants, les situations émouvantes et très drôles ! Un énorme #coupdecoeur familial pour cette magnifique BD aux illustrations absolument charmantes. J’aime beaucoup le trait, les couleurs et j’ai été très émue par cette belle histoire qui célèbre avec douceur et tendresse, le lien intergénérationnel. Vivement le tome 2 !!
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Un bande dessiné fraîche, d'actualité, avec de jolies dessins colorés. Le papy me rappel un peu celui de "là haut" en moins bourru.

C'est l'histoire d'une petite fille qui ne supporte plus les disputes de ses parents et décide de vivre chez son papy. La vie de celui-ci va être bouleversé dans le bon sens. Au lieu de rester dans le passé, Rose va le rajeunir, lui faire faire de nouvelles choses.

Une belle histoire qui parle du soucis des conflits parentaux, ce que ça provoque chez les enfants. Ici Rose a son papi à côté ce qui n'est pas la chance de tous.

Puis des personnes âgées, isolées, seules, on en voit tellement dans l'aide à la personne.

Ensuite du regarde que l'on peut avoir sur la vieillesse, est ce que ça veut dire "out", "fini" ou justement faire un mélange avec la jeunesse pour s'épanouir, vivre, apprendre. Car vieillir c'est être un grand enfant et les enfant ont besoin de structure, de quelqu'un vers qui se tourner.

Une belle bande dessiné dont j'aimerai découvrir d'autres tomes si les auteurs dont pour. Coup de cœur pour la fin, merci de l'avoir fini ainsi et des coups d'œil au Titanic et au film.

Rose va grandir bien plus vite qu’elle ne le pense…

Les parents de Rose n’arrêtent pas de se disputer. À tel point qu’elle a décidé d’aller vivre chez son grand-père à trois maisons de là. Et elle ne reviendra chez elle que quand elle aura grandi et atteint la marque sur la toise dans l’ancienne chambre de sa maman. Voilà qui est dit ! Mais la vie avec son papy, vieux monsieur solitaire aux habitudes fantasques et fan du Titanic dont il reconstitue la maquette, au moindre câble près, ne va pas être aussi apaisée que Rose l’imagine. Entre moments tendres et situations cocasses, Rose va découvrir une existence tout aussi mouvementée que chez ses parents.

Une BD plaine de tendresse et d'humour.

Une collection d’histoires (très) courtes pour les premiers pas dans la lecture.



La famille Monstre est en plein dans les préparatifs de Noël. On suit les nombreuses péripéties de la famille, tout en riant.

Le sapin est trop grand?

Papa Monstre a la solution : couper le tronc…. jusqu’à ce qu’il soit trop petit.



Idéal pour expliquer aux enfants que quoi qu’il arrive, malgré les péripéties auxquelles on doit faire face, l’important est d’être ensemble, de passer de bons moments, accompagné de ceux que l’on aime.

Le reste n’a pas d’importance…Il faut profiter de nos proches, d’autant plus en ces moments difficiles.

Une tendre et drôle histoire sur l'endormissement. Les parents de Julot ont du mal à le laisser dormir pour la première fois chez les voisins...

Le texte est court, une à trois phrases par page. Convient à un enfant qui connaît déjà de nombreux graphèmes.

Offert à ma mère qui porte ce prénom qu'elle a détestée toute sa vie, désormais elle se réconcilie car Léonie est devenu à la mode.

C'est bien" joli" d'être la première de la classe mais si aucune amie ne partage notre vie, l'existence est fade. Car Léonie ne s'intéresse ni à la mode, ni à la musique et encore moins aux célébrités. Une vraie handicapée sociale.

Une histoire sur la différence dont le traitement est joyeux et aux illustrations naïves.

Je n’ai pas lu le livre original de Romain Puertolas avant d’emprunter cette BD à la Bibliothèque mais je connaissais déjà le début de l’histoire… Le héros Ajatashatru Lavash Patel ou Aja est un fakir un peu escroc et très débrouillard qui vient d’arriver à Paris pour y acheter un lit à clous repéré en soldes sur le catalogue Ikea. Malheureusement, le produit n’est plus en stock et Aja va devoir revenir le lendemain. N’ayant nulle part où dormir, il décide de se cacher dans le magasin pour y passer la nuit. Il s’enferme dans une armoire mais celle-ci fait partie d’un lot à déstocker et Aja se retrouve, malgré lui, en route vers l’Angleterre… C’est le début d’une aventure rocambolesque à travers l’Europe et au-delà… le fakir va découvrir le quotidien des migrants, renvoyés de frontières en frontières. Il sera poursuivi par les polices des frontières mais aussi par le taxi qu’il a entourloupé lors de son arrivée à Paris…

Une lecture sympathique mais l’intrigue pas toujours facile à suivre, cette adaptation ne m’a pas spécialement donnée envie de lire le roman.
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Bien enlevé, avec Cerise comme coloriste d’une belle efficacité, avec un découpage vif et un rythme soutenu dans la narration, cet album ne manque vraiment pas de charme. Au travers d’une histoire originale d'une des plus grandes écrivaines du vingtième siècle, rendre hommage à Agatha Christie sans aucunement la dénaturer, était un pari difficile à tenir, mais réussi.
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Hercule poireau et sa mère le commissaire magret se retrouvent dans un gîte en haute montagne, décor idéal pour un concours de cuisine télévisé. Les chefs tombent comme des mouches et les deux enquêteurs doivent réagir au plus vite.

Un scénario a la Agatha Christie a la sauce bande dessinée. Un très bon moment de lecture.

Cette histoire est pleine de tendresse. Le jeune lecteur sera tout de suite charmé par cette étrange famille de monstres, qui sont les voisins d’une famille humaine, et qui ne sont visiblement pas les as du rangement ! La redondance de la scène aide les lecteurs débutants à prendre leurs repères tant pour le déchiffrage que pour la compréhension. Au fil des pages, le suspense monte ! Comment peut donc se terminer cette aventure culinaire ? Le rire sera alors encore une fois au rendez-vous avec un dénouement surprenant et amusant ! Voilà une histoire parfaitement bien pensée pour les apprentis lecteurs, qui passeront un bon moment et gagneront en assurance dans la pratique de la lecture !
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La famille la plus déjantée du grand écran revient en bédé sous la plume et le crayon de Marco Paulo et Falzar. Plongée dans une nouvelle existence grâce au miracle du Loto, la tribu s’est vue propulsée au rang des multimillionnaires du pays. Que faire avec cent millions d’euros ? Fatalement, l’argent permet de tourner le dos aux avanies du quotidien et de concrétiser une série de rêves laissés en friche depuis l’adolescence. Il autorise surtout ceux qui le palpent à ne plus rien faire, à déménager, à entretenir de nouvelles amitiés et à tourner le dos au passé. Malheureusement, lorsqu’on n’est pas né avec une cuillère en or dans la bouche, on ne connaît pas forcément les usages de la bourgeoisie et, bien souvent, on se rétame sur les conventions, débarquant là où on n’aurait jamais dû aller, un peu comme un éléphant qui fait irruption dans une boutique de porcelaines. Le comique naît du décalage autant que des traits de chaque protagoniste, beauf jusqu’au bout des ongles, incapable de voir plus loin que l’ombre de son nez et manifestant bruyamment ses états d’humeur. Au-delà du rire (parfois gras), les Tuche se veut une parabole sur la réussite, les habitudes, les mœurs et ce que chacun fait de la chance qui lui sourit. En filigrane, il s’agit aussi du portrait d’une famille ébranlée par un pactole tombé du ciel et qui voit toute une série de valeurs se déliter dans la nouvelle existence qu’elle adopte, sans trop réfléchir aux conséquences des décisions qu’elle décide de prendre et de la superficialité des nantis.

Adaptation du roman du même titre de Puertolas.



Que je n’ai pas lu. J’ai lu ses deux romans suivants, j’avais eu pas mal de retours sur celui-ci et je me suis dit que se serait pas mal pour me faire une idée sur la trame avant de voir le film lorsqu’il sortira (en dvd, je ne suis pas pressée!)



Je n’ai donc pas été surprise par le type d’humour ou par les multiples rencontres avec pleins de personnages.





En revanche, je n’ai pas été franchement emballée par le scénario ou les personnages, je pense que le format BD n’était pas le plus adapté pour permettre de s’attacher aux personnages.



Donc un peu déçue, je regarderais quand même le film histoire de voir si mon opinion change, mais mon roman préféré de Puertolas reste la Petite fille qui avait avalé un nuage grand comme la Tour Eiffel !




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Merci ! merci ! merci pour cette tres belle découverte. Ma fille l'a trouvé au pied du sapin à Noël, étiqueté "le père Noël de babelio"

... (d'où ce petit retard pour publier ma critique )

Ma fille en es très contente et adore le personnage de Léonie auquel elle s'identifie, et étant ammatrice de bd elle n'a pas été déçue .

Me concernant , tout d'abord envoi soigné et livre magnifique! J'ai egalement adoré, nous connaissions deja leonie car nous avions lu et vu les aventures de ducobu et c'est génial qu'une serie lui soit consacrée.

Nous attendons avec impatience de nous procurer le tome 2!

N'ayant pas lu le roman de romain Puertolas dont est tirée cette bande dessinée je ne peux faire de comparaison et c'est trés bien car en étant lecteur nous sommes rarement contents des adaptations.



J'ai donc découvert Aja, fakir roublard et débrouillard que ses magouilles entrainent dans des aventures rocambolesques. Il va croiser un taxi gitan ( qui va le poursuivre tout le long du livre), des migrants , une jolie jeune femme, une célébrité. Le tout dans une course colorée, qui nous mets souvent le sourire aux lèvres.



Une découverte sympathique mais qui ne me laissera pas un souvenir impérissable non plus. Plutôt une envie de lire le roman de Romain Puertolas pour profiter davantage des aventures de ce fakir jamais à court d'idées pour se tirer d'affaire.



Merci aux éditions Jungle et à la masse critique Babelio pour cette joyeuse lecture.