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Citations de Sylvie G. (160)


Les gens que je vois en thérapie ont souvent comme caractéristique commune le désir de tout contrôler et la difficulté à lâcher prise. La spontanéité fait souvent défaut. Alors, ne pas être trop précis sur ce qui t’attend est une stratégie pour moi et un premier pas à franchir pour toi.
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Il m’arrive d’avoir envie d’un peu de spontanéité. J’aimerais oser faire des choses qui ne sont pas toujours prévues ou même qui sont… interdites.
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À trente ans, partir avec une fille de dix-huit ans me ferait passer pour un pervers. Et puis, tu imagines la réaction des dirigeants de la commission scolaire s’ils apprenaient que je m’envoie en l’air avec une fille assez jeune pour être une de mes étudiantes ?
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Je suis un peu plus jeune, c’est vrai, mais je refuse de croire que tu n’as pas aimé notre nuit.
À ces mots, je m’efforce de revoir des images, mais rien ne vient. Même en creusant mon crâne pour me remémorer des caresses, des baisers, des paroles, l’écran est vide. Dommage. Tant qu’à faire des conneries, j’aimerais au moins m’en souvenir les jours où je m’emmerde dans ma vie morne et sans action.
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La perfection est une illusion et j’en ai assez de courir après un mirage.
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Le monde ne sera pas détruit par ceux qui font le mal,
mais par ceux qui le regardent sans rien faire.
Albert Einstein
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Aucune parole, aucun geste ne pourront jamais pardonner ce que je t’ai fait. Pourtant, chaque jour, j’y réfléchis en cherchant comment je pourrais me racheter. Tu crois que je mérite de mourir, mais moi je pense que je mérite de vivre, seulement pour ressentir chaque jour la douleur de la culpabilité qui m’est insupportable.
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Skye ressemblait à une bête sauvage la première fois que je l’ai vue, reprend la psychologue. Elle était aussi belle que sur la photo que vous m’avez montrée, mais de toute évidence elle était brisée. Elle n’avait pas mangé depuis plusieurs jours quand je lui ai parlé et je ne suis pas certaine qu’elle avait dormi non plus. Pendant trois longs mois, elle n’a plus parlé. Pas un seul mot.
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C’est toujours ardu de demeurer insensible devant ces victimes d’agression sexuelle, et je crois savoir que, pour Elisabeth, ce l’est encore plus. Elle pense que les hommes sont tous des monstres.
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Les pervers n’ont jamais honte puisque, pour eux,
l’autre n’existe pas, c’est un pantin qui
n’est là que pour leur propre plaisir.
Boris Cyrulnik
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Katrine et moi avons longtemps voulu revoir Skye. La perdre a signifié se voir priver d’une partie de nous-mêmes. Elle incarnait la sœur que je n’ai jamais eue. Nous nous connaissions depuis la maternelle. Une amitié de plus de sept ans lorsque nous en avons douze, c’est énorme. Nous avons tenté de la trouver à d’innombrables reprises, sans succès. Puis, la vie est arrivée : les études, le travail, le mari, les enfants. Elle est tombée dans l’oubli, mais jamais tout à fait.
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Si Skye a vécu un événement atroce, elle a été une adolescente tout à fait normale avant cette soirée. Mais comme les autres, Isabella sait qu’un drame s’est produit lorsqu’elles sont parties.
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Je pense que la meurtrière descend la liste des hommes à qui elle veut enlever la vie et que, tout ce qui compte, c’est de parvenir au dernier avant de se faire épingler. Point à la ligne. Contrairement à un tueur en série qui prend plaisir à la mise en scène et aux meurtres, je ne crois pas que ce soit son cas.
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Ma mère était intelligente, calme et d’une gentillesse rare. Du temps où je fréquentais l’école primaire, tous les élèves espéraient l’avoir comme enseignante parce qu’elle expliquait bien et avait une patience à toute épreuve. Elle réussissait à faire comprendre toutes les matières, même aux moins doués. Elle prétendait qu’on peut tous arriver à des résultats identiques, bien que parfois le chemin pour s’y rendre diffère.
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La tendresse est plus forte que la dureté,l’eau est plus forte que le rocher,
l’amour est plus fort que la violence.
Hermann Hesse
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En vérité, j’ai choisi cette carrière parce que c’était le moyen le plus concret d’aider les victimes d’actes criminels. Je suis passée par le droit, mais j’avais l’impression de n’arriver à rien de tangible. La procédure devient parfois si longue et compliquée que je perdais patience. Le métier de policier permet une plus grande instantanéité des résultats et est plus satisfaisant, à mon sens. Mais, en toute honnêteté, je suis encore déçue.
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La beauté quintuplée de sa partenaire laisse Jonathan interloqué. Le regard rivé sur son visage épanoui, son cœur battant la chamade, il sent qu’il perd tous ses moyens. Il voudrait figer l’image pour la contempler jusqu’à la fin de sa vie. Cette femme énigmatique a quelque chose de touchant, de vrai, de fragile et de fort en même temps. L’ancien coéquipier de Jonathan interrompt cette brèche de douceur dans cette matinée difficile.
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Contrairement aux salauds qui se servent des femmes, Jonathan ne lui a jamais raconté d’histoire. Sans avoir eu cette discussion, il lui a fait comprendre qu’entre eux il n’y aurait rien de plus que du sexe. Elle a pensé, probablement comme toutes les autres aussi, qu’elle parviendrait à l’amener à changer d’idée. Leurs ébats sexuels étant les meilleurs qu’elle ait connus de sa vie, elle considérait ne pas être perdante sur toute la ligne. C’est justement ce qui distingue Jonathan des hommes qui vivent d’aventure en aventure : la sensation que seul le plaisir de sa partenaire a de l’importance. Avec lui, chaque nuit est comme la première ou la dernière. Le temps paraît s’évaporer pour laisser place aux baisers, aux caresses, aux rires et même aux discussions. Plus qu’aucun homme, Jonathan a cette sensibilité aux femmes qui le rend encore plus désirable.
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Mon fils, quand tu dois autoriser la liberté à un homme, que tu sais sans l’ombre d’un doute être responsable du meurtre de son propre enfant, mais que faute de preuves tu dois prononcer haut et fort « non coupable », à ce moment précis, tu souhaiterais que le système de justice soit bien différent, avait-il avoué.
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Qui croyait baiser s’est fait baiser !
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