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Critiques de Vince (87)
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Godkiller

Ce one shot est certes étonnant dans la mesure où il y a de l'inventivité dans l'univers religieux crée de cette société du futur. C'est un monde typiquement cyberpunk.



Pour autant, la lecture demeure assez désagréable car c'est extrêmement glauque. Le personnage principal est en effet un gros curé pédophile qui se drogue et qui tapine volontiers. On ne sympathise pas vraiment avec ce détective privé d'un nouveau genre.



Par ailleurs, on a du mal à suivre le fil du récit tant le scénario nous entraîne dans des délires pas possible. Le dessin est très informatisé ce qui le rend glacial. Bref, un gros bôf...
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Esmera

Printemps 1965. Esmera est une jeune étudiante au collège Sacro Cuore de Gênes, une école catholique tenue et fréquentée essentiellement par un public féminin. L’ambiance y est stricte et Esmera plutôt sage, mais c’est sans compter sur Rachele, sa voisine de chambre pas vraiment farouche.

Grâce à Rachele, elle fait tout d’abord la découverte du corps masculin, en tant qu’observatrice. Mais très vite, la volonté de ressentir ses propres sensations prend le dessus et lors d’une soirée, elle connaît sa première fois. Expéditive, sans intérêt. C’est alors que Rachele va lui faire découvrir ce que doit être le plaisir, celui qui chavire, renverse. Juste après l’orgasme, Esmera deviendra Marcello. Et chaque prochain orgasme inversera la tendance, indéfiniment…



Etre une femme, être un homme. Etre de genre masculin ou féminin. Ou les deux. Comment se comporter ? Suivre les codes ? Esmera prend le temps de s’habituer à ce changement et décide de vivre ce que la vie lui offre, une nouvelle palette de sensations à découvrir. J’ai du mal à qualifier cette bande dessinée de « pornographique ». La pornographie est un milieu que j’imagine plus trash, sans émotions alors que dans cet ouvrage, il y a du sens et du sentiment. Certes, les illustrations sont sans équivoque mais il y a parfois une douceur qui s’en dégage.



C’est une lecture qui peut se découvrir à plusieurs niveaux. On peut apprécier le côté original de l’histoire et être intrigué, car qui ne s’est jamais demandé ce que ressentait un corps de sexe opposé ? Il est aussi possible de voir un côté plus profond, sur le sexe et le genre, sur cette ligne que l’on suit parce qu’on est né et que l’on a appris à être comme ça. Une lecture assurément étonnante, qui peut réchauffer le corps, à défaut de réchauffer le cœur.

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Premières fois

Merci à Sybilline et aux auteurs pour ce merveilleux album !

Et merci à Sybilline pour sa petite dédicace qu'elle m'a fait à la fin de mon stage.
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Premières fois

Trouvé totalement par hasard, suite à la lecture d'une liste sur Babelio, je me suis lancé dans sa lecture.



Dans ce roman graphique très ouvert d'esprit, on a le droit a 10 récits différents qui parle d'un même sujet : le sexe. Peu importe avec qui, s'il est bon ou mauvais, avec qui il est partagé, le sujet est le même mais développé différents selon les auteurs et leurs sujets liés.



J'ai apprécié certains sujets d'autres moins, comme les styles de dessin mais ça se lit assez vite !



Pour publics avertis ! Voila, vous êtes averti !
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Donjon antipodes, tome 3 : Rubéus Khan

Hmmm. Je reste un peu sur ma faim pour être honnête. Avec une couverture si prometteuse, je m'attendais à quelque chose de plus futuriste globalement.



Il s'agit pour ce nouveau tome d'une nouvelle époque (Antipodes +, niveau 10 000) de présenter une belle palette de personnages dont l'impulsif protagoniste : un canard rouge qui n'est pas sans rappeler un certain "Marvin Rouge".

Dans un mélange un peu bigarré de Kaiju, d'esthétique vintage et d'ambiance « semi-post-apo » dopée à la violence gratuite, on suit l'histoire d'un descendant de Vaucansson qui, pour retrouver son fils;devra s'allier à la pègre, rôle pour lequel il choisira le nom de Rubéus Khan.



J'attendais impatiemment ce nouvel opus avec peut-être un peu trop de ferveur d'où une légère déception, cependant je suis curieux de découvrir la suite.

Si on ne sort pas du concept quête + bagarre + humour qui est un peu la marque de fabrique de Donjon, l'atmosphère de ce tome est bien différente tant on est loin des tonalités plutôt médiévistes des autres titres de la série.



A suivre donc, par curiosité, mais pas tout à fait convaincu pour le moment.
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Esmera

ne pas mettre, certes, entre toutes les mains mais assurément à partager avec grand plaisir entre adultes.
Lien : http://www.auracan.com/album..
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Esmera

Avec « Esmera », Zep se tourne sans complexe, et même avec audace, à un lectorat gourmand d’érotisme, voire même de pornographie.
Lien : http://bdzoom.com/93873/bd-d..
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Les Chronokids, tome 1

Une série de science fiction humoristique pour les jeunes, Il fallait y penser Zep l’a fait.

Quel élève ne profiterait pas de tomber sur un GSM à voyager dans le temps pour régler quelques problèmes de mauvaise notes en histoire?

Adèle et Marvin frère et soeur aux idées un peu loufoques ont bien l’intention de profiter de l’aubaine et on suit avec entrain leur péripéties.

Ce n’est pas de la grande BD mais ça détend. On fini toujours par se demander… “et moi je ferais quoi avec ce GSM à voyager dans le temps?” …plein de choses auxquelles Marvin et Adèle ne pense pas.

Adèle et Marvin ne réalise pas vraiment ce qu’ils ont en main et l’utilise vraiment bêtement et c’est pour ça que j’aime bien cette BD même si c’est parfois frustrant de les voir faire vraiment n’importe quoi, on a envie de les tapper et de leur dire m’enfin vous voyez donc pas la chance que vous avez? Bref leurs bêtises les mènent dans des situations complètement saugrenues qui ne manquent pas de piquants et qui donne envie d’en voir d’autres encore et encore
Lien : http://scrambledspirit.wordp..
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Premières fois

"Premières fois" m’impose une certaine retenue, à la rédaction de cet article. En effet, c’est un livre pour adulte, d’histoires érotiques. Comme des mineurs peuvent passer par là, comme des gens de ma famille passent par là, je me dois à une certaine mesure.



Voici dix histoires, sur des premières fois à caractère sexuel. Des expériences, des vécus, nouveaux pour les personnages présentés. Il y a de la diversité, la sexualité dans tout ce qu’elle peut connaître.







Cette bande-dessinée n’est pas un film porno, attention. Elle en est éloignée, je pense, parce que chaque récit n’est empli que de timidité. Chaque personnage est confronté des situations particulières, pas toujours évidentes à gérer, et donc, chacun réagit par prudence, timidité, pudeur. On est donc loin des films X où chaque expérience de copulation à douze est un pur bonheur pour la charmante et docile jeune femme du scénario.



Les films X sonnent faux. "Premières fois" sonne juste.







Parmi toutes ces histoires, chaque lecteur trouvera celle qu’il préfère, et celle qu’il n’aime pas.



Pour son romantisme, pour sa douceur, l’histoire intitulée « première fois », et qui parle donc du premier rapport sexuel d’une jeune femme, est sans doute mon préféré. « 1+1 », qui montre qu’une femme peut être aussi minable qu’un homme, me plaît beaucoup aussi. « Soumission », je n’aime pas du tout par contre. Essayer de montrer une normalité, à un rapport de soumission dans les relations de couple, je ne peux pas y adhérer. Ca va à l’encontre de mes valeurs et respect et d’égalité dans le couple. Cette histoire là, je ne l’aime vraiment pas. Et encore, je n'en dis pas plus pour rester soft.







Jusque là, il me semble avoir réussit à ne pas transformer cette chronique en texte X, c’est bien.



L’auteure, Sibylline, est vraiment très douée pour raconter des scènes souvent poignantes. J’insiste encore sur la justesse du propos. On n’est pas dans le racoleur, dans la surenchère de baise genre « Méga-boobs 36, la nouvelle vidéo ». L’amour n’est pas mis à l’écart, et c’est important. Pour reprendre Coyote, le créateur de Litteul Kevin, dans un de ses albums « il n’y a pas de plus belle histoire amour qui ne soit associée à une belle histoire de cul. » Et réciproquement, ajouterais-je.







Pour tous les adultes amateurs de littérature érotique, je vous encourage à lire cet album. Enfin, à l’acheter puis à le lire chez vous. Le lire dans les rayonnages de la FNAC risque de vous mettre fort mal à l’aise…
Lien : http://www.chroniquesdelinvi..
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Donjon antipodes, tome 3 : Rubéus Khan

A l'image d'Antipodes -, je suis perdu dans ce Antipodes +

Après la fantasy pour son homologue -, on est ici dans une oeuvre proche de la SF dans l'ambiance et dans l'histoire.

On retrouve évidemment des références à la série Donjon comme les Vaucanson et les robots, un héros rouge,...

Mais je suis trop perdu pour le moment pour pleinement savoir ou va aller la série et dans quel but.
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Donjon Antipodes, tome 5 :   10002 Changeme..

Top Mecha Academy



Mené tambour battant et donnant des sueurs froides aux webmaster de par la tentacularité de la série et sa numérotation chaotique mais cohérente, Changement de Programme (qui se termine en -am) poursuit l’iconoclaste série Donjon Antipode + qui se déroule dans le futur et met en scène un lointain descendant de Herbert de Vaucanson, Robert du même nom, Rubéus Kahn pour ses intimes.



Contraint de servir l’Atlas qui l’a sorti de la prison dans laquelle il croupissait (et qui détient son fils !), Rubéus va se retrouver à (re)travailler pour cet oncle qu’il déteste pour former de jeunes pilotes en pamoison devant son pédigré afin qu’ils puissent combattre à ses côtés les hordes de démons surgis des entrailles de Terra Amata pour bousiller tout ce qui se trouve sur leur passage… Mais, subodorant que son oncle est derrière leur surprenante prolifération, Rubéus Khan va tenter d’en apprendre plus sur les magouilles familiales…



Rehaussé par les couleurs brulantes de Walter, dynamique et déjanté, le dessin de Vince, porte efficacement ce récit truffé de mandales et de références signé comme il se doit par Joann Sfar et Lewis Trondheim qui remettent Donjon sur le devant de la scène en multipliant les sorties… pour notre plus grand plaisir !
Lien : http://sdimag.fr/index.php?r..
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Premières fois

Un très bon recueil de récits, avec dix auteurs et une seule scénariste pour tout l'ouvrage. Les histoires sont assez différentes, avec des points de vues variés, des chutes parfois assez différentes de celles que je pensais.



Le principe des changements de dessinateurs est pas mal, certains sont vraiment agréables à l'oeil et correspondaient assez bien avec l'intérieur, et généralement l'ambiance colle assez bien au ton du récit.



Le fait est que pour un récit érotique, il réussit le pari d'allier avec un bon scénario, et de très bonnes idées, des dialogues pas mauvais non plus, bref, des bonnes histoires (sans pour autant délaisser la part érotique qui reste largement présente). En plus, les histoires parlant d'une première fois (pas nécessairement premier acte sexuel) sont variées, traitant de différentes thématiques. Le tout est bien orchestré, les points de vues sont intéressant ... Non, c'est vraiment une très bonne mise en scène qui est faite.



En fait, le recueil à réussi le pari de développer des histoires dans le domaine de la BD érotique, mais aussi de le faire de manière intelligente. Les histoires donnent matière à réfléchir (dans tout les sens que ce terme peut prendre ici), et ce n'est pas pour me déplaire. Enfin une bonne BD érotique dans ma BDthèque !
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Donjon antipodes, tome 3 : Rubéus Khan

Un troisième tome de Donjon antipodes survitaminé avec des références aux années 80 en pagailles. Ça commence par le chien Diabolo (sans Satanas) qui pilote un robot et notre héros "Robert de Vaucanson" canard bodybuildé, aux accès de colère fréquent touche le groles coté injustice. Nous ne sommes plus dans le passé du Donjon mais dans un futur mécanique. Hormis le titre et un peu d'humour, rien à voir avec les autres Donjon. Vince produit malgré un tout un dessin très coloré, plein d'explosions et de bastons.
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Les Chronokids, tome 2

Marvin et Adèle ont leur mojo... ce faux gsm qui leur permet de voyager dans le temps. Alors ils s'en servent ... comme des enfants, fatalement.



Un dessin montre Marvin devant Napoléon et lui demandant "à quel âge êtes-vous mort?", cela résume merveilleusement l'album. Irrévérencieux, mais éclairé, tout à la fois.



Car au-delà des blagues et des paradoxes temporels, la BD permet de visualiser l'Histoire et ses petites histoires. Les rues de Paris au Moyen-Âge, les hommes des cavernes, Woodstock, assister au bain mensuel de Louis XVI tout en allant chercher une vraie robe de bal, le trésor de Charles le Borgne qui n'est autre que la recette du chocolat... autant de clins d'oeil à l'Histoire et de découvertes pour les plus jeunes, auquel s'adresse clairement ce tome.
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Esmera

Esmera a fait ses études dansune école pour fille catholique en Italie. A ce titre, elle a appris que la sexualité ne devait pas se faire hors mariage et que le plaisir était une mauvaise chose, surtout pour les femmes.

Cependant, elle veut être une femme, ressentir du plaisir, et provoquer du désir, comme son amie Rachèle. Mais lors de son premier orgasme, elle se transforme en homme. C'est le début de sa liberté : à chaque fois qu'elle aura un orgasme, elle changera de genre.



Une BD très bien faite, un dessin réaliste sans être trop chargé, expressif, beau et varié.

Concernant le scénario je l'ai trouvé cohérent, intéressant et accrocheur.

A travers l'histoire d'Esmera, le lecteur peut suivre une certaine évolution du regard de la société sur la femme et sa sexualité. En ce moment, c'est très d'actualité et ce genre de contenu devrait être largement diffusé. En effet, si on n'avait pas pris conscience du regard de la société sur les femmes, et bien le lecteur en aura un petit aperçu ici.

J'ai beaucoup aimé !
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Esmera

Zep avait déjà montré son intérêt pour le sexe avec « Happy sex ». Cette fois, il se lance dans une véritable bande-dessinée érotique, en confiant le dessin à Vince. Quand on a vécu la gloire avec un public jeunesse et l’humour, c’est forcément un peu casse-gueule ! « Esmera » compte pas moins de 76 pages pour émoustiller son lecteur. Le tout est publié chez Glénat.



L’histoire commence dans les années 60. Esmera découvre sa sexualité avec sa copine de chambre. Mais elle s’aperçoit que lorsqu’elle a un orgasme, elle se transforme en homme ! Un autre orgasme et elle devient une femme… Voilà le point d’appui de cette BD.



Comme pour beaucoup d’ouvrages érotiques, le tout part d’une idée un peu délirante. Difficile de ne pas voir l’influence des ouvrages de Manara (« Le déclic » et sa machine en enclenche le désir, « Le parfum de l’invisible » et sa lotion qui rend invisible, etc.) dans le scénario. Ainsi, Esmera a une sexualité plurielle qui permet de multiplier les expériences. Hélas, une fois le fil rouge déterminé, Esmera a tendance à ne faire que multiplier les expériences justement.



Malgré quelques efforts dans le scénario, les personnages secondaires sont inexistants. L’histoire a tendance à vite accélérer, manquant cruellement de matière. De même, Zep n’essaie pas d’expliquer ce fameux don d’Esmera. Il faut donc chercher l’intérêt ailleurs. Et c’est dans l’évolution de la société qu’on l’y trouvera. En effet, Esmera commence sa vie chez les sœurs, dans les années 60. Elle vivra après l’amour libre, les politisés, le SIDA, le retour du puritanisme, etc. Ainsi, elle s’adapte à la société pour pouvoir vivre sa sexualité étrange. L’histoire est très premier degré, malgré quelques immersions par-ci par-là de traits d’humour. Dommage que Zep n’utilise pas son talent humoristique pour ajouter du piquant à certaines situations.



Si le fond est n’est pas transcendant, la forme l’est beaucoup plus. Avec un lavis de toute beauté, Vince fait preuve d’un vrai talent pour dessiner cet ouvrage. Bien qu’explicite, il n’a jamais l’air pornographique, la monochrome atténuant l’impacte des chairs et rendant le tout beaucoup moins cru. Un choix vraiment payant ! C’est clairement le gros point fort de l’album : le dessin est magnifique, tant dans les corps que dans les décors.



« Esmera » ne révolutionnera pas la bande-dessinée érotique. Elle en possède les défauts classiques du genre : à savoir un scénario basée sur une idée sympa mais qui pourrait être mieux exploitée. Malgré tout, la narration est bien menée et le dessin est magnifique. On se laisse embarquer dans cette histoire improbable de dualité sexuelle.

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Esmera

Ni lesbien, ni gay, ni bi ou trans... Zep vient de (re)inventer un nouveau genre : l’alter(sexuel) !
Lien : http://www.bdgest.com/chroni..
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Esmera

Le récit est d’abord un bon divertissement, agréable à lire, avec des dessins de qualité. Sur tous ces points, l’album est réussi. Les amateurs de BD érotique y trouveront pleinement leur compte.
Lien : http://www.avoir-alire.com/e..
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Les Chronokids, tome 1

Les Chronokids, une BD pour enfants, mais délirante pour les adultes.

Suivre ces deux crapules à travers diverses histoires menées par leur super portable magique, c'est un régale.

Les pauvres... Je n'aurais pas aimé être à leur place dans certaines situations !

Mais d'un autre côté, quelle chance de pouvoir voyager dans le temps !

C'est donc une BD marrante, légère qui permet de s'évader un peu. Je recommande, notamment pour les lectures pépères du dimanche.
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Les Chronokids, tome 1

Marvin et Adèle ont trouvé un gsm pour voyager dans le temps !

Pratique quand on est nul au cours d'histoire !



Les chrono kids est une série humoristique qui mets les héros des gags dans des situations rocambolesques et hillarantes.

Cela plaira au jeunes tout comme aux adultes qui ont envie d'une lecture détente bien sympathique
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