J'ai été très déçu par cette bande dessinée. Il faut dire que je m'attendais à une série plus « sérieuse » avec l’idée de découvrir l'histoire à travers les aventures de deux enfants ; mais on est loin de tout cela.
Marvin et Adèle sont deux enfants très espiègles, voyageant à travers le temps à l'aide d'un portable acheter en brocante à 5 euros. Voilà pour le décor assez simpliste mais ce sont surtout les histoires qui manquent de sérieux. D'ailleurs j'ai franchement tiqué de l'oeil lorsque les enfants ont croisés des chevaliers en partance pour libérer Jérusalem et qu'ils les ont convaincus de faire de la luge sur les pentes enneigées plutôt qu'aller guerroyer au fin fond du monde. Des histoires courtes sans queue ni tête qui ont finis par me convaincre de refermer cet ouvrage au plus vite.
Bref, même si j'apprécie d'habitude le genre délirant, il faut croire que le thème du voyage dans le temps est pour moi trop sérieux pour en faire n'importe quoi ; du moins, j'aurai aimé beaucoup plus de cohérence pour apprécier cette série.
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A l'image d'Antipodes -, je suis perdu dans ce Antipodes +
Après la fantasy pour son homologue -, on est ici dans une oeuvre proche de la SF dans l'ambiance et dans l'histoire.
On retrouve évidemment des références à la série Donjon comme les Vaucanson et les robots, un héros rouge,...
Mais je suis trop perdu pour le moment pour pleinement savoir ou va aller la série et dans quel but.
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Trouvé totalement par hasard, suite à la lecture d'une liste sur Babelio, je me suis lancé dans sa lecture.
Dans ce roman graphique très ouvert d'esprit, on a le droit a 10 récits différents qui parle d'un même sujet : le sexe. Peu importe avec qui, s'il est bon ou mauvais, avec qui il est partagé, le sujet est le même mais développé différents selon les auteurs et leurs sujets liés.
J'ai apprécié certains sujets d'autres moins, comme les styles de dessin mais ça se lit assez vite !
Pour publics avertis ! Voila, vous êtes averti !
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• Donjon Antipodes, Tome +10001
• Sfar & Trondheim (Scénario) & Vince (Dessin)
• Delcourt
Ce tome de Donjon Antipode est le 39éme tome de la franchise Donjon, tout confondu. Et il est le deuxième d'une nouvelle ère, l'ère antipode qui comprendra des tomes numérotés "-" se passant 10000 ans avant l'ère Zénith et des tomes numérotés "+" se passant 10000 ans après l'ère Zénith.
Donjon étant une série se basant énormément sur le principe des différentes temporalités, en ajouter deux nouvelles parait bien alléchant.
Enfin... Peut-être...
Peut-être, mais peut-être pas...
Si ajouter deux nouvelles ères peut être intriguant, une fois la lecture faites, on est en droit de se poser des questions.
Pour ce tome, comme pour le premier tome Antipode -, les liens avec le reste de l'univers sont assez faibles et on ne comprends pas trop l'intérêt de nous servir une nouvelle ère.
Fini le monde médiéval, nous sommes désormais dans un monde futuriste ressemblant assez au notre pour l'architecture mais avec des robots, un truc classique de SF.
On va suivre un canard rouge, descendant Vaucanson.
Et vu son nom et ses caractéristiques physiques, on peut assez facilement faire des suppositions sur ses ancêtres.
Mais à part cela, aucun lien dans l'histoire entre ce tome et les autres ères.
Ce qui me fait dire tout comme pour Antipodes -, que ce tome n'est pas particulièrement intéressant si on le sort de la série Donjon, et qu'en tant que partie de l'univers Donjon, il ne sert pour l'instant pas à grand chose.
Les auteurs agrandissent un peu plus leur univers, mais à quel prix ?
Pour le moment, je suis assez perplexe et j'en attend beaucoup plus des prochains tomes.
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3ème épisode des aventures musclées de Rubéus Kahn alias Robert de Vaucanson . le canard rouge est soumis à la double tyrannie de la mystérieuse Atlas (qui détient son fils) et de son oncle Stanislas de Vaucanson, archétype du super méchant capitaliste et retors . Il bénéficie de l'aide de Mimi l'ourse , son amoureuse transie et balèze et de la tête du professeur Cormor ressurgi du passé du Donjon. Beaucoup de citations ( Goldorak,Pacific Rim ...) de topos ( l'instructeur qui envoie ses élèves au casse-pipe...) de bastons (robots vs démons et autres ) . DEssin dynamique ,de bons moments d'humour mais ,dans l'ensemble, un certain manque de consistance .....
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Qui a dit déjà que je n’aimais pas les nouvelles ? Moi, c’est vrai… mais il faut croire que je suis prête à changer d’avis…
10 histoires illustrées
10 histoires torrides
10 histoires charnelles
10 histoires sensuelles
Parfois brutales, parfois pleines de douceur et de tendresse. Toujours brûlantes…
Toutes différentes mais toutes parlent de sexualité.
La sexualité sous différents aspects.
Un moment de lecture à partager seul ou à plusieurs… sur ou sous la couette.
Une lecture à posséder dans sa bibliothèque, car c’est la première fois mais sûrement pas la dernière que je la lirai !
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Les métamorphoses du jouisseur.
Dans son école catholique corsetée, à Gênes, dans les années soixante, Esmera ne sait comment accueillir sa sexualité pour pleinement en jouir. Rachele, sa camarade de chambrée, lui ouvre la voie mais l'explosion orgasmique transforme Esmera.
À partir d'une idée fantasmatique, Zep développe une histoire où s'accumuleraient seulement des saynètes répétitives et lassantes si la toile de fond d'une époque ne prenait la lumière et n'occupait le devant de la scène. Le graphisme de Vince rappelle le trait émollient de Zep tout en mols arrondis que la mèche de Titeuf semble concentrer. La monochromie du lavis de Vince est remarquable et donne chair à l'ouvrage.
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Rubeus Khan est sollicité par son oncle Stanislas qui cherche à redorer le blason de son entreprise qui fabrique des robots de combat, et dont les actions sont en chute libre. Rubeus est en effet l’idole de la population de Vaucanson depuis qu’il a vaincu un démon en pilotant un robot de l’entreprise familiale. Stanislas décide ainsi de le nommer capitaine de sa flotte de robots et instructeur en chef pour former les futurs pilotes de l’académie de robotique, amenés à piloter ses robots. Une proposition alléchante sur le papier pour Rubeus Khan mais … ne serait-ce pas un nouveau piège de la part de son oncle pour se débarrasser de lui ?
Un « Donjon » bien décevant qui ne fait pas avancer grand-chose. Certes, il y a des passages forts drôles (le coup du pilote de drone coincé dans la peau d’un vieux clébard, j’avoue j’ai bien ri) et les personnages prennent de l’épaisseur (la relation Mimi / Rubeus Khan est aussi mignonne que rigolote). Mais globalement, on n’apprend rien de neuf que l’on ne savait déjà. Les liens avec les albums antérieurs sont parfois très artificiels (les allusions à la Chemise de la Nuit ou au Grand Khan par exemple) et puis j’avoue, j’ai vraiment du mal à me faire à cet univers urbain semi-futuriste trop proche du notre. L’ambiance de cette série me transporte beaucoup moins que les atmosphères de capes et d’épées de « Donjon Potron-Minet » ou d’héroïc fantasay de « Donjon Zénith » et « Donjon Parade ». Bref, toujours pas convaincu par « Donjon Antipodes + », malgré le dessin « cartoonesque » de Vince qui est plutôt sympathique (bien que peu original).
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Je dirais peu de choses sur cette BD, mais voici l'essentiel : c'est à lire, et je recommande le dessinateur. Que j'ai hâte de retrouver sur d'autres productions.
Pour le détail, j'ai surtout lu cette BD car je sais que Zep peut nous pondre des scénarios pas mal du tout lorsqu'il le veut, et j'ai une tendresse pour l'auteur de What a Wonderful World !
Mais je ne pensais pas qu'il réussirait un tel coup d'éclat ! C'est le genre de BD érotique que j'adore, parce qu'elle allie une efficacité du dessin avec une vraie histoire, posant plusieurs idées bien exploitées et développant quelque chose de pas mal au niveau des émotions. On est pas dans l'oscar du scénario, mais c'est vraiment bien à lire. Et puis ça permet de contextualiser les scènes de sexe, et c'est toujours un plus. Surtout pour l'imagination.
En sus, l'auteur livre une belle image du sexe, ce qui est assez rare pour être noté : le sexe comme libération de l'humain, une célébration du plaisir sous toute ses formes, et une tendresse entre plusieurs êtres. Le propos m'a rappelé Extases, avec cette idée d'un sexe qui est tendre et beau, qui sait être un plaisir.
Le dessin est la grande force de cette BD, et je ne connaissais pas l'auteur qui est pourtant loin de son coup d'essai, mais qui donne envie. Surtout s'il nous ressort un album avec cette sensualité de l'image. C'est vraiment bien fait, et ça donne chaud. Même si ce n'est pas sulfureux au point qu'on imaginerait.
Bref, une belle BD à découvrir, et votre étagère de BD érotique ne saurait être complète sans ce petit morceau de plaisir à déguster.
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Un très bon recueil de récits, avec dix auteurs et une seule scénariste pour tout l'ouvrage. Les histoires sont assez différentes, avec des points de vues variés, des chutes parfois assez différentes de celles que je pensais.
Le principe des changements de dessinateurs est pas mal, certains sont vraiment agréables à l'oeil et correspondaient assez bien avec l'intérieur, et généralement l'ambiance colle assez bien au ton du récit.
Le fait est que pour un récit érotique, il réussit le pari d'allier avec un bon scénario, et de très bonnes idées, des dialogues pas mauvais non plus, bref, des bonnes histoires (sans pour autant délaisser la part érotique qui reste largement présente). En plus, les histoires parlant d'une première fois (pas nécessairement premier acte sexuel) sont variées, traitant de différentes thématiques. Le tout est bien orchestré, les points de vues sont intéressant ... Non, c'est vraiment une très bonne mise en scène qui est faite.
En fait, le recueil à réussi le pari de développer des histoires dans le domaine de la BD érotique, mais aussi de le faire de manière intelligente. Les histoires donnent matière à réfléchir (dans tout les sens que ce terme peut prendre ici), et ce n'est pas pour me déplaire. Enfin une bonne BD érotique dans ma BDthèque !
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On quitte le Fantasy Médiéval pour un récit de science-fiction entre dystopie et urban fantasy. Donjon Antipodes nous envoie dans un futur très éloigné de la période du Donjon. On sort des canons de la série, j’avoue avoir été un peu décontenancé par ce grand saut qui ne m’avait déstabilisé autant dans l’autre sens (L'armée du crâne).
Rubeus Khan est un descendant des Vaucanson, il est rouge comme Marvin Rouge, et comme son caractère impétueux et violent. Il travaille pour un oncle éloigné, autre membre de la famille Vaucanson, propriétaire d’une usine de robots. Un soir de garde, Rubeus Khan va contrecarrer une attaque de l’entreprise, et il parvient à éviter le sabotage de son centre de recherche. Son acte d’héroïsme va malheureusement se retourner contre lui.
Cet épisode propose beaucoup de violence, dans un univers faisant penser aux films d’action, genre Stallone ou Schwarzenegger, avec une pointe de Fantasy, une flopée de combats en tout genre, MMA, bagarre de rue, combat entre robot et dragons, et aussi magouilles et corruption, bercé par une pointe de cynisme et d’humour noir, tout en offrant un nouveau panel intéressant de personnages écorchés ou en marge. Mis en valeur par un dessin pêchu, cet épisode déborde d’énergie, encore plus sauvage que ceux de la série classique, avec toujours cette ironie si particulière, en utilisant des personnages aux silhouettes disneyennes dans un récit ultra-violent et outrageusement cynique.
Putain, Donald, qu’est-ce qu’il leur met dans la gueule !
Malgré tout, je regrette qu’il y ait un peu moins d’inventivité, de magie loufoque. Ça reste une lecture très plaisante, super dynamique, pleine de vie (et de mort), mais on n’est pas au sommet du génie créatif de ses auteurs.
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Oeuvre graphiquement superbe. Il n'existe pas une première fois, mais des premières fois. 10 courtsrécits tous plus émouvants les uns que les autres. Cela parle de masturbation, de fellation, de sodomie, ... Toujours dans la justesse et la tendresse. Aucune vulgarité, ce qui est assez notable que pour être souligné.
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Une petite BD qui change de Happy Sex de Zep ! Déjà par les dessins, les traits de Vince soutenant l'érotisme de l'histoire. Puis par l'histoire justement ! Nous ne sommes plus à sauter de planches en planches humoristiques, mais bien avec un début, un milieu et une fin.
Pour ceux qui s'interrogent sur la vie d'une personne plus que libre sexuellement, vous serez servis !
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Un troisième tome de Donjon antipodes survitaminé avec des références aux années 80 en pagailles. Ça commence par le chien Diabolo (sans Satanas) qui pilote un robot et notre héros "Robert de Vaucanson" canard bodybuildé, aux accès de colère fréquent touche le groles coté injustice. Nous ne sommes plus dans le passé du Donjon mais dans un futur mécanique. Hormis le titre et un peu d'humour, rien à voir avec les autres Donjon. Vince produit malgré un tout un dessin très coloré, plein d'explosions et de bastons.
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Marvin et Adèle ont trouvé un gsm pour voyager dans le temps !
Pratique quand on est nul au cours d'histoire !
Les chrono kids est une série humoristique qui mets les héros des gags dans des situations rocambolesques et hillarantes.
Cela plaira au jeunes tout comme aux adultes qui ont envie d'une lecture détente bien sympathique
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Voici l'histoire d'Esmera. Elevée dans un pensionnat tenu par des nonnes, elle découvre les joies de la chair grâce à sa partenaire de chambrée. Celle-ci la mènera jusqu'à son premier orgasme qui va radicalement changer le cours de sa vie. En effet, à chaque orgasme, Esmera change de sexe, passant du corps de Marcello à celui d'Esmera et inversement.
L'idée n'est pas mal, même si elle n'a rien de complètement originale, les dessins sont léchés et beaux mais ils peinent à obtenir l'effet escompté... A moins que l'orgasme ne soit pas au programme et qu'il ne s'agisse juste que d'un joli conte ?
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