Ce que les colonies d'abeilles peuvent apprendre ne sort (..) pas du cadre étroit de ce qui revêt une signification pour elles dans des circonstances naturelles et de ce dont elles ont l'habitude depuis les temps les plus reculés. L'ouvrière s'en tient à la couleur bleue ou au parfum de la rose si elle a trouvé à manger là où elle les a rencontrés, tout comme l'avaient fait ses ancçêtres au cours d'innombrables générations. Ce sont encore celles-ci qui lui ont transmis cet héritage immatériel qui lui fait construire des alvéoles hexagonaux en cire, faire ses pelotes de pollen, indiquer par ses danses la situation d'une récolte qui en vaut la peine, ou éliminer les faux bourdons lorsque leur ère est révolue. Les mêmes circonstances appellent immuablement les mêmes actes.
Personne ne peut dire avec certitude si les abeilles ont quelque conscience de leurs agissements. Personne non plus n'a encore pu découvrir comment leurs aïeux ont acquis les aptitudes que chaque génération reçoit aujourd'hui, toutes prêtes, en héritage.
774 - [J'ai lu D34, p. 211]
Il semblerait que ce soit une loi de la nature que l'organisme masculin, lorsqu'il est amoureux... déploie tout le charme de sa personnalité, dans la mesure où il en a.
Les femelles sont plus grosses et plus fortes que les mâles et si elles ne sont pas prêtes à recevoir un mâle, elles le dévorent tout simplement.