Braven Oc retrace les aventures du jeune Braven accompagné de ses amis, dans une quête pour préserver les eaux salées d'une mer. L'histoire est assez dynamique et plutôt bien menée, pour une bd jeunesse.
Graphiquement les personnages se ressemblent tous un petit peu avec des traits très anguleux. Ils sont dans l ère du temps et correspondent à la littérature jeunesse.
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Roman jeunesse d aventure sympa
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L'univers de cette bd est très riche des graphismes de qualité un récit qui captive un vrai plaisir
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Une petite bd sympa que j'ai trouvé par hasard, il y a tout ce qu'il faut : une quete, des compagnons et du complot. Belle trouvaille
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Braven Oc, tu es le dernier espoir de ton peuple car toi seul as pu échapper à l’horrible sort jeté par le Seigneur Torguen, le Maître des Homoplantes. Toi seul peux le convaincre de la bonne foi des villageois qui ont bel et bien payé l’impôt exigé par ce terrible tyran. Méfie-toi du percepteur ! C’est lui qui a détourné une partie de l’impôt à son profit !
Heureusement pour toi, tu trouveras sur ta route des compagnons fiables pour te soutenir dans tes épreuves, en plus de ton chien, le fidèle Youm. Tamia est une jeune saurienne capable de se fondre dans le paysage bien mieux qu’un caméléon, en un mot, de devenir invisible, quoi ! Amalek, lui, est issu d'un peuple d'archers. Et puis, il y aura Becfigus, le moins doué et le plus maladroit des farfadets dont les pouvoirs magiques se limitent à… dix fois rien ! Et dix fois rien, cela ne fait vraiment pas grand-chose…
Critique :
« Les Chroniques de Braven Oc » sont une excellente introduction au monde de la fantasy pour des enfants. (Enfin, ça je le constaterai à la rentrée quand je verrai comment réagiront mes élèves face à cette BD.) A partir de huit ans, ils devraient être en mesure de l’apprécier.
Le style graphique n’a rien à voir avec l’école franco-belge et est plus proche des « standards » actuels. Comme toujours dans les éditions Kennes, la mise en couleurs est très soignée et alléchante.
Il y a des drames, de l’action et de l’humour. C’est un gentil album qui s’adresse à un jeune public.
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L’histoire est celle de Braven Oc qui tente, avec l’aide de ses amis, de secourir son père et son village, puni par le chef des homoplantes. Si la fin m’a un peu laissée sur ma faim, j’ai été incroyablement surprise et amusée par le bestiaire et l’onomastique de cette bande dessinée. Tout est incroyablement pensé et on retrouve des créatures hybrides, aussi bien animales qu’ « humaines » autour d’un jeu des noms très particulier qui porte tout son charme. Ce premier tome permet ainsi la présentation du personnage principal et ses compagnons d’aventures à travers une aventure des plus fantastiques.
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J’aime beaucoup cette ambiance médiévale de tous les fronts. Les forces obscures et les créatures mythologiques permettent à l’histoire de prendre le pas d’une époque qui ne s’essoufflera jamais par tout le mystère qu’elle représente. En ce qui concerne le dessin, rien à redire, simplement que j’adore! C’est un dessin que j’aime personnellement, simple et coloré aux traits légèrement durcis et carrés.
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Aux amateurs de bandes dessinées un peu fantaisies et médiévales, celle ci peut vous plaire!
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Pour services rendus au chef des Homoplantes, Torguen, et pour être pluis faciles à surveiller, Braven Oc et ses camarades sont admis à l'Académie des Homoplantes. Bien sûr, ils vont se retrouver au centre d'un vol de tableau et vont devoir prouver leur innocence envers et contre tous.
Ressort d'aventure efficace, mais diablement éculé, l'enquête est néanmoins plaisante et fait apparaître de nouveaux personnages, dont la fille de Torguen qui se lie d'amité avec Braven Oc et Amalek. On découvre une petite rivalité amoureuse dont les garçons sont l'objet. Ce genre de choses risque bien de "parler" aux jeunes lecteurs de la série.
Dessin toujours trop typé, mise en couleur clinquante pas à mon goût (mais il y en a qui aiment) et mise en page toujours très chouette. Se lit sans déplaisir, mais je n'en ferais pas ma tasse de thé.
Il s'agit de l'adaptation (par le même auteur) de romans jeunesse, et que chaque roman fournit la matière à une seule BD. Dès lors, comme pour le tome 2, on a un sentiment de speed incroyable, avec des ellipses, des trucs qui déboulent "pouf" et cela manque de cohérence parfois. Il aurait sans doute été plus indiqué de créer plusieurs albums de BD à partir d'un seul roman.
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Braven Oc découvre peu à peu les pouvoirs de son épée magique. Il s'amuse (c'est de son âge et de celui de ses lecteurs) à faire des bêtises, aussi. Mais voilà que la déesse Salina lui apprend que l'équilibre écologique de la Mer des Nostres est en danger. Des personnes mal intentionnées voudraient en faire disparaître le sel, or celui-ci est nécessaire à la vie et à l'équilibre des choses . Ne dit-on pas le "sel de la vie"... hmmm?... une santé de fer... hmmm? l'eau ferrugininineuse... oui!
Euh, excusez-moi, je m'égare.
Voilà donc Braven Oc qui prend des cours d'escrime et qui s'en va croiser le fer et la magie avec ses amis. Et qui trouve-t-il sur son chemin? Les Homoplantes... Bravo!
Un tome sympathique, parfois un peu décousu, souvent assez réducteur. Mais le propos autour de l'écologie, de la préservation de la nature (et de la vie) et de la sauvegarde des écosystèmes (même si le mot n'est pas prononcé, eu égard à la jeunesse des lecteurs), cela me semble louable et digne de remerciements envers l'auteur.
Cela dit, le dessin ne me convient pas trop. Grosse tête, bouches carrées, gros pieds... les emprunts aux mangas sont assez nets, mais il y a de meilleurs mangas dont s'inspirer. La mise en couleur me laisse de marbre car trop clinquante et manquant de nuances. Par contre, la mise en page est très audacieuse, le dessin allant jusqu'au bord de la page, qui est alors dépourvue de marge.
Enfin, point hyper positif... la BD nous a donné l'envie de nous pencher sur les romans dont la saga dessinée est issue.
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J'ai bien aimé car c'est un livre de science fiction, il y a des complots, de l'amitié. je pense que c'est un livre qui convient aux lecteurs qui aiment les histoires d'aventures fantastiques.
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Une BD d'heroic fantasy jeunesse d'assez bon niveau. Et quand je dis "jeunesse", c'est que les lecteurs doivent sans doute avoir le même âge que Braven Oc, personnage principal de la série. Environ 8-9 ans. Et je dis cela sans arrière-pensée, les jeunes lecteurs ont aussi le droit à leur héros de BD fantastique.
Braven Oc est un héros attachant, vif, intelligent, courageux, déterminé. Tout ce qu'un enfant de son âge rêve d'être.
De plus, le voilà qui doit sauver son village, et se montrer à la hauteur de la confiance que son père met en lui... Oedipe revient, on a les mêmes à la maison. Tout le village est victime d'un sortilège lancé par Thorguen, le leader des Homoplants. Les Homoplants ne sont pas des géraniums gays... mais des créatures végétales bipèdes vertes, brutales et dominatrices, qui ont le sang chaud... euh non, la sève chaude.
C'est rapide, envolé, bourré de raccourcis qu'un enfant admettra mais qu'un adulte (comme le vieux con que je suis) va avoir du mal à avaler. Idem pour le dessin et la mise en couleur qui sont très respectueux des codes "mangas djeun's"...
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En premier lieu, merci à Kennes Editions et Babelio de m'avoir procuré ce bien bel album de bande dessinée dans le cadre de l'opération Masse critique.
Braven Oc jeune berger, habile à la fronde découvre à son retour au village que tous ces habitants sont victimes d'un maléfice qui les condamnent au sommeil, immobilisé dans une prison végétale. Son père a juste le temps de lui révéler l'origine du mal : il s'agit du châtiment du seigneur Torguen, Homoplante. Ce dernier pense avoir été lésé par les villageois lors de la dernière levée des impôts. Braven jure alors qu'il ne connaîtra pas le repos avant que la malédiction ne soit levée. Rapidement il est rejoint dans sa quête par de joyeux compagnons dotés de surprenants pouvoirs rencontrés fortuitement sur la route de la cité de Torguen.
Alcante adapte, avec cet album, les aventures imaginées par le romancier Alain Ruiz. Dans un univers médiéval à la magie omniprésente, les auteurs nous proposent le récit mouvementé d'une bande de jeunes aventuriers. Drôle et rafraichissante leur quête les amène à traverser maintes épreuves, affrontements, énigmes, complots… L'action est menée tambour battant. Si certains raccourcis, la rencontre des jeunes héros est particulièrement opportune par exemple, il n'en reste pas moins qu'au bout des 48 pages que comptent l'album, une histoire, tout à fait divertissante et surtout complète, nous est livrée. Les canons de la fantasy, groupe d'aventurier, récit initiatique, malédiction sont intelligemment mis en scène. Cependant nul besoin de maîtriser sur le bout des doigts l'histoire des elfes, des nains ou encore les forces et faiblesses des dragons avant d'entamer les premières pages, l'univers est tout à fait original et le lecteur le découvre au gré des péripéties. le dessin, maîtrisé, est pour le moins actuel et mis en valeur par une très belle colorisation.
En résumé un album abouti et rafraichissant, parfaitement adapté aux plus jeunes qui, avec la manière, leur ouvrira bien grand les portes de la fantasy.
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Alain Ruiz est un auteur à succès franco-canadien. Cette seule information n'aurait pas suffi à me convaincre de lire un livre de cet auteur.
Mais, quand l'on sait qu'il est né à Perpignan, à côté de chez moi, donc, voilà qui, déjà, me donne un peu envie de le découvrir.
Sachant qu'il est l'auteur de très courts romans dans l'esprit des séries fasciculaires du début du siècle précédent de 32 pages dont je raffole, l'intérêt, en moi, grandit.
Enfin, en découvrant que les enquêtes de son personnage récurrent se déroulent sur Perpignan, voilà qui finit de me convaincre.
0.99 centime, plus tard, je me trouvais en possession de « Meurtre à la ligne », une enquête de Franck Meyer et ce, malgré la 1ère de couverture très peu engageante, qui fleure bon (ou mauvais), l'auto-édition (je m'excuse auprès de la femme de l'auteur qui est la créatrice de cette couverture).
Comme je l'ai déjà expliqué dans l'une de mes chroniques à propos d'un fascicule d'époque, l'exercice du roman policier en 32 pages est assez casse-gueule. La concision nécessaire pour respecter ce nombre de pages vous pousse souvent à commettre certaines fautes, notamment, de ne pas réussir à esquisser suffisamment les personnages pour les rendre intéressants.
Certains auteurs y parviennent en quelques mots (voir la série « Odilon Quentin » de Charles Richebourg, chez OXYMORON Éditions), et d'autres pensent y réussir en quelques chiffres, c'est le cas d'Alain Ruiz.
Car, la première chose qui saute aux yeux à la lecture de cette enquête, c'est que chaque personnage, ou presque, n'est défini que par sa taille et son âge. Erreur, puisque, jamais, un âge ou une taille ne modèle une personne.
Ne parvenant pas, alors, à donner de l'épaisseur à ses personnages, difficile de les rendre attachants ou intéressants.
Il ne reste alors qu'une possibilité de conquérir le cœur du lecteur : le style.
Mais, de style, il n'y a point.
Sachant qu'il est impossible, sur une si courte distance, de proposer une intrigue prenante, avec des personnages fades, le lecteur ne peut, alors, jamais vraiment être conquis.
Et, effectivement, malgré le fait que cette série avait tout pour m'intéresser (excepté la couverture... désolé, madame Ruiz), je n'ai jamais pu être conquis par l'histoire, par les personnages ou par la plume de l'auteur.
Au final, le fait de trouver un auteur cherchant à retrouver l'esprit des séries fasciculaires dont je suis friand m'a donné envie de découvrir une série, un personnage, une plume, mais, malheureusement, le plaisir ne fût jamais là et je ne poursuivrais pas ma découverte. Dommage.
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