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Critiques de Alessandro Tota (37)
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L'Illusion magnifique

La maîtrise des illustrations et du graphisme de L'Illusion magnifique m'a impressionnée, c'est très précis jusqu'au look des bulles qui varient en fonction du propos… le style de dessin d'Alessandro Tota change régulièrement tout en gardant une unité ! Ça fourmille de références graphiques, on a -presque- tout, la ligne claire, les trames Benday…mais en se donnant la liberté de s'affranchir des codes de la bande dessinée. C'est assez époustouflant !



On est dans les années 30, c'est l'avènement des comics, Diana Morgan/ Roberta Miller/Bob Smokela, amatrice de Pulp qu'elle dévore rêve d'écrire. Elle débarque à New York de son Kansas très pauvre pour devenir aussi connue que ses idoles…mais New York l'engloutit, elle se fait voler sa valise et se retrouve à la rue. Elle a beau essayer de taper trois fois ses talons, rien ne se passe, la magie n'opère plus…Elle n'est pas Dorothy, on n'est pas dans Le Magicien d'Oz ! Plusieurs rencontres et choix la mèneront à la création de son super héros Dogman.



C'est une bande dessinée romanesque, qui aborde plusieurs sujets politiques, comme le militantisme, le communisme, le capitalisme, les droits des travailleurs et les conditions de travail, l'homosexualité ou encore la précarité des artistes.



J'ai adoré l'idée de la machine à squelettes à voyager comme astuce narrative pour traverser le temps et la vie de la protagoniste. J'ai été très sensible aux explications et démonstrations du découpage d'un scénario en bande dessinée et l'immersion dans le monde de la bande dessinée, les anecdotes sur les éditeurs versus les malfrats, sur Bob Kane, le créateur et dessinateur de Batman, les réflexions sur un bon scénario, l'importance d'imaginer un vrai méchant pour créer de bons comics…



J'ai pris un immense plaisir à lire L'Illusion magnifique, je l'ai trouvée divertissante, passionnante, drôle, engagée et très créative !

J'ai hâte de lire le deuxième tome !



** lu dans le cadre du Grand Prix de la BD ELLE 2024

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L'Illusion magnifique

Club N°55 : BD sélectionnée

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L'illusion magnifique c'est une fiction sur l'évolution des comics Américains et l'apparition des comics books de super-héros à la fin de la grande dépression.



On y suit une jeune Dorothée de l'Arkansas que la tempête a propulsée à New York pour réaliser ses rêves d'écriture de Pulp qu'elle dévore.



Mais rencontres et vagabondages aidants, la voici scénariste de comics, avec un Italien peintre alcoolique au dessin.



Ajouté par-dessus le tissu social de l'époque et vous obtenez une BD très sympathique dont on attendra la suite avec le sourire.



Greg

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De la BD qui parle de la BD et puis d'autres choses aussi, c'est donc plaisant, je crois que je voudrais bien lire la suite !



Benoit

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Lien : https://mediatheque.lannion...
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L'Illusion magnifique

Un 1er tome très très prometteur. C est bon signe, je suis très impatiente de lire la suite.

Une BD foisonnante qui multiplie les thèmes, les genres et même les narrations. Un bon gros volume aux allures de "meuble-tiroir" ( comprenez: vous ouvrez un tiroir , vous ne savez pas ce qu il contient mais cela vous plaît, vous intrigué, vous en ouvrez un autre au hasard et celui ci vous semble complètement différent du premier, et ainsi de suite jusqu'à ce tout s entremêle sans même y prendre garde. Vous êtes ferrés à la lecture, vous en redemandez encore et encore...)

Ahhh mais quelle histoire. Une héroïne féministe, créative, sans-gêne, moderne, timide aussi. Une époque dans l âge d or des comics Books , une New York dangereuse et insouciante....on entre dans les coulisses de la BD, les magouilles de l édition, le communisme....

J ai été scotchée par le dessin. Impossible à vous décrire. Ça change tout le temps de "style".

Bravo Mr Tota!
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L'Illusion magnifique

C’est un excellent moment de lecture auquel nous invite Alessandro Tota. Le scénario, finement pensé, est incarné par des personnages à la densité romanesque. [...] Une vitalité hors du commun anime cet univers où la survie demeure une obsession quotidienne.
Lien : https://www.actuabd.com/L-Il..
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L'Illusion magnifique

j'ai lu avec un grand plaisir cette BD d'Alessandro Tota, reçue en ce début d'année suite à la masse critique "Graphique" de décembre.

J'en remercie Nicolas@Babelio et les éditions Gallimard BD.

L'action se situe dans les années 1938/1939. Le livre est un hommage aux écrivains, artistes, des débuts des "comics books". Il est plein de références au milieu créatif et interlope de ces années là, encore marquées par la Dépression, et la Prohibition, dans une ambiance à la Raymond Chandler. Une jeune fille, Diana, quitte la ferme de sa famille au Kansas pour tenter de réaliser ses rêves à New York, captivée par des revues qui lui permettait de s'évader de son quotidien misérable. Après les déboires des premiers jours, elle rencontrera Agnès, une militante communiste, qui l'hébergera et l'initiera à la politique au sein d'un journal engagé. Devenue Roberta Miller, elle fera d'autres rencontres qui la mettront sur la voie de sa vocation d'écrivaine et notamment la création de personnages et scénario pour les comics. Son imagination fertile se nourrit de ses rêves, ou cauchemars. Malgré de multiples rebondissements, trahisons et doutes, grâce à sa volonté et sa ténacité, elle connaitra finalement le succès dans un milieu férocement masculin. Outre le récit, les personnages attachants et bien campés, les dessins sont attrayants, colorés, passant de traits classiques, à ceux plus déjantés des univers fantastiques des super-héros. Une réussite.
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L'Illusion magnifique

J’avais vraiment hâte de recevoir cette BD sélectionnée dans une masse critique de Babelio et envoyée par les éditions Gallimard. La couverture et le quatrième de couv m’avait intriqué avec ce personnage derrière sa machine à écrire rappelant Vera dans Scoubidou. La promesse était belle, Allessandro Tota allait nous plonger dans le New-York des années 30, dans les pas des créateurs des premiers comics books.



Nous suivons la jeune Diana Morgan, alias Roberta Miller, alias Bob Smoke, venue de son très pauvre Kansas natal dans la grosse pomme pour devenir écrivaine comme ses idoles qu’elle lisait en cachette.

Mais New-York n’est pas le paradis imaginé. Elle s’en rend compte dès les premières minutes dans la grande ville. Elle se fait voler sa valise et se retrouve sans rien, à la rue.

Elle va alors faire une rencontre importante, une jeune militante communiste qui l’accueille dans son salon, lui donne une culture politique et l’introduit dans divers lieux.

Elle ne perd jamais son rêve de vue et finira par écrire des nouvelles non publiées sur la machine à écrire d’un journal communiste où elle n’est pas payée et surtout elle va devenir scénariste de comics avec son super héros Dogman.



Le livre est truffé de clins d’œil et de références, on y croise aussi bien des gangsters italiens à la Al Capone, Bob Kane le créateur de Batman ou des artistes se voulant à l’avant-garde.



On y voit le New-York des années 30 avec les traces de la prohibition, les effets de la grande crise de 29 et les prémices de la guerre en Europe. Une période trouble où les communistes pensent que le capitalisme est arrivé à son terme, où d’autres pensent toujours que l’argent doit toujours plus règlementer les choses.



Les personnages créés par Allessandro Tota sont marquants (positivement ou négativement).



Esthétiquement, c’est un très bel ouvrage avec notamment un travail sur la couleur que j’ai beaucoup aimé.

Il y a selon mon ressenti, plusieurs types de traits avec des pages assez classiques et des scènes ou des personnages plus cartoon ou comics. Et puis, il y a ce mélange de réel et d’hypnotique, d’imaginaire qui nous plonge dans les pensées du personnage principal.



C’est très rythmé et j’ai passé un très beau moment de lecture avec ce livre. J’ai hâte que le prochain volume sorte pour voir quelles nouvelles aventures attendent Roberta Miller.

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L'Illusion magnifique

📚Roberta Miller est une jeune américaine de la fin des années 30, lassée de sa vie de campagnarde dans le Kansas. Après avoir découvert le monde merveilleux des illustrés, elle tente sa chance à New York city pour devenir scénariste de comic books. Les débuts sont difficiles mais sa rencontre avec Agnès l'amène à côtoyer le parti communiste. Une étape charnière qui l'amènera à la création de l'héroïque Dogman.



🖊L'illusion magnifique d'Alessandro Tota sera donc mon dernier coup de coeur de l'année 2023, en ce début 2024. D'un richesse complètement folle, le récit, à travers le parcours de Roberta, traite de communisme et de féminisme (entre autres) en plein âge d'or du comic books. L'auteur y décrit à merveille l'effervescence d'une époque insouciante à l'aube de la seconde guerre mondiale, tout en nous dévoilant les coulisses de la bd américaine. Une oeuvre foisonnante avec un graphisme rond et inventif et une écriture parfaitement dosée.



🧔chronique complète :
Lien : https://www.mtebc.fr/lillusi..
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L'Illusion magnifique

Puisant autant du côté d’Hollywood que de la comédie dramatique italienne, Tota tisse une fresque sociale très documentée qui souligne les zones de friction éternelles entre art et industrie culturelle.
Lien : https://www.lemonde.fr/livre..
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L'Illusion magnifique

Passionnant, touchant et particulièrement bien écrit, 'New York, 1938', le premier livre de 'L’illusion magnifique' est une réussite totale dotée ce petit supplément d’âme qui fait la différence. Vivement la suite !
Lien : https://www.bdgest.com/chron..
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L'Illusion magnifique

Fresque historique et politique, hommage à la naissance des comics, roman d’apprentissage et d’émancipation, "L’Illusion magnifique" est un peu tout cela à la fois, et c’est ce qui rend ce projet si emballant.
Lien : http://www.bodoi.info/lillus..
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Charles

Le genre de bd qui ne me plait pas du tout. Pourtant, l'idée avait l'air intéressante que de ressusciter Charles Baudelaire, un poète maudit du XIXème siècle que j'affectionne particulièrement pour ses fleurs du mal. le voilà assis sur un banc à déblatérer avec la jeunesse punk italienne entre deux prises de drogue.



Certes, il y a les postures anti-conformiste, les envolées lyriques, les sentences d'un poète désabusé. L'oeuvre ne m'a pas du tout convaincu et c'est ainsi. L'auteur des Fleurs du mal doit se retourner dans sa tombe...
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Terre d'accueil

Nous avons une sorte de Barbapapa rose bonbon qui essaye d'intégrer un pays comme la France. Il s'installe dans la capitale et va tomber amoureux d'une femme. Cela ne sera pas facile dans son travail ainsi que dans la rue où le racisme est ambiant.



La trouvaille de l'auteur est de voir se confronter un personnage difforme qui pourrait sortir d'un dessin animée avec de vrais gens ordinaires. L'accent est tout de suite mis sur la différence qui va être le vecteur de toutes les haines et les rancoeurs. Le portrait de cette société est souvent malheureusement juste.



J'ai trouvé la fin un peu triste même si elle ne l'est pas forcément dans l'esprit de l'auteur. Une oeuvre sur l'insertion difficile des étrangers n'est pas aussi commune. A découvrir si l'on souhaite approfondir le sujet.
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Charles

Charles..Ou encore une lecture "prix des lycéen" que ma môme a ramené et qu'elle m'en fait profiter.. la garce!



Ohé Ohé la bd abandonnée.... la bd qui me fait gerber... sur l'air de capitaine abandonné.. Si..

Alors on est bien dans la pseudo intello à la con...

Moche chiante pas drôle et qui donne une image de merde de Baudelaire..

Baudelaire c'est juste un gros drogué punk.... ah... c'est tout? .. aucune idée.. j'ai eu la réaction physique de rejet en arrivant à la fin de la première histoire.. avec la gerbe vous voyez.. tout qui refuse, tout..

Mon cerveau

Mon physique

Tout, envie de la jeter en travers de mon salon entre la rage et la nausée!

Alors c'est ça les bds proposées par la sacro sainte éducation nationale pour le prix des lycéens?.. trois à mon actif et trois daubes.. assez nazes..

aucune place à l'imaginaire jamais.. Aucune place au rêve.. juste la merde et la grosse merde de l'humanité...



Et quand jai rendu la bd à ma gamine en lui disant

"tiens j'te le rends, j'ai pas pu allez au bout"

"moi je l'ai lu jusqu'au bout..." moi mode impressionné wahhh.. et ma môme reprenant " putain j'ai détesté, ultra chiant! niveau dessins c'est abominable, même son aquarelle est moche"

Et là je l'ai regardée genre pauvre gosse...

Jamais beau, jamais plein de couleurs, jamais de beau dessins, jamais.. faut le "graaaphisme different"

je vous emmerde avec votre graaaphisme à la con!

faut du monochrome, ou alors de l'aquarelle deux teintes pas plus.. Pourquoi? Pourquoi pas de couleurs? jamais...

Un jamais beau... jamais jubilatoire, jamais plaisir.. jamais..

Juste le truc ultra chiant, où t'es obligé d'apprendre des trucs.. comme si tu pouvais pas apprendre de trucs avec l'imaginaire... Et puis quoi ça serait dangereux que les mômes rêvent, ça les fait chier?...

Où les messages véhiculés sont à côté de la plaque où alors bien comme il faut, bien dans la case...

Et là j'ai envie de mordre..
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Le voleur de livres

A la fois léger et prenant, Le Voleur de livre nous fait pénétrer dans le Paris des années 50, un Paris de littérature et d'existentialisme, existentialisme qui est au coeur de la réflexion de Daniel Brodin, jeune poète, dont la vie semble basculer de celle de fils à papa à celle de vagabond. Ses rencontres avec Gilles, Jean-Michel, Ed, Colette et d'autres encore l'influenceront vers une vie de débauche. Mais il semble que cette débauche même voire la délinquance, soient une source d'inspiration littéraire excellente...
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Charles

Baudelaire qui débarque à notre époque, je trouvais l'idée sympa au départ mais je n'ai pas du tout adhéré à cette bd. Je n'ai pas aimé le dessin et je n'ai pas réussi à entrer dans cet univers. Je ne l’ai pas terminée. Tant pis...
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Charles

Le dessin répétitif, raccord mais ordinaire, n’est sans doute pas l’atout de la BD. On garde en bouche plutôt ce qu’elle dégage. Le goût doux-amer des illusions perdues, sans sacrifier la joie qu’elles procurent. Le spleen qui rend heureux et l’ivresse partagée.
Lien : http://www.bodoi.info/charles/
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Terre d'accueil

Ça avait plutôt bien commencé. Le thème était porteur et l'allure métaphorique du Yéti et de son monde était une bonne idée. Il y avait quelques références discrètement placées assez rigolotes à chercher. Oui mais..

Je n'adhère pas du tout aux illustrations d'Alessandro Tota. Ça me pique les yeux. Les décors passent encore mais les personnages sont laids - d'après mon baromètre personnel. Mais ce qui m'a le plus déçue dans cette bande-dessinée, c'est ce qui est raconté. On nous vend ça comme une énième bande-dessinée sur l'immigration et on se retrouve à survoler le sujet pour une bête histoire d'amour/d'attirance physique. C'est chiant et pas vraiment pertinent. Pour évoquer l'immigration, j'ai lu beaucoup mieux.
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Palacinche : Histoire d'une exilée

L'auteur retrace le parcours d'exilée de sa maman dans cette bande-dessinée autobiographique mêlant photographies et dessins. Elle refait le parcours à l'envers avec son compagnon, du camp de réfugiés à la ville de Fiume - maintenant appelée Rijeka car devenu croate.



Je ne suis pas fan des graphismes. Par contre j'aime l'idée d'ajouter des photographies dans un récit personnel. Ça apporte du concret, ça nous permet de mettre des visages sur des noms et d'humaniser l'histoire.

C'est toujours assez touchant de connaître le parcours de quelqu'un. L'exil, la migration d'un pays à un autre, sont des vécus qui sont bien plus communs que ce que l'on pourrait penser. Je n'ai pas forcément été émue par cette histoire mais je l'ai trouvée attendrissante dans la démarche.
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Le voleur de livres

Histoire somme toute assez banale. Des petits bourgeois qui veulent s'émanciper de leur milieu, les enjeux des maisons d'éditions, et les mondes différents qui se croisent (mafia, intellectuels, communistes, ouvriers, artistes)

Ce qui m'a particulièrement gênée c'est Jean-Michel sous les traits de Depardieu.
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Le voleur de livres

Paris, années 50. Saint-Germain-des-Prés bouillonne. Sartre plane sur l'intelligensia de la capitale. Il "faut" poser, s'imposer, snobber les bourgeois et connaître par coeur le système, afin de mieux pouvoir s'en servir pour devenir un artiste "reconnu". Donc, publier dans les Temps Modernes, LA revue où il faut être.



Le "héros", quasi involontaire, c'est Daniel Brodin. Tout part d'un quiproquo. Sous l'effet d'une pusion incontrôlable, inexplicable, il se pose en jeune poète inexpérimenté... puis, au lieu de réciter un de ses poèmes, il récite celui d'un auteur -par chance- inconnu du public d'esthètes snobinards devant lui.



Puis il se lie d'amitié avec de jeunes artistes extrêmes, dont le seul mobile consiste à produire des happenings dérangeant leurs aînés dans de somptueux cocktails organisés par Gallimard.



Tout finira par dégringoler, et seule la fuite par les Pyrénées sera envisageable... tout en cultivant l'ambition de devenir un auteur célèbre un jour...



Le scenario est accrocheur. Les personnages bien rendus. Les situations de jeunes désoeuvrés de 20 ans bien décrites, avec réalisme. Les années 50 bien documentées. Côté dessin, et ce n'est sans doute pas fortuit, le méchant garçon a un air à la Depardieu...



Le dessin en noir et blanc sur fond blanc reste très digeste, tout en donnant un cachet "vintage" au récit. La bouille de Brodin, tout à fait quelconque, fait mouche. Les visages suintent l'ennui d'une génération. C'est bien vu. Oisiveté est mère de tous les vices... la preuve en 176 pages.
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