Alex Türk

Que d'excellentes lectures qui se suivent mais… ne se ressemblent pas! Avec ce titre j'ai été subjuguée par l'écriture, et je remercie Sylvie qui me l'a offert il y a quelques mois. C'était la découverte de l'auteur par la même occasion. Un mélange de pur thriller et d'humour noir et sarcastique. Un vrai bijou de lecture.



"Nous avons reçu un appel du commissariat de Montparnasse. Ils viennent de trouver le cadavre d'une jeune femme, dans les vingt-cinq ans, au fond du local à poubelles d'une immeuble de la rue Victor-Schoelcher, côté rue Froidevaux, juste à côté du cimetière…"



Le commissaire Coblenz, qui dirige le groupe d'intervention de la PJ spécialisé dans les crimes en série va être mis à partie dans cette série de meurtres. Un tueur au tournevis sévie à plusieurs reprises dans des lieux incongrus et d'une façon de tuer assez surprenante.



"Du beau travail, il n'y a pas de doute, vous êtes tombés sur un artisan, un vrai, à l'ancienne. Le tour de main, quoi, genre premier ouvrier de France en crevage d'oreille…"



Outre l'histoire en elle-même il y a dans l'écriture et la manière de présenter les faits un humour noir sublimé par les mots que j'ai grandement apprécié. C'est en partie dans les réflexions intérieures de Coblenz et les réparties de quelques-uns de ses collègues que nous partons en dehors de l'histoire, gambader ailleurs, comme si l'auteur était sorti de son texte et visualisait une scène extérieure. J'ai beaucoup aimé cette construction de texte, la partie thriller est très sympa aussi, macabre à souhait, pour ceux qui apprécient ce genre.



"Je me rends, comme en flânant, longeant la Seine, au Quai des Orfèvres, et, bizarrement, je me sens joyeux comme un taureau qui gambade vers le haut du pré, dans l'air bleuté du matin clair, retenant l'instant sublime de déposer sa première bouse dans l'herbe nappée de rosée…"



Je crois que l'auteur en est à son troisième roman et franchement je vous invite à lire celui-ci. Encore un beau "coup de cœur".


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Le point sur les systèmes de surveillance et l’impact de ces technologies sur la société et la vie quotidienne des citoyens.
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Coucou bonjour les amis lecteurs , me voici avec un nouveau livre : Angles morts de Alex Turk des éditions de la Martinière.

Je remercie NetGalley ainsi que les éditions de la Martinière de m'avoir permis de lire ce policier qui ma plu , l' auteur a une belle plume facile a lire , du rythmes et du suspens jusqu' a la fin de ce policier , de bons dialogues a ses personnages .

Cela se passe en France a Paris et a Lille , se sont deux grand policiers Charlus Van Ronqueghem de Lille patron de la brigade criminelle et le commissaire divisionnaire d'intervention et de recherches des crimes de Paris , ils partagent une grande amitié depuis une vingtaines d' années, ils ont en commun le gout de crimes ou affaire très grave et tortueuses ainsi qu'un appétit qu'ils vont immédiatement satisfaire autour de bons petits plats .

Puis un jour Dominique décide d'aller voir son ami Charlus qui est heureux de faire découvrir sa ville qu' il aime tant .

Mais hélas ils vont être rattraper par leur métier, on a retrouver une femme égorgée dans un parking Paris et un nouveau cadavre retrouver dans la Deûle pour Charlus .

Donc Dominique doit repartir au plus vite a Paris pour essayer de résoudre cette affaire ainsi que Charlus de son coté .

Ils vont tacher de s'entraider l' un l'autre , y a t' il un lien entre ses deux affaires ?.

Le commissaire divisionnaire Dominique est un homme qui furète partout même dans les coins, les cul de sac..

Réussira t'il a élucider cette affaire ainsi que son ami Charlus de son coté ?

Peut être y a t'il un lien entre ces deux affaires ?

J'ai vraiment aimer cette histoire car il y a une grande amitié entre les deux policiers qui est extraordinaire .

Je vous le recommande vivement , il y règne un climat d'une grande amitié entre deux grand policiers , je vous souhaite une bonne lecture et un agréable moment .

Ma note :4/5

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Pfiou...

Pendant les premiers 81% du livre (et je le sais car je l'ai lu sur liseuse), il ne se passe rien, enfin si, il y a des crimes. Nous suivons l'enquête et tout ce qui en ressort c'est qu'à chaque meurtres, ils ne trouvent rien et ils attendent le suivant pour avancer, sauf qu'au suivant... Donc nous avons beaucoup de bulletins météo sur la couleur du ciel, de détails sur leurs repas et sur ce qu'ils boivent, mais pas de suspect en vu. Par contre dans les derniers 19%, ils découvrent le pourquoi du comment, le tueur et le moyen de stopper ces agressions.

Bref, l'histoire est pas forcément bien tournée et le suspens mal amené.

Bien sûr ceci n'est que mon avis perso.

Livre reçu dans le cadre d'une Masse Critique. Merci donc à Babelio et La Martinière



Je suis adepte des romans policiers bien corsés, Thilliez et Chattam en tête de liste. Je me laisse généralement porter par l'intrigue, sans vraiment chercher à dénouer l'intrigue plus vite que le récit. Avec Angles morts, c'est la première fois que je comprends aussi rapidement le fin mot de l'histoire. Pas un bon signe...



L'effet pervers étant ensuite que tout parait très long. Les tergiversations des personnages, les fausses pistes, les interrogatoires... Si je n'avais pas reçu ce livre dans une masse critique, j'aurai abandonné la lecture à la moitié du roman.



Je n'ai pas pu compter sur les personnages pour rattraper ma lecture. N'ayant pas lu le premier roman d'Alex Türk, je n'avais aucun attachement au personnage principal. Quant aux personnages secondaires, ils sont justement très secondaires. Certes, ne pas s'attarder sur le portrait des personnages peut être un avantage dans un roman policier, permettant de privilégier l'action. Mais ici, ils n'ont vraiment aucune ampleur.



Enfin, est-ce encore nécessaire d'appuyer à ce point la description des personnages féminins par leurs formes corporelles ? Les rares descriptions de personnages concernent les femmes, et avant tout pour préciser si elles sont grosses ou minces, avec une poitrine généreuse et si elles sont belles aux yeux des hommes. Sans faire de chaque roman un pamphlet féministe, certains passages du roman sont franchement lourdingues.

Des séries de crimes se déroulent dans deux lieux différents : le canal de la Deûle à Lille et sur les bords de la Seine à Paris. Ces deux enquêtes n'ont aucun lien apparent et sont menées par Charlus Van Roncqueghem, patron de la brigade criminelle lilloise et Dominique Coblenz, son homologue parisien. Ils sont bons vivants et partagent une amitié depuis plus de 20 ans.

Les enquêteurs vont associer leurs méthodes dans leurs affaires respectives que tout oppose et pourtant...



L'histoire se met assez vite en place. Il y a une certaine dynamique.

Je trouve que ce roman est une réussite car mener une enquête tout au long d'un livre n'est pas chose aisée mais en mener deux de front sans perdre le lecteur et en réservant des retournements de situation et des rebondissements sur la fin, c'est fort.

De plus 302 pages, c'est un roman relativement court pour relater deux enquêtes jusqu'à leurs dénouements.

Je vous le conseille.

Le point sur les systèmes de surveillance et l’impact de ces technologies sur la société et la vie quotidienne des citoyens.
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Charlus Van Roncqueghem, patron de la brigade criminelle à Lille, et le commissaire divisionnaire Dominique Coblenz, du groupe d’intervention et de recherche des crimes sériels de Paris, sont amis depuis de longues années. Alors que Dominique passe un séjour chez Charlus, les deux hommes sont rattrapés par leur travail : une femme égorgée dans un parking à Paris et un nouveau cadavre retrouvé dans la Deûle. Les modes opératoires sont différents mais peut-être qu'un lien existe entre ces deux affaires... Nous sommes sur des enquêtes policières "à l'ancienne", les policiers prennent le temps de fureter, d'interroger, de "flâner" et de discuter. J'ai cependant été peu touchée par les personnages qui me semblaient un peu "clichés" avec leur amitié virile faite de bons verres de vin et de bons repas... L'intrigue est bien menée malgré quelques longueurs dans le récit. Un roman policier de bonne facture même s'il ne me laissera pas un grand souvenir, je pense... #AnglesmortsAlexTurkpolarromanpolicierFICHE #NetGalleyFrance

Tout d’abord je remercie Babelio, d’avoir pu me faire découvrir ce roman et surtout l’auteur que je ne connaissais pas.

Je suis la première à écrire une chronique sur cet écrit, sur le site et je dois avouer que c’est une petite touche de stress.



Le résumé avait tout pour me plaire : des meurtres sanglants ou étrangement réalisés, deux enquêtes, deux villes différentes… Ça me semblait le combo parfait.



Le roman débute avec deux articles de journaux. Le premier, sur l’explication des crimes sériels, en interviewant Dominique Coblenz, le narrateur de l’histoire justement, et le deuxième, un article sur les morts étranges de la Deûle, à Lille. Original !



L’histoire commence après cela et j’ai été assez déroutée de ne pas comprendre au début qui racontait. Beaucoup de noms de flics cités dès le début, il a fallut que je me concentre un moment avant de m’imprégner de l’histoire.



Sur le fond, j’ai adoré le récit, ou du moins les éléments qui caractérisent le livre.



Sur la forme… il m’a manqué tellement de choses.



Je n’ai pas réussi à m’attacher aux personnages, du moins à Dominique, puisqu’il est le principal. Je n’ai pas créée de lien particulier avec lui.

J’ai eu l’impression qu’il écrivait les notes de son parcours sur son enquête mais sans sensation… enfin, je n'ai pas ressenti la course contre la montre, l'adrénaline etc.



Alors oui, il a eu l’instinct que les morts n’étaient pas normales, que c’était toutes les personnes concernées dans une affaire qui mourraient accidentellement ?… Je ne comprends même pas pourquoi il n’y a que lui qui a trouvé ça alarmant !



Il m’a manqué le suspense, l’envie d’en savoir plus, de vouloir tourner les pages encore et encore…



Le clap de fin n’a pas révélé un ressenti différent malheureusement…

C’est un flop, mais au plaisir de recommencer l’expérience.

« Tour de vice » d’Alex Türk met en scène le groupe d’intervention de la PJ spécialisé dans les crimes en série dirigé par le commissaire divisionnaire Coblenz. Ce groupe est appelé sur une scène de crime : une jeune femme a été tuée par un tournevis planté dans l’oreille gauche. S’ensuit une enquête classique



Il y a très peu d’action et le rythme est lent. Pour autant, ce polar m’a bien plu. Comment mettre la main sur un tueur en série qui laisse très peu de trace et, au premier abord, aucun lien ne relie les victimes. On suit les tergiversations de l’équipe, les coups de mous et les coups d’adrénaline qui pour la plupart mènent vers des culs de sac. Grâce à une écriture fluide, nous vivons le quotidien de ce groupe d’intervention. La fin est prévisible.



Une lecture agréable qui a fait son boulot.

On a eu un sentiment d'inachevé en fermant ce livre. Pourtant, le pitch est alléchant: deux affaires qui, sur le papier, ne sont pas liées et qui pourtant, vont s'entremêler. En réalité, ce roman est la suite du livre Tour de Vice, paru en 2016. Quand il se termine, on sent qu'une suite semble se profiler. Affaire à suivre ?

J'ai trouver le rythme vraiment trop long et malgré le style de meurtre "original" j'ai vite compris que ce n'est pas n'importe quel personnage qui pouvait faire ce style de meurtre parfait.

Je n'ai pas accrocher avec la plume en plus du fait qu'il y ai de nombreuses fautes d'orthographes.

Avant tout, merci à netgalley et la martinière pour ce service presse !



J´avais envie de découvrir de nouveaux auteurs et le résumé me bottait pas mal !



J´ai débuté ce livre confiante.. et cela a été la debandade au fur et à mesure... c'est lent à mourir.



on va surtout y suivre Dominique, enquêteur au quai des orfèvres qui va suspecter un Serial killer dans une affaire qui relie plusieurs personnes à une catastrophe qui se déroule près de Lille. il va donc enquêter en collaboration avec un enquêteur et ami lillois, Charlus.



Dominique est peu attachant, peu développé.. à part ses enquêtes et deux trois détails, on ne sait rien sur ce personnage principal.



Après avoir lu 300 pages de "force", je n'avais aucune envie de retourner à ma lecture, jai fini par abandonner à 20% de la fin ..

On est face à un auteur qui a une tête bien remplie de diverses connaissances, ce qui rend l'histoire intéressante à lire. Cependant, j'aurais aimé que ce soit encore plus centrée sur l'enquête en elle-même.

Je ne sais pas trop quoi dire de ce thriller.... Je m'attendais à plus, plus d'action, plus de rebondissements, plus d'émotions....

Le roman met en scène une équipe d'intervention du 36 quai des orfèvres spécialisé dans les tueurs en séries.

Durant les trois quart du roman il ne se passe quasiment rien, l'enquête est au point mort, plusieurs nouveaux meurtres sont commis mais aucun indices permets d'avancer. Ensuite arrive le dernier quart et la miracle, les enquêteurs découvrent le mobile du tueur, son mode opératoire exacte et même son identité.

Bref toutes les révélations nous tombe dessus telle une avalanche et la roman se termine.

Alors oui on a des descriptions terriblement détaillées de la météo (beaucoup de nuages sur Paris), de leurs alimentations (si, si le rhum est excellent pour la santé) et des différents enquêteurs de l'équipe (messieurs non pas beaucoup de chances côté coeur). Enfin vous l'aurez compris je n'ai pas franchement adoré ma lecture et je ne pense pas lire d'autres romans de cet auteur.

nn