Alexandra Belinda

Alors que la couverture du livre publié par France Loisirs ne présageait rien de bon, ça a été une très bonne découverte, une fois les cinquante premières pages passées. Le style est très agréable et l'histoire dans l'Histoire émouvante. Ce livre m'a vraiment tenu en haleine et je voulais absolument savoir la suite. Malgré mes appréhensions, ce n'est absolument pas à l'eau de rose et permet de découvrir un pan de l'Histoire méconnu en Europe. Alors, j'espère que d'autres lecteurs se laisseront tenter par le parcours d'Anya suite à sa séparation d'avec sa mère à travers l'Asie puis l'Australie et enfin la Russie. De plus, les personnages secondaires sont très intéressants pour la plupart.

Ce roman nous plonge dans le monde très dur de l'immigration, encore d'actualité.

Anya a des parents d'origine russe, vivant en Chine, l'histoire commence pendant la guerre de 39/45, la Chine est envahit par les japonnais, alliés des Allemands. C'est une partie de l'histoire de cette guerre que que je connais le moins ; ce n'est pas un roman historique, mais le récit de d'une mère et d'une fille que cette guerre a séparé.

Nous suivons Anya de Chine à l'Autralie, elle vit dans l'espoir de revoir sa mère, elle va se marier, elle va être trahit par son entourage ; elle partira pour l'australie plutôt que l'Amérique par amitié... ; une histoire très interessante à lire, fait de belles rencontres.

Ce livre trainait depuis très longtemps dans ma biblio, je ne me rapelle plus de son achat, le challenge " Old book" m'a donné l'occasion de le lire et de passer un agréable moment.

Suzanne , une tranche de vie de 1920 à 1945 entre la Provence et Paris. L'amour des siens et de sa région natale, puis le succès à Paris et enfin le combat pour la liberté. Un beau livre, émouvant.

les 2 premières parties du livre sont dédiées à l'ascension de Suzanne vers le succès. elle reste honnête et droite , fidèle à son éducation en toute circonstance. les autres ont même tendance à profiter de sa naïveté de provinciale.

la 2nde partie se termine sur une scène déchirante qui nous fait monter les larmes!

et enfin la 3ème partie est un véritable bijou qui va de rebondissements en rebondissements, le rythme est intense, il ne se calmera que sur les dernières phrases du roman!!!



un très beau livre!

Très bon livre. Divertissant et qui fait voyager la lectrice que je suis. On suit avec intérêt la vie d' Anya aux quatre coins du monde. Roman distrayant.

Anya, petite fille russe exilée en Chine, a treize ans lorsque sa vie bascule dans l'horreur : son père, ex-officier du tsar, meurt accidentellement, tandis que sa mère est déportée en URSS. Anya est sauvée de justesse par des voisins, qui l'envoient à Shanghai, chez leur ami Sergei, un propriétaire de night-clubs.

Sergei est bon et généreux, mais il est aussi opiomane ; Amelia, son épouse américaine, fait preuve d'une grande hostilité envers la jeune fille. Malgré cela, Anya découvre le luxe, la vie facile, et l'amour en la personne de Dimitri, à qui elle se donne corps et âme.

Hélas ! l'amour connaît bien des tourments, et Anya va découvrir le goût amer de la trahison...

On lit ce roman comme on regarde un bon téléfilm, pour se distraire sans trop faire travailler nos neurones.

Un doux parfum de lavande ! Un roman plus que spécial. Suzanne une jeune demoiselle très courageuse! Avec ses propres efforts et sa volonté elle est partie de rien pour devenir une célébrité appréciée de tous ! La 3e partie de ce roman a été pour moi remplie d’émotions. Merci à Belinda Alexandra pour cette belle histoire.

Une histoire rondement menée sur fond de guerre sino-japonaise.

un roman qui se lit très vite mais ma foi le fond historique est intéressant.



Le personnage principal est une fille, puis femme, tout à fait captivante et pleine de ressources. On suit ses aventures de de la Chine à l'Australie entre 1944 et la fin des années cinquante.

Superbe roman comme je les aime.



J'ai beaucoup aimé le style de l'auteur, le rythme de l'histoire. Je me suis attachée aux personnages, même aux moins aimables…

Rien ne sera facile pour Anya, mais malgré tous les rebondissements de sa vie, on la sent souriante, volontaire et dynamique. Ce dynamisme donne un rythme exaltant au roman de sorte que le refermer avant la fin est un supplice.



Ce roman m'a fait penser à ceux de Paullina Simons : "Tatiana", "Tatiana et Alexandre". Ce sont des livres que l'on a envie de dévorer en sachant qu'ils vont nous manquer une fois finis. Leurs histoires sont bien ficelées, prenantes. On rencontre toutes sortes de sentiments et tous sont crédibles.



Se livre est donc mon dernier coup de cœur de 2007.

L’histoire d’une jeune fille russe de 13 ans, Anya, issue d’une famille de Russes blancs vivant en Chine, à Harbin en Mandchourie occupée par les Japonais, en 1944. Son père meurt dans un accident de voiture et sa mère est obligée d’héberger un général japonais. En 1945, les Soviétiques occupent la région et sa mère est déportée vers l’URSS. Des amis russes la font voyager jusqu’à Shanghai, où elle est recueillie par un autre Russe qui tient un nightclub et qui est aussi opiomane.

A la suite de la victoire des communistes en 1949, elle doit fuir vers les Philippines, sur l’île de Tubabao, où les conditions de vie sont difficiles, puis elle choisit comme pays d’accueil l’Australie. Là-bas elle connaîtra le camp de transit, le mépris envers tout ce qui n’est pas d’origine britannique, mais réussira à se faire une place dans la société, avec d’autres exilés russes, en tant que « nouvelle Australienne ». Malgré tous ces changements, elle n’aura de cesse de rechercher sa mère dont elle n’a aucune nouvelle.



Un roman bien écrit, prenant – à la fin de chaque chapitre l’on a hâte de connaître la suite - , et qui narre fort bien les péripéties de ces Russes exilés en Chine après la Révolution de 1917.

L’histoire se déroule sur plus de 20 ans, des 13 ans de l’héroïne jusqu’à ses 36 ans : la vie à Shanghai la cosmopolite est très bien montrée, comme la vie à Sydney dans les années cinquante.

J’ai été marquée par les quelques scènes, heureusement peu nombreuses dans le livre, extrêmement violentes qui décrivent les exactions japonaises. Les personnages secondaires sont intéressants, même si certains – les rédactrices au journal, par exemple- sont juste esquissés, et de ce point de vue, l'oeuvre manque parfois de profondeur. La fin du livre est très romanesque et m'a paru moins crédible.

Lu en Septembre 2020

Au vu de la couverture on pourrait croire à un roman à l'eau de rose ... pas du tout!

J'ai aimé cette histoire dans l'Histoire. J'en ai appris un peu plus sur ces familles nobles russes exilées et désargentées, renvoyées de pays en pays.

J'ai été emportée jusqu'à la dernière page. Les personnages sont attachants et l'intrigue bien menée, on ne voit pas passer les 500 et quelques pages!



Instagram: visionbykri

Alexandra Belinda

Un doux parfum de lavande

Un livre énorme, mais comme je les aime, un livre d’histoire où l’auteur y a greffé des personnages imaginaires et pourtant ils auraient pu y vivre réellement sous d’autres nom.

L’histoire se situe avant guerre, près de Grasse une ferme qui produit de l’essence de lavande pour les parfumeries. Et là une petite jeune fille qui rêve de danser et de chanter. Elle va voir la nuit le cabaret de la ville, puis pour finir, elle a droit à y entrer et chanter quelques phrases.4sous l’égide de la première meneuse de revue, elle accepte de partir la suivre à Paris, elle avance doucement tout en restant digne contrairement à son amie qui vit d’expédients et d’hommes riches. Elle travaille sans relâche, vit dans des mansardes pourries mais elle veut, elle en veut.

Elle va avec son impresario un temps à Berlin mais là on sent déjà qu’il se passe quelque chose, on y détruit déjà les juifs, on réfute les étrangers.

De retour en France, elle poursuit sa lancée, Alcazar, Alhambra, Moulin Rouge etc…

Elle assiste à Joséphine Baker et Mistinguett qui se livre une bagarre sans merci. Mais la guerre est là.

Elle va alors entendre la voie de l’Angleterre du General de Gaulle, voir les privations et les exactions faites par l’armée d’occupation et va jouir de son statut d’artiste pour faire passer des réfugier en zone libre sous prétexte que l’un est son impresario, l’autre son habilleuse, etc…

L’homme qu’elle avait rencontré et dont elle est tombée amoureuse est un maquisards et la conseille. Mais dans les rafles et autres du moment, il disparait. Elle tente de rentrer chez elle en Provence pour s’apercevoir que ses parents, à qui elle envoyait des réfugiés étant donné que ce petit village était vraiment à l’écart, ils ne sont plus là on a fusillé tout le monde devant la ferme.

Et toute sa jeunesse lui revient, et ce pays aux senteurs de lavande lui demande de rester et de sortir de cet enfer de la guerre qui se termine lentement, une ferme à la mémoire de ses parents et de tous ceux qu’elle avait aidés

Mais tout le livre du début à la fin retrace avec lieu et dates toutes la période avant, pendant et après guerre, ce qui est fort intéressant car c’est par le milieu artistique que toutes ces choses sont vue.

J'ai lu les 40ères pages de cette histoire entre la Chine, le Japon et la Russie vue par une jeune fille de 13 ans, mais je n'ai pas du tout adhéré et accroché au style.

J'en suis restée là...

Anya, petite fille russe exilée en Chine est déportée par les soviétiques aux Philippines et finalement aboutit en Australie. Vie, peine, recherches se mêlent dans une période de l'histoire que je ne connaissais pas

Une très belle histoire d'une jeune fille partie de rien et à qui le succès arrive

Excellent livre comme d'habitude. L'auteur sait nous faire voyager: de Prague à l' Australie. tous les ingrédients d'un bon livre y sont:

histoire bien ficelée, magnifiques paysages, amour, amitié, suspens, rebondissement, amour de la nature. Ce que je peux simplement reprocher, serait les détails donnés trop importants sur l'industrie cinématrographique.

Un très bon livre!!!