Citations de Alix Parks (35)
Le rire pour chasser les larmes, la joie pour éliminer la tristesse, la douceur à la place de la colère. Toujours.
– Vous pratiquez quel sport habituellement ?
« Marathon de séries sur canapé », ça compte ?
– Un peu de course ?
Je t'apprécie tout le temps, aussi bien avec des larmes qu'avec un sourire. Je t'apprécie que tu sois sage ou sauvage, que tu te montres docile ou rebelle. Je crois que je finis même par apprécier ton désordre. Ne t'excuse jamais d'ếtre toi.
Un bout de nature, même tout petit, adoucit les esprits les plus töurmentés.
— Je parie que tu tomberais raide dingue de moi la première, je susurre en me rapprochant d’elle.
— Un petit conseil ne parie pas avec moi. Je ne perds jamais.
Il a dû être un adolescent passionnant. J’aurais bien aimé le connaître il y a dix ans. L’image de Tom se superpose à celle de mon boss. Ado, ce dernier ressemblait sans doute à mon ex-petit ami : charmeur, drôle, inattendu, passionnant… et infidèle. Sortant avec une fille et sa meilleure amie dans la foulée. Un type pas fréquentable.
Ça m’apprendra. Dernière fois que je troque ma liberté contre une histoire d’amour. Je ne dépendrai plus jamais de personne, foi de moi.
Rien de tel que le boulot pour chasser les idées noires.
Sans prêter attention à ce que je lui raconte, il scrute mon visage, ses yeux interrogent les miens. Ce n’est pas le moment, mais je repense à la photo et au délire d’Emma. Comme si mon corps avait décidé d’agir n’importe comment, mon pouls s’affole sous l’intensité de son regard, mon ventre se noue et le rouge me monte immédiatement aux joues. C’était quoi ma réflexion hier ?
Noël est une des périodes que je préfère, celle où on peut sentir l’amour des siens nous envelopper comme une couverture moelleuse. Celle où on peut leur rendre un peu de cet amour par des petites attentions. Je me réjouis déjà de leur dénicher le cadeau parfait.
Quelle conne de ne pas apprécier à sa juste valeur ce physique à tomber. Plutôt crever que lui dire, mais sa barbe naissante le rend encore plus attirant que d’habitude. Comment peut-on y être insensible ? Elle est où d’ailleurs, la bimbo ? Parce qu’il sort sûrement avec une de ces filles sublimes, sans une once de graisse, aux traits délicats parfaitement maquillés, à la chevelure lisse et brillante. Rien à voir avec moi. Même un soir de gala, même avec tous les artifices possibles, je me sens gauche et pataude.
Aussi blonde que je suis brune, aussi délurée et insouciante que je me montre raisonnable et prudente, elle rayonne de confiance en elle. Facile quand on est une vraie bombe. Elle me serre contre elle tandis que je me raidis entre ses bras.
J’ai besoin de pouvoir m’exprimer comme je l’entends avec au moins une personne. Les autres auront droit au patron correct et acceptable, toi tu auras la version non censurée.
Je tente de me convaincre que son signe d’affection machinal me réconforte plus qu’un baiser passionné. L’expérience m’a montré que je ne suis pas taillée pour les grandes histoires d’amour, pour la passion qui dévaste tout sur son passage et vous laisse détruit lorsqu’elle en a terminé.
Plus j'apprends à le connaître, plus je découvre que j'apprécie chacune de ses facettes. Que ce soit cette assurance à toute épreuve ou ses peurs lorsqu'il accepte de me les montrer, son cynisme et son apparent détachement ou sa générosité envers ses proches, ses raisonnements très cartésiens ou sa façon de tolérer mes idées un peu perchées, ses regards sévères ou ses sourires troublants. Il est tout ça à la fois, derrière les costumes et le masque. Et j'en aime chaque détail.
Sa façon de me répondre, de ne remarquer que le positif me désarme et me calme. J'ignore comment, mais elle semble voir au-delà de ce que je montre.
J'ai compris très jeune quil valait mieux apprendre à connaître les gens, plutôt que se fier aux apparences.
Ça n'a plus rien d'une illustration de livre poura enfants. Je suis flatté que Victoire n'imagine bâti comme ça. Excité qu'elle me visualise nu. Troublé qu'elle me voie sauvage. Perturbé de réaliser que je ne suis pas le seul à fantasmer. Fébrile de prendre conscience à quel point j'ai envie d'elle.
Je t'apprécie tout le temps, aussi bien avec des larmes qu'avec un sourire. Je t'apprécie que tu sois sage ou sauvage, que tu te montres docile ou rebelle. Je crois que je finis même par apprécier ton désordre. Ne t'excuse jamais d'être toi...
– Je vais plutôt prendre un verre d’eau.
– Vous devriez l’écouter, Jo tient très mal l’alcool, intervient Emma. Si vous voulez éviter un strip-tease avant la fin de la soirée, c’est plus prudent de la laisser boire de l’eau.
Qu’est-ce qu’elle fabrique, cette morue ? On lui a demandé son avis ? OK, je tiens mal l’alcool, mais merde, c’est mon boss. Qu’est-ce qui m’a pris d’inviter une fille qui n’a aucun filtre ? Piquée par sa remarque, j’arrache pratiquement le verre des mains de Nathan.