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Citations de Amparo Seith (14)


On y va, on frappe les méchants, on sauve les gentils, on rentre et on prend un bon kougelopf au petit-déjeuner
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Où est-ce qu’on peut trouver du schnaps et de la choucroute ?
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— Eh bien, je vous informe que vous avez gagné un voyage d’un mois pour deux personnes dans le pays hispanique de votre choix.
Célia manque de percer mes tympans en explosant de joie.
— C’est très… généreux… de votre part… mais…
— Un peu d’enthousiasme, pardi ! s’impatiente mon amie en me donnant un coup de coude.
Je prends quelques secondes pour réfléchir. Qu’ai-je à perdre en acceptant un tel voyage ? Rien. Ne cherchais-je pas à disparaître ? À m’enfuir de cette ville où chaque rue arpentée me rappelle son souvenir ?
— Je suis heureuse d’accepter votre prix.
Ai-je vraiment dit ça ? Les cris de liesse de ma brunette d’amie me le confirment.
— C’est parfait. Dans ce cas, vous devez choisir un pays hispanophone où passer vos vacances.
— Donnez-moi une minute.
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Si les regards pouvaient tuer, le pauvre Polonais serait un amoncellement de cendres fumantes au coin de la pièce à l'heure qu'il est.
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Un homme qui admet la force d'une femme, c'est peu courant.
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La vie m'a enseigné que l'on n'est jamais trop prudent.
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Il tressaille de plaisir et, agrippant mes hanches, me colle à lui. À travers son pantalon, je peux sentir la sensation grisante de son érection contre mon ventre. Il relève mon menton et m'embrasse avec fougue. Nos langues commencent à danser. Je glisse avidement mes mains dans ses cheveux afin de l'attirer encore plus à moi. J'entends un craquement. Il vient juste de déchirer ma robe. Heureusement que c'est un rêve, sinon il aurait eu à répondre de cet attentat contre mon vêtement préféré.
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La cuisine roumaine est riche et variée. Le pays ayant été sujet à diverses influences et occupations, elle est un savant mélange alliant les savoir-faire turcs, hongrois, russes, grecs, bulgares et moldaves.
Même si le marché de Bucarest n'est pas le meilleur endroit pour goûter ces mets, nous sommes affamées, et nos bourses : aussi vides que nos ventres
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La concentration de microbes ici doit être tellement élevée qu'ouvrir la bouche équivaudrait à lécher les barres du métro de Paris. Je commence à penser que j'ai peut-être un peu précipité les choses en voulant me rendre en Roumanie. Peut-être aurions-nous dû attendre, économiser, ne pas tout bâcler… Seulement, mes tripes me disent qu'il n'y avait nulle autre alternative. C'est ainsi que ça devait se passer. Les événements qui m'ont conduite à prendre cette décision se sont déroulés de manière imprévue. Aussi, c'est de façon tout aussi impromptue que notre départ s'est enchaîné.
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Nous passons la frontière allemande. L'autoroute ici est en plus mauvais état qu'en France. Le prix de la gratuité ! Petit à petit, les légères secousses dont font état les amortisseurs du camion, bien plus mal en point que l'autoroute, finissent par m'assoupir de leur agréable bercement. Pourvu que je ne parle pas en dormant !
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C'est trop facile pour eux de se dédouaner en accusant la société d'exacerber les mauvais côtés de leur caractère. Les préjugés, le racisme, la violence... Ces démons, ils les ont déjà en eux, à des doses plus ou moins importantes. La télévision n'y est pour rien.
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Des oiseaux sauvages s'envolent, poussant des cris perçants. Cela nous tire de notre hébétude. Il constate enfin ma présence. Il se tourne vers moi. Son regard est dur. Peut-être m'en veut-il d'avoir surpris son chagrin ? Lentement, comme si je voulais m'approcher d'un animal blessé, je m'avance de quelques pas. Il ne recule pas, mais garde une expression indéchiffrable.
Mon instinct me dit de fuir. J'ai la chair de poule en dépit de la température élevée. Je fais un dernier pas en avant. je peux sentir son haleine brûlante sur mon visage. Son expression sombre m'ordonne de battre en retraite mais ses pupilles semblent crier au secours. Que lui est-il arrivé pour être à ce point ébranlé ? Avec précaution, je lève une main vers son visage. Je caresse sa joue de mes doigts soudainement glacés. Sa peau est si douce. J'ai l'impression de n'avoir vécu toute ma vie pour ce moment. ses paupières se ferment de plaisir à mon contact. lorsqu'elles se rouvrent, l'or de ses iris est en ébullition. Silencieusement, il saisit ma menitte, la porte contre son coeur. Nous restons longtemps ainsi, sans mot dire, comme si le temps s'était arrêté. Bien que je le désire de chaque cellule de mon corps, c'est peut-être cet aour pur, platonique, dont nous avons besoin.
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Sans crier gare, il m'embrasse sur les lèvres. Un baiser bref, chaste et léger comme une caresse. Alors que des milliers d'ailes de papillons fourmillent dans mon bas-ventre , il pose ses mains sur mes hanches et profite de l'effet de surprise pour me clouer au sol. Les yeux pétillants de malice, il baise mon front, se lève, s'empare de mon sac et part en courant comme un voleur.
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Me prendre par la boisson... Franchement ! Il devrait en avoir honte ! C'est comme demander à un enfant s'il veut encore une tartine de Nutella.
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