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Citations de Anne Mariel (84)


A pas lents, avec majesté -les Noirs ne sont jamais pressés quand on les demande, car ils croiraient s'abaisser en obéissant trop vite -celle-ci sortit de la cuisine.
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La nouvelle éclata avec la même soudaineté et la même violence que la bombe sur Hiroshima :
" Le Président des États-Unis a été assassiné. "
Tous les écrans de télévision, tous les téléscripteurs, tous les speakers du monde annoncèrent en même temps cette incroyable nouvelle qui stupéfia et bouleversa d'horreur même les adversaires politiques de celui qui venait d'être abattu.
Et tous se posaient cette question :
Comment un gouvernement que l'on croyait le plus fort n'avait-il pas pu déjouer ce complot et permettre une telle tragédie ?
Comment ce grand pays qui possédait le plus efficace des services de sécurité, avait-il été impuissant à protéger celui qui représentait l'emblème de la nation ?
C'était chaque citoyen qui en quelque sorte se sentait concerné par une telle trahison et qui réclamait vengeance.
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Quand le cœur joue à cache-cache avec la raison, c’est lui qui gagne.
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Je comprends que le silence puisse être un élément de beauté, d’inspiration poétique ou religieuse.
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Les êtres humains peuvent impunément mentir ou cacher leurs véritables sentiments… Les femmes peut-être encore plus facilement que les hommes…
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Mon amour… Une femme est coquette, elle veut toujours être la plus belle pour celui qu’elle aime…
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Le rire est souvent un moyen de cacher ses larmes.
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Les femmes sont souvent si habiles à dissimuler leurs véritables sentiments.
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Tous ces jolis cœurs ne m’inspirent guère de sympathie ! Encore heureux, quand ils n’évaluent pas éventuellement la valeur de leur future conjointe en dollars ou en livres sterling !
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Ce traquenard que l’on avait tendu sous ses pas ressemblait trop à un mauvais film policier pour y croire… Mais cependant… Tous les faits paraissaient s’enchaîner… Il songea aux pièces d’un puzzle qui s’emboîtent les unes dans les autres. Depuis la veille tous les événements qui s’étaient déroulés s’ajustaient d’une façon si parfaite qu’il ne pouvait croire à une coïncidence.
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Les hommes affectent des airs pleins de vanité parce que leurs compagnes arborent des bijoux de prix. Les femmes, de leur côté, croient qu’on les admire, alors qu’en réalité chacun ne fait que critiquer son voisin. Il me semble entendre leurs paroles fielleuses. Quelle triste humanité !
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« Ils sont venus attirés par l’immense fortune de leur tante. Ils n’ont ni la pudeur ni l’adresse de cacher le fond de leur pensée. On les sent âpres, avides. Ils doivent vivre continuellement dans la crainte, l’espoir et le désir cupide. Dans l’intimité, leur conversation doit servir leur basse convoitise : « Il faut que tante Doris nous fasse ses héritiers. Il faut que cette villa et les objets d’art qu’elle contient soient un jour notre propriété. »
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Ce sont des choses que l’on voit rarement, sauf dans les romans. Les voleurs n’ont généralement pas de ces nobles sentiments.
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Quand on est perdu dans un pays étranger, la chose primordiale n’est-elle pas justement de trouver le gîte et le couvert ?
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Quand pareille aventure arrive à jeune fille fortunée, elle peut câbler à sa famille qui, aussitôt, lui adresse l’argent nécessaire pour la dépanner. Mais, sans être pauvres, les parents de Nathalie n’étaient pas riches et elle ne pouvait les contraindre à lui envoyer une somme qui pourrait cruellement leur faire défaut.
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On sentait chez lui une étrange volonté à la fois impérieuse et tendre. Il jouait de cet atout pour essayer d’obtenir de ses conquêtes ce qu’il désirait. Me croyait-il donc assez naïve pour supposer que je tomberais dans le piège qu’il voulait me tendre ? J’avais remarqué son sursaut quand je lui avais annoncé que j’étais fiancée. Une femme solitaire est une proie plus facile pour ces sortes d’aventuriers. En voyant surgir a mon côté un compagnon, le plan imaginé par lui était d’avance mis en échec par un rival éventuel.
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Mon métier me donnait-il trop d’orgueil, trop d’esprit d’indépendance pour me plier au joug d’un homme ? Notre ménage serait-il heureux ? Ne serions-nous pas toujours en proie à des heurts qui nous déchireraient continuellement ?
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C’était à la fois le commencement et la fin de toute chose. L’amour résumant tout pour moi : la nuit, le jour, le passé, le présent, l’avenir. Tout était concentré en un seul homme : Jérôme ! Rien qu’au rappel de ce nom, je retrouvais sur mes lèvres l’ardeur et la douceur de nos premiers baisers. Il me semblait revivre les serments faits un soir que nous étions l’un et l’autre plus tendres encore que de coutume.
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Sa voix était douce et rassurante et avait calmé mon chagrin. J’avais été séduite par son physique, conquise par sa gentillesse. Il avait si bien su trouver les mots qui consolent et redonnent l’espoir ! « Ne vous découragez pas pour si peu. Dans ce métier il faut être cuirassé. Les injustices sont monnaie courante ». J’avais alors pris conscience de mon manque d’expérience dans cette profession si nouvelle pour moi et, avec son appui, je m’étais remise courageusement au travail. Il avait été le témoin de mes premiers succès.
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Par expérience, je me méfie des policiers. Mon métier m’a mis en rapport avec un trop grand nombre d’entre eux. Plusieurs motifs passèrent dans ma tête : contravention pour ma voiture, procès-verbal pour une entrée frauduleusement obtenue le mardi précédent à l’Assemblée nationale, dans l’enceinte interdite aux journalistes, plainte déposée pour le « papier » que j’avais écrit sur l’épouse d’un Président de la République de l’Equateur et que je n’avais pas fait ratifier par la censure. Bref, autant de prétextes pour entraver la carrière déjà difficile des reporters.
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