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Critiques de Annie-Claude Thériault (18)
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Quelque chose comme une odeur de printemps

Béate nous raconte sa vie avec sa famille, son ami Wu et l'épicier du coin. Le tableau pourrait être idyllique mais son frère est malade.

Un roman compliqué à analyser... La schizophrénie est une maladie mentale terrible qui bouscule la vie de l'héroïne. Les émotions controversées de Béate sont parfaitement racontées mais les répétitions et les longueurs sont trop présentes pour moi. J'ai mis un temps fou à le terminer.
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Les Foley

Un récit à six voix à travers le temps : 1847, 1880, 1910, 1940, 2019, plusieurs générations de femmes issues d’une même lignée, les Foley, parlent de leur quotidien, de leurs aspirations, tout en cherchant à prendre racine et à se rapprocher du passé pour mieux le comprendre.

Ann n’a pas pu se résoudre à quitter son Irlande natale grugée par la famine avec son père et ses frères jumeaux, mais eux ont émigré vers les côtes canadiennes, au Nouveau-Brunswick, où ils ont refait leur vie, non sans difficulté, comprend-on à demi-mot. Leurs descendantes, Nora, Ellen, Nelly, Eveline et Laura connaîtront elles aussi des débâcles intérieures, un vertige permanent de n’être de nulle part et un urgent besoin de donner un sens à leur existence, au risque d’ébranler le cocon familial.

C’est joliment écrit, nimbé d’une certaine mélancolie en accord avec les paysages décrits et la personnalité des protagonistes. Et, présente dans les six portraits, comme un rappel à cette impulsion première d’immigrer, la figure du doryphore (notre vulgaire bibitte à patate), fléau redouté de tout temps par les paysans irlandais.

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Les Filles de l'Allemand

L’Allemand, Janovski dit Le rachitique, est assez mal vu de ses voisins de Folks, New Brunswick, depuis que sa femme est morte noyée dans la rivière gelée d’où elle a tenté de sortir ses jumelles de six ans, Rose et Marguerite. Les deux petites sont soudées l’une à l’autre par un lien indéfectible propre aux jumeaux. Alors, c’est une tragédie pour Rose quand son père vend Marguerite aux propriétaires du cirque Barnes, se vendant lui-même par la même occasion, après avoir soulagé une de leurs vaches de spectacle. Il a la main heureuse et l’autorité naturelle pour tout ce qui touche les animaux, même les lions vont se soumettre, y compris quand il aura le bras arraché lors d’un déraillement de train. Pour autant, il n’a aucune affection pour ses enfants qu’il laisse se débrouiller, trois petits garçons confiés à la garde leur « grande » sœur de six ans, Rose. Mais Rose, à son tour quitte la maison, sans regrets.



Ainsi commence ce roman étrange et attachant , sur fond de vie rude dans la campagne canadienne, avec trois générations qui se succèdent entre Québec et France, des personnages originaux tels cet Allemand manchot et cruel mais qui sait soigner les animaux de façon quasi magique, Louis Hébert, cet espion canadien qui trompe la vigilance des Allemands grâce à des machines à écrire truquées, ces jumelles séparées par l'Atlantique et la vie, puis une deuxième équipe de jumelles, Emy et Lily, leurs descendantes, qui découvrent les secrets de famille. Quelques moments dérangeants, quoique évoqués avec discrétion, concernent l'inceste, les désirs transgressifs, l'enfance massacrée, les drames familiaux.



Le tout en une langue savoureuse qui lutte contre l'influence de l'anglais (un stationnement, une chaise berçante, des roussettes pour désigner un parking, un rocking-chair et des toasts). Mais on note surtout en fin de livre une écriture quasi photographique, qui joue des gros plans, des notations de lumières et d'angles de vue, tout à fait originale.



P295 : « Sous la lumière immobile du petit matin, Lavillete ressemblait terriblement à Lavillette. Avec la rosée, les buttes et les épinettes étaient encore plus éclatantes. Lavillette m'est étrangement apparue comme une peinture, comme une photo retravaillée.

Oui, c'est cela:comme une photo retravaillée. »



Une découverte, due à la gentillesse des éditions du Marchand de feuilles dont je vais continuer à explorer le catalogue !

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Les Foley

Superbe roman retraçant plusieurs générations de femmes, les Foley. Des femmes fortes, déterminée, fan de whisky, de nature et de tourbe chauffé.

Pour une étrange raison, j'hésitais a commencer ce roman qui trainait dans ma bibliothèque depuis deux ans. Mais des que je m'y suis mise, j'ai adorer. Ces destins de femmes plus grandes que nature nous transportent dans une Acadie d'hier a aujourd'hui. Vraiment joliment construit, entre douceur et force.

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Les Foley

Impossible de ne pas terminer ce livre. Comme dans bien des sagas familiales, la curiosité de connaître le sort des descendants est suffisante pour nous obliger à ne pas refermer l'ouvrage. Dans celui-ci, il m'apparaît plutôt que c'est la perception des aïeux sur un long fleuve de 172 ans qui occupe la scène.



L'aspect historique n'est pas omniprésent ; l'âme du roman ce sont les cinq femmes. Les phrases sont courtes, un peu comme dans la femme gauchère de Peter Handke. Cependant, elles sont remplies de poésie, jusque dans la ponctuation.



Dans les Foley, la violence est présente, mais on l'excuse, on la justifie. C'est avec plaisir que j'ouvrirai ce livre à nouveau dans quelques années.
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Les Filles de l'Allemand

Cette histoire qui s'attache à une famille sur trois générations m'a charmé autant par l'originalité du récit que par la densité des personnages. Il y a beaucoup d'évènements qui se croisent au fil du temps et tout ne tombera en place qu'à la toute fin. Mais loin de n'attendre que le dénouement, j'ai suivi avec grand intérêt les pérégrinations des différents acteurs. Car au-delà de leurs destins, l'auteure nous illustre tout en douceur une panoplie d'états d'âme; le mal-être chronique de Léon, le dévouement sans borne de Mai, la sérénité de Rose, la résignation de Marguerite, l'indifférence pathologique de Janowski. Belle illustration également de paternités non assumées. J'ai aussi bien aimé les incursions dans les étranges relations qu'impliquent la gémellité.



L'histoire et les personnages sont tellement riches que ce roman aurait pu être développé davantage sans rien y perdre, au contraire. Par contre l'art de cette auteure est d'en dire beaucoup, et d'en suggérer encore plus, en peu de mots. Dans ce sens elle laisse place à notre imagination pour broder et c'est un aspect du livre que j'ai apprécié, comme beaucoup d'autres!
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Les Foley

Cette histoire en est une de famille et de la descendance de cette dernière. Elle débute par la matriarche des Foley et un coléoptère en Irlande durant la Grande Famine. Elle écrase l’insecte et elle crie que la guigne va s’abattre sur les siens. Elle n’aura pas tort… Voici comment se présente ce livre s’avérant structuré en 6 temps.



1847 – La guigne – Citation en exergue de James Joyce – Gens de Dublin – On retrouve l’histoire d’Ann durant cette partie et celle de l’insecte qui conditionnera l’histoire des Foley : le coléoptère. Ainsi, la grand-mère, Eveline Foley, affirme qui les siens sont frappés par la guigne à l’époque de la Grande Famine en Irlande. Ann doit partir avec son père et ses frères pour aller vivre au Canada, mais elle refuse et retourne auprès de sa grand-mère et de ses tantes. Elle choisit de continuer à vivre entourée de femmes.

1880 – Le refuge – Citation en exergue H.J. Longfellow – Évangéline – Nora, la petite-fille d’Eveline Foley, se retrouve au couvent pour apprendre à lire et à écrire. Elle voit son père mourir après l’avoir déposée au couvent. – Il y a des belles réflexions échangées entre Nora Foley et Soeur Jeanne sur les exilés, les apatrides (p. 99) – Au Nouveau-Brunswick, les Irlandais sont confrontés à la même discrimination de la part des Anglais qu’en Irlande. Nora ressent une attirance pour Soeur Jeanne.

1910 – L’esseulement – Citation de Thoreau – La vie dans les bois – Nora Foley et sa fille Ellen vivent dans une cabane dans le bois et elles chassent pour se nourrir et survivre. La jeune Ellen n’a jamais vu un homme – Elle ne connaît pas son père. Qui est-il? L’instance lectrice se pose des questions et elle en vient à penser que Nora s’est fait violer au couvent et qu’elle s’est réfugiée dans le bois à la suite de ce drame. Ellen découvre un homme blessé et elle essaye de s’en occuper. Sa mère finit par le tuer, car elle ne fait confiance à aucun homme.

1940 – L’effondrement – Citation de Gabriel Robichaud – Nelly Folley est albinos et son frère, Frank Folley, apparaît comme un homme violent et il l’appelle Blanche. Ce dernier a frappé sa mère durant une période de temps et Nelly ressentait de la honte, car elle se sauvait pendant les crises de violence de son frère. Son père disait qu’il fallait tuer les coléoptères car les insectes étaient les vecteurs de la guigne. Son frère porte une jambe de bois pour se déplacer. Nelly cuisine du toffee pudding, du caramel pour Cinq-Cennes, le gueux du village, qui dort dans un coin de la maison. Nelly, alors qu’elle souhaite être bonne, brûle la jambe de bois de son frère alors qu’il est étendu saoul sur son lit. Ensuite, elle le tue. Sa violence témoigne d’un désir de retrouver l’innocence première, la blancheur, la pureté. Elle aspire peut-être à effacer toute trace de violence. À la fin, elle mentionne qu’elle doit protéger la fragilité de sa maison, comme une louve.

1963 – L’effacement – citation de Joseph Yvon Thériault sur la mémoire – Deux adolescentes de 13 ans – Clara et Eveline Foley – connaissent la violence de l’homme alors qu’elles souhaitent s’émanciper en portant des shorts. Un homme essaye de violer Eveline. Par la suite, Eveline vient se réfugier chez Clara pour lui annoncer qu’elle va devoir la quitter pour suivre son père qui désire s’établir aux États-Unis. Elles vont alors se cacher dans un camp dans le bois et ce dernier est recouvert de coléoptères épinglés.

2019 – Pas de thème – Citation abordant le trauma – Irlande – famine- Laura quitte Philadelphie pour aller au Nouveau-Brunswick durant un an sur l’île de Miscou (petite île pourpre) pour étudier la digestion de la Sarracenia purpurea. Elle s’est révoltée contre la misogynie de son professeur qui dit que c’est compliqué d’embaucher des femmes (congé de maternité et après, elles ne veulent plus travailler). Par le biais de ce retour à l’île, Laura va en apprendre davantage sur ses ancêtres. C’est un retour aux sources qui semble alors être amorcé.

Mes impressions



J’ai beaucoup aimé ce livre surtout pour l’écriture de l’autrice. Elle possède une plume poétique et ses phrases sont courtes, vivantes, remplies de rythme, ce qui crée chez l’instance lectrice un sentiment où le rythme de l’action l’amène rapidement adopter le point de vue de la narration, à plonger dans l’âme de cette dernière. Voici un extrait que je lis pour vous. Je l’ai trouvé magnifique.





De plus, dans ce livre, voici les thèmes abordés :



L’exil/l’immigration

Les femmes et leur émancipation

La religion

La misère

La filiation

La puissance de la nature

L’alcoolisme

Le déterminisme (présence des citations en exergue)

La violence des hommes

L’incommunicabilité entre les hommes et les femmes

La haine des Anglais

Les pommes de terre et le coléoptère

La Sarracenia purpurea

Je vous recommande ce merveilleux livre. Il se lit facilement comme de petites nouvelles. Je vais certainement plonger dans Les filles de l’Allemand et dans Quelque chose comme une odeur de printemps d’Annie-Claude Thériault. Il y a de si beaux livres québécois! À vous de les découvrir!



Avez-vous lu ce bouquin? Il vous tente?

https://madamelit.ca/2024/02/19/madame-lit-les-foley-dannie-claude-theriault/
Lien : https://madamelit.ca/2024/02..
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Les Foley

Quand on lit ce roman, on ne peut qu'avoir de l'admiration et de la reconnaissance pour ces femmes qui ont défriché notre pays. Ces survivantes, travaillantes, courageuses. Quelle force de caractère.



Malgré le choix du sujet et l'écriture impeccable, je n'ai pas été happée par l'histoire. J'ai été touchée bien sûr mais les histoires trop courtes m'ont laissées sur ma faim et ont suscitées un intérêt mitigé.
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Les Foley

Il n'y a aucun doute que ce livre est superbement écrit. Mais ces histoires des femmes Foley à travers plusieurs générations ne m'ont pas convaincu, peut-être parce que les hommes y sont au mieux quantité négligeable quand ils ne sont pas carrément présentés comme des monstres. Un manichéisme qui m'a dérangé même si j'ai applaudi quand une victime décide de prendre les choses en mains. Le pouvoir d'évocation de l'auteure est à la fois puissant et subtil, que ce soit pour parler de la peur de l'exil, de la solitude d'une orpheline, de la haine de l'homme, de la révolte d'une victime ou des émois de l'adolescence. Malgré des qualités indéniables de ce roman, je ne fais clairement pas partie du public cible . . .

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Les Foley



J𠆚i beaucoup aimé cette lecture de femmes. Une écriture douce, presque naïve par moment. Une fresque de femmes faibles, fortes, douces, aimantes, protectrices. C’était bon, c’était tendre et doux malgré la rudesse de la vie ou des hommes parfois.

Un livre rempli d’odeurs, de texture, d’émotions.
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Les Foley

On traverse le temps, et les générations Foley, au moment de la grande famine en Irlande jusqu’à nos jours au Nouveau-Brunswick, à travers l’histoire de cinq femmes vivant ou survivant avec force, de par leur volonté absolue et infaillible de choisir elles-mêmes leur place en ce monde et d’avancer toujours fidèles à leur cœur. Des vies difficiles racontées tout en tendresse et douceur. Une plume hypnotique, un roman proche de la poésie, un hymne d’amour pour ceux qui ont tracé la route avant nous.
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Les Filles de l'Allemand

"Les filles de l'Allemand" est un roman magnifique, divertissant et émouvant. Premier roman de l'auteure? Je suis impressionnée par le naturel de l'écriture où rien n'est forcé, tout est fluide.
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Quelque chose comme une odeur de printemps

Dès la première page, j'ai aimé ce roman. La narratrice, une jeune fille pour qui les odeurs sont très importantes, vit dans une famille perturbée : un grand frère schizophrène, une petite sœur qui rationalise, des parents ébranlés. Mais aussi des personnages attachants : monsieur Pham, un Vietnamien, Whu, une Chinoise qui n’est pas Chinoise, etc. Parfois triste, mais très beau.
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Quelque chose comme une odeur de printemps

Vous arrive-t-il de vous procurer un livre et de le laisser ensuite croupir sur une tablette? Je fais ici mon Mea Culpa. Cela peut survenir parce que le tourbillon de la vie familiale m'emporte et que je l'oublie, comme il peut arriver que je le mette de côté après avoir lu quelques pages car il a du mal à capter mon attention. C'est ce qui est arrivé avec Quelque chose comme une odeur de printemps. Chose que je regrette amèrement maintenant sa lecture complétée. Voici pourquoi.



Lorsqu'une personne souffre de troubles de santé mentale, c'est tout son entourage qui souffre en silence avec elle. Par contre, la manière de réagir face à la maladie d'un proche varie beaucoup d'une personne à l'autre.



C'est ce que nous découvrons dans le récit que nous livre Annie-Claude Thériault dans son premier roman. Nous avons la chance de suivre la famille Dugas à travers les yeux de Béatrice, deuxième enfant de la famille. Cette dernière nous raconte son quotidien éprouvé par les comportements étranges de l'ainé. Mais au-delà de cela, c'est une porte ouverte sur ses émotions et les relations qui la lient aux divers membres de sa famille et de quelques personnes de son entourage.



J'ai particulièrement apprécié la plume d'Annie-Claude Thériault qui m'a parfois fait penser à celle de Kim Thuy, de par les comparaisons poétiques qu'elle fait lorsqu'elle tente de décrire les odeurs, mais sans la légèreté de l'auteure de Vi. J'ai toutefois l'impression que cette lourdeur est calculée, comme si Thériault souhaite souligner à quel point, pour Béatrice, la maladie de son frère est lourde à porter. L'ambiance du livre nous le transmet bien.



Un autre élément qui m'a particulièrement séduite est la qualité de la langue. L'étendue de mon vocabulaire est, je le crois, plutôt appréciable. Par contre, à trois reprises au cours de ces 176 pages, j'ai dû faire appel au dictionnaire afin de connaitre la définition d'un mot que je rencontrais pour la première fois. Moi qui incite mes élèves à s'attarder aux mots intéressants, j'ai été plus que servie.



Je vous recommande chaudement ce court roman qui n'a à mes yeux, aucun défaut. J'irai probablement me procurer Les filles de l'Allemand, le dernier roman de la jeune auteure.
Lien : http://letempsdlire.blogspot..
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Les Foley

Il est de ces livres qui, partant d’un détail, nous font entrer dans un univers précieusement ciselé et qui va nous happer. C’est ce qui est à l’œuvre avec Les Foley.
Lien : https://www.journaldequebec...
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Les Filles de l'Allemand

Ce roman raconte l’histoire d’un espion allemand qui vit au Nouveau-Brunswick, dans le coin de Miramichi. Il va épouser une jeune fille de la région, et de cette union va naître cinq enfants, dont les jumelles Rose et Marguerite. Ces deux jeunes filles sont inséparables, jusqu’au jour où le père vend Marguerite à un cirque ambulant. Cette séparation va marquer et régir la vie de Rose et de ses descendants. Comme quoi le passé familial peut parfois laisser de profondes cicatrices, mais peut aussi faire naître de la lumière.



Tous les personnages du roman vont se croiser, que ce soit au N-B, aux États-Unis ou en France, et vont interagir entre-eux, des fois sans le savoir. Même que des fois, je trouvais que les coïncidences étaient trop fortes, voire carrément poussés par les cheveux, mais pourtant je les ai acceptés pareil parce que ça m’arrangeait.



Sérieusement, je ne sais pas trop si je l’ai aimé ou pas. D’un côté, sa lecture coulait comme de l’eau de roche et on est facilement entraînés dans le récit de cette famille. Mais d’un autre côté, je m’attendais à découvrir de l’Histoire et même quand j’y pense très fort, je n’ai pas l’impression d’avoir appris quelque chose. Mais ça a quand même resté un bon divertissement et je suis certaine que beaucoup vont l’apprécier.



En passant, l’histoire de l’espion allemand au Canada, c’est inspiré d’un fait réel, l’auteure a même utilisé son vrai nom.
Lien : https://leschroniqueslittera..
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Quelque chose comme une odeur de printemps

Mon coup de coeur littéraire de la saison précédente - Mon odeur de printemps!

L'auteur nous entraine avec finesse dans un émouvant drame famillial. On a envie d'aller voir à Hull si ces singuliers personnages, tellement attachants, existent vraiment. C'est une écriture jeune et audacieuse où les cinq sens sont au rendez-vous.
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Quelque chose comme une odeur de printemps

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