Antoine Guilloppé

Antoine Guilloppé propose une nouvelle rencontre avec les animaux grâce à ce livre tout en couleur et en douceur.



L'ouvrage est très grand et ne fait rien de moins qu'1m70 de long. Les pages doucement s'ouvrent et nous proposent de nombreux animaux en couleurs et noir et blanc. Antoine Guilloppé a décidé de se lâcher au point de vue artistiquement car à travers ces magnifiques dessins il faut trouver rien de moins que 99 animaux. Pour changer un peu de Charlie avec ces décors chargés, ici les grands espaces de vide surprennent. Bien entendu, très vite on voit les papillons, les perruches ou tigres. Mais ce cache dans les détails une multitude de sublimes petits animaux.



Un magnifique cadeau à offrir à des enfants pour jouer avec eux. Et si vous ne trouvez pas les 99 animaux, ce n'est pas grave, derrière l'illustration géante se trouve les réponses. Aussi beau que bien pensé, un vrai régal pour les yeux et un bon moment à passer à regarder partout.

Ce conte sous forme d'album est sous-titré "petit conte zen". On y est complètement :



- zen : parce qu'il y a la douceur japonaise, sa poésie. On a même une sorcière qui n'en est pas une en fait, et un malentendu à propos d'une supposée malédiction qui n'existe pas. Ça rend l'histoire originale mais cela lui enlève aussi le côté fantastique pour ne garder que le poétique. Ensuite, c'est une histoire d'amour : mignon. Pour le côté poétique enfin, j'ai adoré les dernières images avec les personnages vus de haut dont on ne devine les actions que par leurs silhouettes dessinées. Très beau !



- petit : oui, exact. Seulement, là, pas dans le bon sens du terme. Car malheureusement, j'ai trouvé la résolution du problème (qui n'en est pas un mais bref...) un peu rapide. On ne comprend pas, il manque clairement un morceau. Même si l'absence de parole est voulu, j'ai bien compris, mais c'est tout-de-même un peu trop vite expédié. Dommage...



~ Challenge féminin 23 : au moins 50% de rose ou rouge sur la couverture

Très bel album qui conte la rencontre d Akiko et deTakiji, qui a peur d'être transformé en pierre.

Antoine Guilloppé propose un nouveau petit conte zen avec son personnage Akiko. Elle va découvrir l'amour grâce à Takiji.



Le livre s'ouvre sur deux pages avec une flopée de petits coeurs avec des motifs japonisants. Puis débute l'histoire de la très jeune Akiko. Dans un décors en noir et blanc, on se ballade au clair de lune et au rayon du soleil. Quelques couleurs et motifs colorés apparaissent sur certains objets ou personnages pour indiquer où l'oeil doit s'arrêter.



Akiko un soir au bord de l'eau, au chant des crapauds rencontre de nouveau Takiji. Il n'ose plus sortir du bois pendant le jour de peur de se transformer en caillou. La sorcière lui aurait jeter un sort mais ce n'est pas le cas du tout. Il lui faut juste une belle rencontre pour prendre confiance en lui et reprendre le cour de sa vie.



Une petite histoire assez simple qui pourrait plaire à des enfants. J'avoue être un peu déçu par cette histoire bien trop courte car on n'apprend rien sur les personnages. Je crois que les histoires d'Akiko ne me touchent pas beaucoup. On ne peut pas tout aimer d'Antoine Guilloppé.

Beau petit livre jeunesse, subtil et offrant quelques surprises graphiques.

Voici une histoire courte, douce et qui redonne espoir.

De belles illustrations, de belles couleurs et ce noir magnifiquement utilisé.

Laissez vous bercer par l'histoire pleine d'espoir d'Akiko l'amoureuse.

Découvrez également une facette du monde d'Antoine Guillopé.

Je suis un peu déçue. Je crois que je n'avais pas envie que Akiko soit amoureuse. L'histoire de la sorcière m'aurait suffi. Par contre, je retrouve avec bonheur les illustrations de Guillopé et l'édition soignée de Philippe Picquier.

Les illustrations d'Antoine Guilloppé sont comme d'habitude magnifiques. Il mélange avec talent les animaux et les branches des arbres qui ne forment plus qu'un tout indissociable.

Tout est fait de noir et de blanc, sauf Akiko qui illumine la nuit. de son habit japonais fleuri et plein de couleurs.
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Akiko est une jeune fille qui aime se promener seule dans la forêt. Seulement, elle n'est pas vraiment seule, les animaux - et autres esprits- de la forêt veillent sur elle.



Un joli conte joliment illustré avec des illustrations comme en dentelles où le dessin d'un élément peut en cacher un autre.

Beaucoup de finesse et de douceur. Idéal pour aller dormir !

Akiko est une petite fille qui aime se promener seule dans la forêt en hiver. Elle n'a jamais peur. "Au contraire, elle préfère". Elle n'est jamais seule entourée de ses amis les arbres, les écureuils, les lapins, et autres créatures de la forêt. Tous veillent sur elle.



En peu de mots, cet album parle de courage, de beauté, de confiance, à l'image des haîkus qui savent dire l'essentiel en deux vers.



Les dessins sont magnifiques, le kimono de Akiko est la seule touche de couleur dans les paysages en noir et blanc de cet hiver japonais. Les arbres, les poils des animaux, la neige, s'entremêlent délicatement pour former une toile protectrice autour de la petite fille.
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Ce n’est pas la première histoire d’Akiko que nous lisons à la maison, mais celle-ci m’a particulièrement touchée. Déjà par ses illustrations, que j’ai trouvé magnifiques et poétiques ! Mais aussi par le texte, une mise en avant de la nature, de la forêt, de ses animaux, de leur beauté. J’ai beaucoup aimé me plonger dans ce petit conte tout doux avec mes filles ! Choix de ma presque deux ans, parce qu’il tenait bien dans ses mains avec d’autres contes 😊



C’est l’hiver, Akiko se promène seule dans la forêt, mais elle n’a pas peur. Les arbres, les animaux sont auprès d’elle, et prennent soin d’elle. La neige embelli le tout et offre à Akiko un spectacle des plus magnifiques dont elle ne se lasse pas de profiter pleinement.
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Après "Akiko la curieuse", "Akiko la rêveuse" et "Akiko l’amoureuse", c’est avec ravissement que nous retrouvons l’héroïne attachante des albums de l’illustrateur Antoine Guilloppé.

C’est vêtue d’un somptueux kimono fleuri qu’Akiko part se promener seule dans la forêt enneigée. Sur son chemin, les animaux de la forêt apparaissent comme par enchantement dans le feuillage des arbres. Mais Akiko n’éprouve nulle crainte à se promener toute seule dans la forêt, « Au contraire, elle préfère ». Tour à tour, la chouette, le renard, l’ours et le loup semblent veiller sur l’intrépide petite fille.

Si l’on est émerveillé par cet album aux accents oniriques, c’est d’abord grâce au graphisme audacieux d’Antoine Guilloppé, ainsi, la silhouette colorée d’Akiko se découpe sur un paysage noir et blanc évocateur de l’hiver. Avec un peu d’imagination, on croirait presque entendre la neige crisser sous les pas d’Akiko…
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J'ai bien aimé ce livre, particulièrement pour ses illustrations pleines de finesse et de poésie. La forêt dont les arbres ont l'apparence d'animaux qui accompagnent Akiko dans ses promenades solitaires m'a beaucoup plu. En revanche, j'ai été moins touchée par le texte qui, j'ai trouvé, manquait de rythme... peut-être est-ce dû à la traduction ? Une agréable découverte, quoi qu'il en soit.

Magnifique album avec des illustrations d'Antoine Guillopé magnifique!!!! Un beau voyage en hiver au Japon!!!

L'album décrit une promenade en forêt l'hiver. Il s'agit de la promenade d'une fillette japonaise, Akiko. Cette dernière est seule dans la forêt avec la nuit qui tombe.





Une qualité est en exergue ici: le courage.

Justement, Akiko aime bien affronter sa peur; d'ailleurs, elle ne se sent pas en insécurité avec ses amis de la forêt: en revanche même, elle se sent en communion avec la nature.



Certains animaux veillent sur elle (le renard), d'autres se laissent attraper (l'écureuil) et le loup lui conseille de ne pas prendre froid... En effet, c'est une balade qui a lieu l'hiver, à la tombée de la nuit.

Akiko est courageuse mais elle n'est pas téméraire, elle rentre et dit au-revoir aux animaux de la forêt.





La forêt prend vie avec le passage de la fillette japonaise.

Les arbres s'éveillent, les animaux sont présents de façon discrète mais bien présente...

chouette, ours, loup, renard, sont comme finement découpés en noir et blanc, (à la manière d'un autre livre d'Antoine Guillopé, Pleine Lune...).



Le texte est court, éludé -. comme dans un haïku -. La beauté rude de la forêt apparaît avec ce décor en noir et blanc qui la met en valeur d'une façon remarquable.



Différents points de vue sont abordés:

- à l'horizontale (comme l'écureuil perché dans un arbre)

- mais aussi à la verticale: en plongée (comme vue par la chouette )

ou en contre-plongée (le regard d'Akiko se dirige vers l'oiseau aux ailes déployées)

De ce fait, il n'y a pas de lassitude au niveau de l'image ou du rythme du récit.





Quant au kimono d'Akiko, il met des taches de couleur lumineuses et flamboyantes dans ce fond noir et blanc: avec son tissu japonais, il montre que la fillette paraît comme le coeur battant de la forêt.



Le courage... c'est aussi avoir du coeur. ;)





Challenge album jeunesse

Challenge de lecteur

Je suis une fan inconditionnelle des illustrations d'Antoine Guilloppé. Un vrai travail de dentelle et une invitation à la rêverie et la poésie. J'aime beaucoup son travail et l'élégance et la délicatesse de ses livres.



Akiko la courageuse est l'album que je préfère à la fois pour les illustrations qui me font moi-même partir dans une balade imaginaire, mais aussi pour le thème abordé, le courage. Comme souvent, les textes sont simples mais les mots bien choisis entraînent à développer l'histoire, à commenter le texte.



Ce livre est une belle manière d'évoquer les émotions de la peur, de l'inconnu, et de découvrir la beauté insoupçonnée autour de nous. Ce livre est également un hymne à la nature et les animaux, à travers une petite fille bienveillante et sensible.



Enfin, on apprécie ces paysages d'hiver dans une nature japonaise d'une grande sensibilité. C'est un régal !


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Akiko, petite fille japonaise, vit au pied du Mont Fuji. Un matin, à son réveil, elle découvre par la fenêtre d'étranges traces laissées dans la neige. Elle s'habille en toute hâte, se munit de son sabre et décide de partir élucider ce mystère. Il ne vous reste donc plus qu'à la suivre au gré de ses découvertes.Bienvenue au pays des surprises et de la poésie.
Lien : http://lewebpedagogique.com/..

A qui donc sont ces traces dans la neige ? Akiko la petite japonaise s'enfonce dans la forêt. Qui va-t-elle rencontrer ?

Un joli album, tout en délicatesse.

Un album de grande délicatesse

La petite histoire



Akiko est une petite fille japonaise qui vit au pied du mont Fuji. Avide de curiosité et d'aventures, elle va, non sans une certaine appréhension, se lancer dans une aventure qui lui apprendra à ne pas faire demi-tour au premier obstacle venu, à défier les dangers, à maîtriser ses peurs. Elle verra qu'au bout du chemin l'attendent une belle surprise et un immense honneur.

Ce que j'ai pensé de cet album...

Album-conte initiatique qui annonce la fin de l'hiver et l'arrivée du printemps aux illustrations toujours aussi dynamiques de Guilloppé.
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