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Citations de Ariella Papa (14)


Tab arrive, un gâteau au chocolat de sa confection dans les mains. Immangeable, découvrons-nous au dessert. Ça me réconforte. Ma mère et
moi ne sommes pas les seules à louper les recettes les plus simples.
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Les margaritas rendent mélancoliques. Comme les violons russes.
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Mais la vie est ainsi : un coup en haut, un coup en bas. C'est une balançoire cruelle.
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Je songe que ça doit être vraiment agréable de se savoir aimée... avoir un admirateur secret vous remonte forcément le moral : on se sent, prête à conquérir le monde.
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Vendredi soir, Jamie m'a invitée à dîner. Comme Raj travaillait tard, je savais que nous serions que toutes les deux. Inutile de me soucier de mon apparence pour je ne sais quel type avec qui elle aurait voulu me caser. Mince. Si je voulais ressortir un jour avec un mec et épiler autre chose que mes sourcils, il fallait que je change d'état d'esprit.
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C'est dur de perdre ses illusions.
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Mon père regarde ma mère, avec, dans les yeux, une tendresse empreinte de douleur qui me bouleverse.
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Prononcer des mots aussi saugrenus que "panels de téléspectateurs" a-t-il endommagé mon cerveau?
_Je n'en doute pas, mais nous devrions discuter de l'éventualité de réaliser l'animation en Corée.
_Quoi?
_Ils feraient peut-être mieux.
_Mais Janice, et John _et moi, d'ailleurs_ faisons du bon boulot.
_Réaliser l'animation en Corée pourrait se révéler un choix économique plus sage.
_Ou exploser le budget Chronopost.
_ça a très bien marché lorsque je travaillais à l'international.
J'ai envie de crier à cette naine que nous ne créons pas des pubs pour des fonds mutualistes internationaux, nous sommes une chaine de télé pour mômes. De toute évidence, elle ne connait rien aux programmes pour la jeunesse.
_Les Coréens réalisent des animations très sexy.
Je suis parcourue des pieds à la tête par ce que Tommy qualifie de "frisson hérisson". Un frisson qui se déclenche au son d'un mot qui le hérisse. Je comprends soudain la pleine signification du verbe hérisser. Qui emploie le mot sexy à propos d'un dessin animé destiné aux gamines?
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Tab adore ses escarpins italiens. L'insulte lui fait manifestement l'effet d'une gifle. Un affront pareil, MTV ou pas, elle ne peut le laisser passer.
Elle se jette sur les mannequins et s'ensuit une mêlée confuse où les verres se fracassent sur le sol, où résonnent des coups sourds, ceux-ci pour la plupart décochés par Rosie qui est venue prêter main-forte à Tabitha...
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Pendant un moment, je me consacre avec délectation aux sushis. Jusqu'à ce que je me rende compte que Zeke me fixe. Vite, j'essuie mes lèvres. Les baguettes, ça n'est pas l'idéal pour se nourrir avec élégance.

—   Je t'en prie, Eve, continue à manger. C'est un plaisir de te regarder. Le va-et-vient de ta langue, c'est si érotique que...

—   Peut-être ferais-tu mieux de manger aussi.

—   Oh, Eve... j'aurais l'impression de me masturber.

Je manque m'étouffer. Je tousse. Suis à deux doigts de recracher mon morceau de sushi. La serveuse m'apporte de l'eau et Zeke me tape gentiment dans le dos. Finalement, je me reprends et me recompose une expression sereine. Mais j'ai du mal à croire ce que mes oreilles ont entendu.

—   Eve, je ne voulais pas te choquer ! Vraiment. Je suis désolé. Mais je n'y peux rien : je suis quelqu'un de très, très sexuel. Pardonne-moi et détends-toi.

—   Je suis détendue.

Je ponctue mon affirmation en tendant mon verre. Du saké,
vite !
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Il est vrai que je ne le connaissais que depuis quelques
minutes. Réfléchir aux prénoms de nos futurs enfants était donc prématuré
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Ma dépression, je me l'offre, finalement.
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La sonnerie d'un téléphone me déchire les tympans. Oh, Mon Dieu... ma pauvre tête... J'ai si mal que je n'arrive pas à ouvrir les yeux. A tâtons, je cherche la saleté d'appareil et je décroche. Ma langue... de quoi est-elle faite ? De carton mouillé ? Impossible de prononcer autre chose que «a...ô » !

—   Bonjour, mademoiselle Vitali !

Hein ? Qui crie donc comme ça ? Qui ose me réveiller en fanfare ? Je me redresse sur le lit et ouvre les yeux. Par exemple ! Je suis en soutien-gorge et petite culotte ! Pourquoi n'ai-je pas mis mon pyjama et... Ça alors... ces draps... ce ne sont pas les miens...
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—  Bien joué. Tu avais encore un peu de lucidité. Donc une fois que tu as été rassurée, tu as entrepris de le déshabiller.

—  Pas exactement. Je suis allée aux toilettes. A cause du saké... Bref, j'ai fait ce que j'avais à faire.

—  Certaines contingences sont incontournables...

—  N'est-ce pas ? Après, je reviens dans le salon. Les lumières sont tamisées, le machin-chose qui charge trente CD en même temps est en marche, j'entends une chanson du genre : « Faites l'amour à la femme de vos rêves », et je le vois, lui, sur le canapé, en caleçon Calvin Klein, tu sais, celui avec une longue ouverture devant... Une ouverture qui béait, par laquelle Guignol se frayait un chemin...
—  Oh ! là, là... Juste la tête, ou tout entier ?

—  Euh... Disons que ce que j'en apercevais avait atteint une croissance suffisante pour être d'ores et déjà emballé. Mais... ce n'était pas ce que je regardais.

—  Hein ? Et pourquoi donc ?

—  Des poils. Il a des poils partout. Même sur les épaules.

—   Grands dieux ! C'est incroyable !
.
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— Il s’en est fallu d’un cheveu ! Sans son regard rapide, sans ses yeux de lynx, XXX XXXX, en ce moment, ne serait peut-être plus de ce monde ! Quel désastre pour l’humanité ! Sans parler de vous, Hastings ! Qu’auriez-vous fait sans moi dans la vie, mon pauvre ami ? Je vous félicite de m’avoir encore à vos côtés ! Vous-même d’ailleurs, auriez pu être tué. Mais cela, au moins, ce ne serait pas un deuil national ! Héros de Agatha Christie

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