Audrey Parily

Emballée par le tome 1, j’ai plongé avec délice dans le 2… Au début les difficultés relationnelles entre Isabelle et Maxim m’amusaient, et cela était renforcé par l’humour décapant d’Isabelle. Puis, je me suis aperçue que rien n’avançait, ils se renvoient la balle réciproquement en s’accusant des mêmes torts… et aucun ne comprend, aucun ne se remet en question ! C’était lassant et la fin m’a beaucoup déçue. Je ne lirai pas le dernier tome.

D’abord, je dirais que je trouve difficile d’être totalement objective puisque je lis – discrètement – le blogue de l’auteure depuis pratiquement le début, mais bon, allons-y. D’abord, j’ai trouvé l’idée de base très intéressante, aller un peu plus loin que la chick-lit habituelle (je sais que le personnage n’aime pas ce terme, mais de mon côté, je ne le trouve pas péjoratif), et avoir comme cadre de base une expatriée au Québec, ça donne une autre dimension que la traditionnelle histoire d’amour de base. Par contre, j’ai trouvé par moment qu’on essayait trop de mettre l’accent sur l’environnement, plutôt que sur l’histoire. Les nombreuses références à la ville de Québec me faisaient sourire, surtout que j’y ai habité huit mois, mais à la longue, ça me donnait l’impression de lourdeur, comme si en voulant rendre ça très ancré dans le réel, on perdait le fil et on tombait dans la promotion de la ville (par exemple, la scène sur le restaurant le Cochon Dingue, alors qu’ils vont sur celui sur la rue Maguire, mais que les autres avaient essayé celui dans le Vieux-Québec).



MERCI de ne pas avoir mis de sacres dans la bouche des personnages québécois. C’est quelque chose que je n’aime pas lire quand ce n’est pas justifié et ça donne l’impression que tout le monde sacre, ce qui n’est pas le cas. J’ai bien apprécié que les personnages, peu importe leur lieu d’origine, aient un bon vocabulaire.



Finalement, j’ai eu du mal à départager l’auteure de l’héroïne. Je n’ai pu m’empêcher, au cours de ma lecture, de penser que c’était plus autobiographique que voulu. Surtout par le fait qu’Isa utilise plusieurs expressions qu’on peut lire sur le blogue d’Audrey Parily. Je sais, c’est normal, mais c’est la première fois que je suis confrontée à cette situation. Peut-être qu’il faudrait que j’évite de lire les blogues des auteurs dont je veux lire l’œuvre…



Je me relis, et je trouve que je suis plutôt négative, pourtant, j’ai lu en une seule journée et je veux à lire la suite!
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oufff ca ma prit la moitie du livre avant dembarquer dhabitude je lis plus rapidement que cela . cest peu etre juste moi mais ... jai eu de la misere a accrocher .

donc en resume jai aime la 2ime moitié ca avancait bien cette partie la . peut-être es ce que moi ?



alors jen lierai un autre de lauteur

Je ne suis pas une grande habituée des romans de comédie romantique même si j'aime en lire de temps à autre. Par contre, je n'hésiterais pas à recommander cette série à une personne qui veut lire une histoire de ce genre. Cette trilogie qui m'a beaucoup plu. Ça fait déjà deux printemps que j'attends un tome d'Audrey Parily en même temps que j'attends l'été. C'est léger et parfait pour la saison.



Il y a encore dans ce tome quelques petits détails qui m'ont déplus mais dans l'ensemble j'ai eu beaucoup de plaisir à lire ce dernier tome. Les chapitres "Dans la tête de Maxim" n'ont pas encore réussis à me convaincre. C'est peut-être parce que, pour moi, les réflexions de ce personnage masculin ressemblaient trop à celles d'Isabelle. J'avais du mal à dissocier ces parties du reste du texte. Pauvre Maxim, il donnait toujours raison à Isabelle !



À part ceci, je considère que ce tome clôt de belle façon l'histoire d'Isabelle Sirel. Les personnages masculins sont très charmants et les péripéties nous distraient à coup sûr ! Je me répète probablement mais, sur mon patio de piscine, c'était une lecture idéale ! En plus, la fin est semblable à celle que j'avais imaginée et souhaitée. Au fond, je "savais" que ça se terminerait ainsi. Je n'ai pas eu de grande surprise mais n'est-ce pas justement une des caractéristiques des comédies romantiques que d'offrir aux lectrices la fin qu'elles veulent ?

J’ai lu la suite aussi rapidement que le premier, et avec autant de plaisir. Même si les parallèles avec l’auteure ont été aussi fréquents dans ma tête – sinon plus puisque Isa lance un livre – ils m’ont moins dérangée dans ma lecture. L’intrigue de la fin est plus forte que dans le premier, ce qui me m’obligera – oh, quelle affreuse obligation – de lire la fin de cette trilogie. J’ai trouvé l’histoire un peu plus fournie, surtout avec la publication du livre, bien que j’aie trouvé par moment qu’Isa tombait beaucoup trop facilement dans l’apitoiement. D’ailleurs, la petite voix… Elle m’avait agacée dans le premier livre, mais dans celui-ci, je n’en ai pas vu l’utilité. Chaque fois que je voyais venir un paragraphe en italique, j’accélérais ma lecture pour arriver au vif du sujet.



J’ai tout de même hâte de voir comment se termineront les aventures d’Isa, en sol québécois ou pas?
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Ce livre est simplement un ramassis de page pour prouver que la france est meilleure que le quebec. Arriver à la page 30 l’autrice avait déjà critiqué 20 fois le Québec de façon négative. J’ai l’impression qu’elle nous prend pour des incompétents. Je n’avais jamais faite de critiques négatives mais voilà que j’en fait une. Le personnage principal est focalisé sur le fait que la france est meilleure et passe sont temps à essayer de le prouver. L’auteur nous laisse des commentaire en bas de pages comme si on ne pouvais pas comprendre ce qu’est le foot français. Isabelle est aigrie et est mécontente que sa relation avec samuel n’avance pas mais pendant des semaine ne fessais rien d’autre que attendre sont appel. Et puis qui va au cegep à presque 30 ans? Je suis extrêmement déçu de ma lecture.

Quelle auto-dérision, cette Isa ! Le ton est donné et réjouissant. J’aime quand elle dit cash ce qu’elle pense du monde adulte, du « bon travail » et des rêves !! J’ai craint au début qu’Isa ne fasse que se plaindre des hommes, mais le sujet ouvre une belle réflexion ensuite. Il est d’ailleurs beaucoup plus question de relations homme-femme que de trouver sa place professionnelle (les tomes suivants équilibreront-ils la balance ?) Seul bémol, les dialogues ne précisent jamais qui parle et je m’y suis un peu perdue. La bonne surprise est que l’histoire ne s’arrête pas là : je n’ai plus qu’à (enfin) acheter une liseuse pour dévorer les ebooks suivants !

J'ai vraiment aimé la finale de cette trilogie ! Je dois avouer que ça termine comme j'en avais envie et que j'ai trouvé ça plutôt prévisible, bien que j'aie parfois eu des doutes ... Mais bon, c'est probablement mon préféré des trois livres de cette trilogie.