AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Critiques de Ayu Watanabe (154)
Classer par:   Titre   Date   Les plus appréciées


L-DK, tome 1

Je ne m’étais pas encore penché sur ce titre car il y beaucoup de tomes parus, et parfois ça me fait un peu peur. Mais bon, d’un autre coté, je suis content car si la série me plait, je sais que je m’engage sur de nombreuses heures de lectures…donc je cède facilement^^



L-DK est un shôjo tout ce qu’il y’a de plus classique, avec ses situations parfois capillotractées mais très drôle. On retrouve un genre déjà-vu maintes et maintes fois dans les shôjo : une relation entre un homme et une femme que tout oppose.



Et ici il est vraiment question de cohabitation car nos deux protagonistes se retrouvent vraiment colocataires, pour une raison qui est la moins crédible du monde.



Alors, vous vous demandez sans doute pourquoi vous vous intéresseriez à ce manga qui n’a pourtant rien de plus que les autres ? Et bien parce qu’il n’a également rien de moins et que si vous avez laissé leur chance aux autre, alors celui-ci devrait vous plaire.



Et puis, à titre personnel je l’ai trouvé un peu plus adulte que les autres shôjo. Bon on n’est pas dans un josei non plus, mais si on le compare à des shôjo plus mignons, je dirais que L-DK est un peu plus mature. Il y a quelques scènes qui dégagent une petite atmosphère érotique, des petits sous-entendus et des situations cocasses qui font que ce titre est un cran au dessus.



Alors ne vous attendez pas non plus à quelque chose de révolutionnaire, c’est du archi-classique, mais cela a le mérite d’être très bien fait. C’est une constante dans les titres de Pika. Par rapport à d’autres maisons d’éditions ils choisissent souvent de titres forts qui ont ce truc en plus. Il n’y a qu’a voir L’attaque des titans, Seven Deadly Sins, ou encore La maison du soleil (qui lui est dans la même veine que L-DK d’ailleurs).



Du coté des dessins c’est très fluide, parfaitement bien découpé, la lecture se fait agréablement et on s’attache rapidement aux quelques personnages, qu’il soient principaux ou secondaires. Ce n’est certes qu’un premier tome, mais je pense que si la série reste constante, on tient là un très bon shôjo. À l’heure ou j’ai écris ces lignes je n’avais lu que le tome 1, depuis, j’ai lu cinq tomes supplémentaires, et je confirme que c’est un très bon titre.



Un dernier mot sur édition de Pika, qui pour une fois est correcte. Je dis bien pour une fois car vous savez que je joue souvent de malchance avec leurs titres dans lesquels je trouve tout le temps des coquilles ou erreur d’impression. Cette fois-ci il n’y en avait pas, alors je tiens à le souligner 😉


Lien : https://chezxander.wordpress..
Commenter  J’apprécie          90
Hug me, please, tome 1

Le nom d'Ayu Watanabe ne devrait pas être inconnu pour les amateurs de romances lycéennes, elle a commis autrefois la série fleuve L-DK sur deux jeunes lycéens qui allaient cohabiter et plus. Elle revient cette fois avec un sujet pas si éloigné que ça : un lycéen qui n'arrive à dormir que dans les bras d'une de ses camarades !



Soyons franc, le sujet de départ de Hug me, please est totalement improbable et hautement barré. Comment l'autrice a-t-elle pu avoir une telle idée ? Je ne sais pas mais c'est tellement saugrenu que cela a retenu mon attention, donc en soi c'est réussi pour cela !



Nous allons à la rencontre, dans ce premier tome, de Sora, aînée d'une famille de quatre enfants dont la mère est décédée, et qui doit donc gérer ses deux petits frères de 4 ans. Pour arrondir ses fins de mois, en plus, elle travaille pour une appli de service à la personne comme nounou et/ou femme de ménage. Mais un jour, alors qu'elle est fatiguée, elle va se reposer à l'infirmerie, et Arashi, un jeune prodige du piano qui a du mal à dormir, fini par se reposer dans ses bras qu'il trouve bien confortable. Ayant trouvé la solution à ses insomnies, il décide de ne plus la lâcher !



Comme je le disais, le scénario est totalement saugrenu, hautement improbable et pourtant il fonctionne. On trouve un réel plaisir à suivre les débuts de la relation de Sora et Arashi car tous deux sont des personnages profondément douces et gentilles. L'autrice n'en fait pas des tonnes, elle n'en a pas besoin avec un tel départ, il lui suffit de glisser de temps en temps une petite réplique rappelant les envies du jeune homme pour grandement nous amuser. Ainsi, c'est mignon, quoique gênant, de voir Arashi jouer sur le bon coeur et la corde sensible de Sora pour l'amener à travailler pour lui, puis à l'aider à s'endormir.



Au-delà de l'originalité, j'ai trouvé sympathique de parler du sommeil et des troubles associés. On n'en parle pas assez alors que c'est l'une des composantes essentielles de notre vie. Ici, j'ai trouvé mignon qu'on couple cela aux bras "maternels" de Sora ainsi qu'aux comptines qu'on pouvait nous chanter dans notre enfance et qui ont un effet apaisant sur Arashi, lui-même pianiste, ce qui a des effets sur sa propre musique. On sent combien l'esprit est important et le soin qu'il faut lui apporter avec des gens peut-être plus doux et serein que ce qu'il connaît. J'espère que le sujet de la santé mentale (stress, angoisses...) sera ainsi abordé par la suite.



Pour le reste, Ayu Watanabe fait du Ayu Watanabe. On retrouve son coup  de crayon sobre et efficace, totalement dans les codes du Bessatsu/Besufure où elle a l'habitude d'être publiée. C'est efficace mais classique et sans originalité. Les personnages eux-mêmes sont assez lisses. Sora est une gentille grande soeur, une fille avec le coeur sur la main. Arashi est un doux beau gosse mystérieux, assez discret et doué en musique en prime. Il y a aussi malheureusement ce déséquilibre entre fille et garçon, où c'est la fille qui est maternelle et s'occupe des autres, et le garçon qui en profite. Dommage. Le scénario, en dehors de son point de départ, est assez prévisible dans les ressorts utilisés qui ne sont que des variantes de choses connues. Mais pour une série qui ne fera que 6 tomes, l'autrice avance déjà d'un bon pas.



Shojo au scénario improbable et saugrenu, Hug me please surprend par le sujet mis en avant par son autrice. Celle-ci, mangaka confirmée, mène bien sa barque et nous séduit avec ce sujet original et inattendu mais reprend aussi des recettes éculées pour mettre en scène des personnages classiques. Saura-t-elle sortir un peu de ce schéma dans les 5 tomes qui lui restent ou continuera-t-elle sur ce chemin déjà connu entre romance MxF assez classique et décor décalé ? Seul l'avenir et le sommeil de nos héros nous le dira !
Lien : https://lesblablasdetachan.w..
Commenter  J’apprécie          80
L-DK, tome 1

L’auteur joue sur une histoire qui peut paraître banale au premier abord. Cependant la manière de traiter cette histoire, en se focalisant particulièrement sur les traits de caractère de l’héroïne et en dévoilant peu à peu ceux du héros, enjolive et égaie le récit.



En effet, Ayu Watanabe use de cet aspect psychologique, nous montrant peu à peu la transformation des sentiments de l’héroïne face aux qualités cachées du héros (elles aussi dévoilées progressivement).



Mais le plus exceptionnel reste la manière dont ces qualités se dévoilent et ces émotions changent, dépendantes de situations particulièrement accrocheuses, un brin sexy et surtout cocasses.



Le dessin :



Le dessin met bien en valeur la féminité des personnages avec un trait simple, fin et épuré mais efficace à la façon Mangaka. Même le héros a évidemment quelques traits « féminins », ce qui le rend aussi beau.



Certaines émotions sont bien sur exagérées comme dans tout manga digne de ce nom.



Les trames de finition sont peut-être un peu trop présentes dans cette œuvre (il y a presque une trame à chaque dessin), par contre certaines sont particulièrement bien placées et mettent bien en relief le dessin.



Mais le surnombre de trame donne plutôt un rendu kitsch, allant bien avec le manga humoristique, mais dans le cas de cette romance, je le trouve plutôt exagéré.



A noter tout de même que les motifs de ces trames sont très « girly », et donnent cette sensibilité naïve et innocente très représentative du Shojo drama.



Les effets par contre, sont eux très réussis, comme par exemple un effet de flou/brouillé pour illustrer des souvenirs, ou bien un effet d’isolement des personnages comme s’ils étaient seuls au monde, ou bien cet effet où le temps semble s’être arrêté.

Très convaincant !



Enfin l’héroïne est souvent dessinée aussi de manière sexy et peut nourrir ainsi nombre de fantasmes (vu de mon côté macho…) ?? ;-) ??



Pour finir je constate un petit défaut, selon moi, où je trouve que les bulles prennent beaucoup trop de place, mais je pense que cela vient du manga en version originelle, et donc que sa traduction ne comblerait pas la surface allouée.



Le scénario et le découpage :



Cette œuvre est une romance, mais une romance où l’on ne s’ennuie pas.

Le scénario de ce tome 1, de la fille se retrouvant à cohabiter avec un garçon qu’elle déteste parce qu’il a refusé les avances de sa meilleure amie, parait basique pour les mœurs américano-européennes, mais certainement très coquin et tabou pour la discipline japonaise.



L’auteure illustre parfaitement la psychologie féminine en mettant en avant la pseudo loyauté amicale ou bien la jalousie accrue œuvrant en tant que catalyseur de méchanceté ou encore le besoin d’intimité propre à ces demoiselles… Mais à cela elle répond très bien aussi en illustrant la psychologie masculine avec des « je m’en foutisme », des jeux de taquins et de la provocation etc...



Le tout est donc très bien amené et le scénario avance de manière plutôt surprenante. Les situations mises en scène sont parfois très marrantes et permettent par-dessus tout de faire évoluer progressivement les sentiments des personnages au cours de l’histoire… exercice particulièrement difficile pour les auteurs de BD.



Quand à la fin de ce tome... encore une déception. Celle-ci était courue d'avance mais elle présage d'une suite certainement truculente.



Enfin pour finir, et comme dans de nombreux mangas, j’ai beaucoup apprécié aussi les quelques pages de supplément explicatif sur la manière de créer son manga.



En résumé, ce tome met bien en place des éléments clés pour la suite de la série.



Il est très bien illustré avec quelques exagérations par moment, mais toujours avec beaucoup d'humour.



Ciao,

Yann
Lien : http://www.7bd.fr/2015/03/l-..
Commenter  J’apprécie          70
L-DK, tome 9

Numéro vraiment long qui ne sert qu'à illustrer ce qu'on savait déjà: le père d'Aoi n'a pas une relation très saine avec sa fille. En effet, toute sa vie lui est consacrée: il s'entraîne et prend même des substances pour faire gonfler ses muscles dans l'espoir de défendre (à coups de poing) sa fille quand elle est en danger. C'est vraiment pathétique ça aussi. Quand le père n'est plus capable de défendre sa fille avec ses poings, c'est Shushei qui prend la relève et qui massacre ses assaillants: bravo! Quelle belle histoire d'amour! (ironie) Étrange conception de la famille et des relations amoureuses: ça ne passerait pas du tout ici comme histoire. Ah oui, et comme le brave garçon est capable de tabasser des crapules, il a maintenant le droit de demeurer avec Aoi, à condition qu'ils ne couchent pas ensemble avant leur diplôme...
Commenter  J’apprécie          60
L-DK, tome 4

J'ai passé le tome 3 sans le vouloir et force est de constater que je n'ai rien manqué, les personnages en sont encore au même point que lors du tome 2 en ce 4e tome. Disons que l'histoire n'avance pas très vite et que les personnages sont très stéréotypés. Je m'attendais à ce qu'on les connaisse un peu plus en profondeur, mais on demeure dans la même superficialité qu'au début de la série. C'est quand même amusant, mais ça ne le restera pas pour encore 20 tomes si ça ne change pas!
Commenter  J’apprécie          60
L-DK, tome 8

Après sept tomes de tergiversations et d’imbroglio inutiles, Shusei avoue enfin à Aoi qu’il partage ses sentiments amoureux. Gros plan sur le passé ultra dramatique (mais zéro crédible) de Shusei. Puis, de manière impromptue, le père d’Aoi décide tout à coup qu’il est primordial de rendre visite à sa fille qui vit seule. Aoi cherche à lui mentir avec une mise en scène abracadabrante faisant passer Shusei pour son professeur. Ça peut peut-être être drôle pour des lecteurs adolescents.
Commenter  J’apprécie          50
L-DK, tome 2

Suite amusante du premier tome, les personnages sont encore aussi mal à l'aise l'un avec l'autre, mais désirent poursuivre cette cohabitation imprévue. Beaucoup de leurs comportements et de leurs réactions m'étonne, car je ne croyais pas la société japonaise encore à ce stade pour la cohabitation homme/femme.
Commenter  J’apprécie          50
L-DK, tome 1

Une comédie romantique school life qui fait très cliché. La romance naît d'une colocation imprévue. A noter une édition assez soignée malgré un format assez réduit. Le Prince du lycée n'est d'ailleurs pas très galant avec la gente féminine qu'il juge par son aspect. Mais bon, par la suite, on montre de lui un côté assez sympa. J'ai trouvé la construction de ce personnage assez superficielle.



Il y a des moments assez sympas mais c'est une série beaucoup trop longue qui paraît alors interminable. D'ailleurs, la plupart des scènes apparaissent comme assez statiques.



Bref, ce n'est pas le meilleur shojo mais pas le pire non plus. Bref, je n'ai pas trouvé la passion avec L♥DK.
Commenter  J’apprécie          50
Hug me, please, tome 5

J'ai trouvé que c'était un peu n'importe quoi dans ce cinquième tome ! D'accord, Arashi et Sora sont peut-être allés vite en besogne en parlant si vite de mariage (alors qu'ils ne se connaissaient que depuis peu), mais de là à redevenir de simples personnes qui s'aiment, mais qui ne passent plus de temps ensemble !!! WHAT !?! 😓😮‍💨 Pourquoi Sora ne peut-elle pas être la petite amie d'Arashi ? Parce qu'elle doit s'occuper de ses petits frères à la place de leur défunte mère… Et alors ? L'un n'empêche pas l'autre me semble-t-il... Là, ils ne sont même plus en couple ! Je comprends qu'elle puisse se sentir coupable vis-à-vis de ses petits frères, mais c'est un peu trop ! C'est comme si elle ne voyait plus leur relation que comme strictement professionnelle (si on peut le dire ainsi 🤔).





Bref, j'espère qu'elle va se rendre compte de la bêtise commise en s'éloignant d'Arashi, et qu'elle va comprendre qu'à deux, ils sont plus forts et pourraient partager leurs problèmes… 🙏🏻🤞🏻
Commenter  J’apprécie          40
Hug me, please, tome 1

Vous le savez, j’en ai déjà beaucoup parlé ici mais de base je n’étais vraiment pas fan des shojos. Je n’en lisais jamais et je voulais pas en lire parce que ça ne m’intéressait pas le moins du monde. Comme on dit, il n’y a que les cons qui ne changent pas d’avis. Petit à petit, je me suis intéressée à ce genre, j’ai un peu farfouiller sur Booknode, j’ai fais ma fouine puis j’ai repéré quelques titres puis je me suis laissée tenter. J’en ai lus quelqu’uns qui m’ont finalement beaucoup plu. Depuis j’en lis de plus en plus et j’apprécie tellement mes lectures. Je me suis laissée tenter par cette nouveauté, le résumé était tellement intriguant j’ai eu envie de découvrir cette histoire. Ma lecture a été merveilleuse!



Dans ce premier tome, on va suivre Sora, qui est l’aînée d’une famille de quatre enfants et qui a toujours aidé son père à coucher ses petits frères. Les berceuses, ça la connaît, et ses services de baby-sitter sont très demandés. Un jour, elle s’endort à l’infirmerie et a le choc de sa vie lorsqu’elle se réveille dans les bras d’Arashi, le garçon le plus populaire du lycée. Mais loin de s’excuser de s’être allongé près d’elle, celui-ci lui avoue être insomniaque et lui propose de la payer pour qu’elle l’aide à s’endormir !



J’ai beaucoup aimé cette histoire que j’ai trouvé assez originale pour le coup. Ce n’est pas souvent que l’on voit ce genre d’histoire, encore moins de quelle façon elle commence. Ça commence sur les chapeaux de roues pour le coup. J’ai adoré le personnage de Sora. Cette jeune fille est très douée pour endormir les enfants. Elle s’occupe d’endormir ses frères. Mais elle a même un job de baby sitter et elle aide énormément d’enfants à s’endormir. Je l’ai trouvé hyper touchante et beaucoup trop mignonne. Mais j’ai aussi adoré le personnage d’Arashi. C’est une jeune homme très mystérieux pour le coup. On ne sait pas grand chose de lui sauf qu’il ne dort pas beaucoup et qu’il arrive à dormir dans les bras de Sora. Par un concours de circonstances, il a fini par s’endormir dans ses bras à l’infirmerie. Il s’est vite rendue compte qu’il avait besoin d’elle pour mieux dormir. J’ai beaucoup aimé la touche d’humour dans l’histoire, le fait que lui ne voit pas de problème à dormir dans les bras de Sora alors que forcément ça peut paraître étrange aux yeux des autres. La pauvres Sora ne sait pas trop où se mettre d’ailleurs. Je meurs d’impatience de lire la suite maintenant, je sens que la relation entre les deux va être intéressante à suivre.



Un premier tome qui donne clairement envie de lire la suite. J’ai tellement aimé que je l’ai dévoré en un rien de temps. Il est tellement difficile à lâcher. J’adore les personnages, que ce soit Sora ou Arashi, les deux sont vraiment géniaux. J’adore l’histoire aussi que je trouve vraiment originale pour le coup. Impatiente de découvrir ce que la suite va nous réserver. Je me demande bien ce que va être la suite de la relation entre les deux!
Lien : https://enairolf.home.blog/2..
Commenter  J’apprécie          40
L-DK, tome 7

Ce tome inclut un semblant de triangle amoureux lorsqu’Aoi croit donner une chance au gentil Wataru pour essayer d’oublier Shusei, mais sans succès. Évidemment, Shusei joue les martyrs en fuyant Aoi parce qu’elle se rapproche de son rival, mais il ne peut s’empêcher d’être jaloux et de s’inquiéter pour elle. Wataru, de son côté, est le gentil gars qui n’aura aucune chance puisqu’il n’a pas ce qu’il faut pour s’imposer (c’est-à-dire un air de victime, de l’indifférence et des répliques quasi amoureuses au bon moment pour ramener sa proie). C’est du déjà-vu!
Commenter  J’apprécie          40
L-DK, tome 1

L'histoire commence de façon assez banale: l’héroïne se retrouve à devoir partager son appartement avec le garçon le plus beau du lycée sur lequel toutes les filles craquent - sauf l’héroïne, bien entendu. Mais l'auteur aura su développer le caractère de ses personnages et leur donner plus de profondeur qu'on aurait pu le croire au début.



On découvre au fil de l'histoire que, malgré les apparences, chacun des personnages renferme une part d'ombre au fond de lui.



L'auteur aurait pu faire prendre bien des directions à l'histoire. Elle a choisi cependant de se concentrer sur les personnages principaux et de les mettre en scène dans différentes situations plus ou moins cocasses.



On voit peu à peu l'aversion qu'éprouve Aoi envers Shûsei se changer en amour.



Mais au lieu de s'arrêter sur ce seul point, on comprend petit à petit que derrière les sourires et les taquineries de Shûsei, se cache un garçon profondément blessé et devenu complètement hermétique à l'amour.



Aoi, quant à elle, malgré ses grands airs, est une grande romantique et une fois qu'elle sera tombée amoureuse de Shûsei, elle ne pourra plus faire marche arrière, et ce, même si celui-ci se montre cruel envers elle.



J'ajouterai cependant que le côté négatif de cette histoire est le fait que l'auteur ait complètement changé la dynamique de l'histoire en cours de route. En effet, l'espèce de jeu qui s'était instauré entre eux avec d'un côté Shûsei qui passait son temps à taquiner Aoi (laissant le lecteur dans le flou concernant ses sentiments réels) et de l'autre côté Aoi qui refusait catégoriquement de se laisser manipuler par lui, a complètement disparu dans les derniers volumes.



L'histoire prend alors une direction complètement différente ce qui pourrait décevoir certains lecteurs mais ravir les adeptes des triangles amoureux et des héroïnes acharnées.



Conclusion:



Sur un fond de comédie, Watanabe Ayu nous montre comment, malgré les multiples blessures qu'il peut subir, l'être humain peut continuer à aimer et à aller de l'avant grâce à cela.




Lien : http://sumire-chroniques.ove..
Commenter  J’apprécie          40
Hug me, please, tome 4

Le mariage ? Si rapidement ? Pas question ! À moins que…



Après l'avoir demandée une première fois en mariage, et suite à son refus, Arashi ne baisse pas les bras, et demande de nouveau Sora en mariage ! Cette dernière, sous le coup de l'émotion, accepte ! Mais n'est-ce pas précipité ? Après tout, ils ne sortent officiellement ensemble que depuis peu, et ne se connaissent pas vraiment… Pourtant, ils sont sûrs d'une chose : ils s'aiment tellement qu'ils ne veulent pas se quitter !

Alors Arashi fera une demande surprenante à Sora…



Dans le même temps, nous apprenons un secret de famille qui pourrait venir perturber la vie amoureuse de ces deux tourtereaux…
Commenter  J’apprécie          30
Hug me, please, tome 4

Le début au lycée est assez agaçant, le comportement des autres autour de Arashi est très limite, comme beaucoup de fois. Sora a bien du mal à aller lui parler là-bas, à se sentir légitime. D'ailleurs, oui nous avons la suite directe en début de tome et donc la réponse à la question d'Arashi.

La suite est beaucoup plus explosive tant sur leur couple, ce duo qu'ils forment, ces moments partagés, les suggestions, que sur certaines révélations, y compris une, et pas des moindres, dans le bonus de fin.

C'est magique ces moments au piano. Ils nous subjuguent alors que nous ne pouvons même pas entendre le son s'échapper.

Des moments chauds et tendres vous feront fondre, d'autres vous secoueront.

C'est aussi très beau et très touchant quand Sora évoque ses parents et leur amour.
Commenter  J’apprécie          30
Hug me, please, tome 1

Ayu Watanabe, c’est la mangaka de Men’s life, entre autre, du coup, j’étais assez curieuse de découvrir ce nouveau titre dessiné par ses soins. Bien, déjà, la couverture du premier tome illustre presque à merveille la teneur de l’histoire.



Sora, notre héroïne va se retrouver dans une situation pour les moins embarrassantes suite à un quiproquo dans l’infirmerie avec Arashi, l’un des plus beaux gosses de son lycée.



On ne va pas se mentir, l’histoire est carrément capillotractée. La meuf se retrouve à se faire payer par son camarade de classe pour l’endormir avec de jolies berceuses. Celles-là mêmes qu’elle chante à ses petits frères au moment du coucher. Comprenant que ce n’est pas trop sérieux, Sora décide de devenir, en quelque sorte, sa bonne à tout faire.



Arashi a des problèmes pour trouver le sommeil et seule Sora semble capable de l’emmener entre les bras de Morphée. Je vous le donne en mille, on va se retrouver dans des situations hyper clichées et déjà vues en shôjo : le coup du gars torse-poils, les câlins intempestifs jusqu’au dénouement de ce premier tome qui m’a fait un peu lever les yeux au ciel (et ricané).



Si la romance entre les deux n’est pas encore à l’ordre du jour, je suis tout de même curieuse de savoir comment leur relation va évoluer. Arashi reste un peu trop en surface pour moi et Sora, trop « déjà -vu » dans sa façon de faire.



Si je n’ai pas boudé mon plaisir, j’admets que pour l’instant, l’histoire est assez tirée par les cheveux, mais a le mérite d’être amusante. On va dire que le pitch de départ n’est pas banal. Je suis curieuse donc quant à la suite. Niveau dessin, ça reste simple et classique, mais ça marche bien avec moi.



Bref. J’ai passé un moment sympa, sans être inoubliable, ce premier tome a eu le mérite de me faire sourire.
Lien : https://songedunenuitdete.co..
Commenter  J’apprécie          30
L-DK, tome 5

Dans ce tome, c'est plutôt pathétique de voir à quel point Sushei joue avec les sentiments d'Aoi. C'est vraiment une relation tordue qu'entretiennent les deux personnages. Ils ont beau être jeunes, ils vivent déjà une relation toxique qui est de moins en moins crédible. Concernant Aoi, on se demande comment une jeune fille aussi naïve et peu dégourdie peut bien faire pour demeurer seule en appartement. Ça n'a pas vraiment de sens.
Commenter  J’apprécie          30
L-DK, tome 1

Histoire d'amour de deux adolescents que tout oppose. Entre deux prises de bec, ils développent des sentiments l'un pour l'autre, malgré leurs réticences au départ. Une cohabitation forcée des deux voisins d'appartement créera une proximité et des situations permettant une connaissance plus rapide de la personnalité de l'un et de l'autre. Les adolescentes vont certainement adoré ce manga.
Commenter  J’apprécie          30
Men's life, tome 1

Ayant plutôt bien aimé L-DK (surtout les premiers tomes, je m'en suis un peu lassée sur la fin), j'ai eu envie de découvrir ce nouveau titre de Ayu Watanabe.

C'est le scénario classique de la fille qui se fait passer pour un garçon/pour son jumeau, on y retrouve tous les clichés liés à ce genre de situation. Sauf que pour une fois ça se passe dans un lycée mixte et pas uniquement masculin ; et que en plus le personnage masculin est déjà connu : il a des amis, il est dans un club... Ce qui me rend du coup plus sceptique : comment les autres peuvent croire que c'est la même personne alors que Mio agit de façon totalement différente de son frère Yûta ? Son côté introverti ressort beaucoup trop alors que son frère est très extraverti, et tout le monde se laisse berner O.o A la limite je comprends pour les membres du club de volley s'ils ne se connaissaient pas très bien, mais les meilleurs amis de Yûta quand même ! (Je suis sûre que le bestfriend est au courant, c'est pas possible autrement xD)

J'ai eu un peu de mal avec le personnage de Mio, j'ai du mal avec les personnages trop introvertis (sans doute parce que je m'identifie à eux sur certains aspects...). La seule chose que j'apprécie chez elle pour le moment, c'est le fait qu'elle écoute une émission de radio bizarre et y participe, c'est un petit détail assez sympa (et comme par hasard le lead masculin écoute la même radio :D). J'attends beaucoup de voir son évolution...

J'ai lu quelques mangas avec ce type de scénario "je me fais passer pour un garçon", et je trouve celui-ci ne se démarque pas tant que ça. Je continuerai à le lire parce que j'aime bien le style de la mangaka et qu'il ne comportera que 4 tomes.



Petit bonus L-DK à la fin, c'est sympa pour les fans du manga, et pour ceux qui ne connaissent pas, ça pourrait leur donner envie de découvrir ce titre.
Commenter  J’apprécie          30
L-DK, tome 1

Aoi vit toute seule dans son appartement et découvre que son nouveau voisin est le garçon qui a rejeté sa meilleure amie mais aussi le plus populaire du lycée. Par un concours de circonstances, Aoi va devoir vivre avec ce garçon qu'elle trouve insupportable...



J'ai eu un gros coup de cœur pour ce manga ! Enfin un manga où il se passe des choses et où on attend pas trente ans pour qu'il y ait un rapprochement entre les deux héros. J'aime Aoi qui est une fille qui ne se laisse pas faire mais aussi Shûsei qui n'est pas aussi imbuvable qu'il le paraît... J'ai hâte de connaître la suite !
Commenter  J’apprécie          30
L-DK, tome 22

La mangaka continue sur sa lancée et s'attache cette fois à démêler les fils de l'intrigue autour de Shûsei et de sa famille. On se retrouve donc avec un tome où on découvre qui sont vraiment Eri et Sôju. Leurs histoires de famille sont assez classiques, mais je n'avais pas prévu autant de retournement autour de Sôju et j'ai aimé redécouvrir l'histoire sous un autre oeil. Finalement celui-ci m'a plu et je suis contente de voir qu'on se dirige classiquement vers une réconciliation de la famille Kugayama et une reconnaissance des qualité d'Aoi, même si ça fait un peu trop "bonne petite épouse" lol
Lien : https://lesblablasdetachan.w..
Commenter  J’apprécie          30




Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Listes avec des livres de cet auteur
Lecteurs de Ayu Watanabe (424)Voir plus

Quiz Voir plus

Karine Giebel ou Barbara Abel

Je sais pas ?

Karine Giebel
Barbara Abel

10 questions
66 lecteurs ont répondu
Créer un quiz sur cet auteur

{* *}