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Citations de Barbara Taylor Bradford (283)


Je ne trouve pas les mots pour vous décrire ce que j'ai vécu, ma soeur. Le coup de foudre, la passion, les âmes soeurs, une seule âme en deux corps. Malheureusement, Walker et moi étions aussi destinés à être des "amants maudits". Nous avions tout, et tout à coup, plus rien. C'était fini. Il avait disparu. L'amour avait disparu.
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Les gens pensent ce qu'ils pensent, Claire, aiment qui ils aiment. On ne peut pas toujours contrôler nos sentiments. C'est ce qui fait de nous des êtres humains. Mais on peut contrôler notre comportement. Nos mots, nos faits et gestes, voilà ce qui est important.
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Il est si charmant qu’il pourrait vendre de la glace aux Eskimos, comme on dit. En l’occurrence, c’est plutôt un séducteur, voire un don Juan. Je le soupçonne aussi de… d’être un peu toqué. Je ne suis pas certain qu’il soit dangereux, remarque. Mais on ne sait jamais, hein ?
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Coucher avec elle faisait pour ainsi dire partie du contrat, mais c’était un faible prix à payer en regard des sommes qu’elle engageait.
Opportuniste par nature, Adam réussissait à merveille à dissimuler qu’il était froid et calculateur. Son charme, sa crédibilité et son physique faisaient tout passer.
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Tu comprends, tu es le plus merveilleux des amants. Je n’ai jamais rien vécu de tel ni connu quelqu’un comme toi. Tu sembles connaître le corps des femmes à la perfection et savoir tout ce qu’il faut faire pour l’exciter et lui donner du plaisir.
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Être un homme important, à l’abri de l’argent et du pouvoir, lui avait depuis tenu lieu d’objectif. À la force du poignet, il s’était arraché au ruisseau, à la misère, à la faim, à la violence et au mépris, par tous les moyens possibles.
Dans cet énorme effort, il s’était affermi et avait révélé son énergie naturelle. Puis l’ambition était entrée en action. Avec les années, sa détermination grandissant, il était devenu implacable, impitoyable. C’était ainsi qu’il avait atteint le succès.
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Il faut beaucoup de courage pour être… courageux.
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...elle ne devait pas sacrifier son mariage sur l’autel de l’ambition.
« Le mari d’abord, les affaires après, avait-elle énoncé. Et c’est déjà une chance d’avoir le choix....Certaines femmes ont dû apprendre à leurs dépens qu’une caisse enregistreuse ne tenait pas très chaud, la nuit, dans un lit.»
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Elle avait accepté parce qu’elle était suffisamment réaliste pour comprendre qu’elle n’avait pas le choix. Cette tradition familiale prévalait dans tous les châteaux ou presque. La comtesse devait tenir son rôle de maîtresse de maison. C’était à elle qu’il incombait d’établir les menus et de veiller à la bonne marche des choses domestiques. Elle assisterait également à toutes les activités de Little Skell. Elle inaugurerait les fêtes des trois villages, remettrait les prix dans les écoles et ferait partie du Women’s Institute.
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Elles étaient comme tissées ensemble à la manière d’une étoffe raffinée. Elles pensaient et disaient les mêmes choses.
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En 1945, lorsque la guerre s’était conclue par la victoire, l’euphorie avait gagné la population. Hélas, la fierté, le triomphe, le soulagement s’étaient bientôt dissipés et la situation avait commencé à pourrir. Le pays était ruiné. L’Empire britannique s’effritait et menaçait de disparaître. Tout le monde grognait et se plaignait, impatient de voir les choses s’arranger. Sauf qu’elles ne s’arrangeaient pas. Le pire, c’était que Churchill n’était plus aux affaires. Après la victoire du Parti travailliste aux élections, Clement Attlee avait été nommé Premier ministre.
Sans moyens, les conseils municipaux ne pouvaient rien faire. Faute d’argent et de matériaux, les trous laissés par les bombes, qui défiguraient toutes les grandes villes, restaient béants. Pour les mêmes raisons, les édifices en ruine n’étaient pas déblayés et il y avait des gravats partout. Ces rappels constants de la guerre accablaient les citoyens, d’autant qu’ils étaient toujours soumis au rationnement pour beaucoup d’aliments et d’articles d’utilité courante.
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Mon père proteste de son innocence. Il dit qu’elle se laisse aveugler par une jalousie absurde, qu’elle n’a aucune raison d’être jalouse. Il jure qu’il n’aime qu’elle et qu’il lui est fidèle. Il explique avec patience pourquoi il doit partir travailler, parce que c’est son travail qui assure notre subsistance à tous.
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Aux antipodes l’une de l’autre par le physique, elles l’étaient aussi par le caractère et la personnalité. Ma mère était superficielle jusqu’à la frivolité, Diana réfléchie et attirée par les activités intellectuelles. Leurs modes de vie respectifs et les milieux dans lesquels elles évoluaient n’avaient non plus rien de commun. Incapable de supporter l’oisiveté, Diana menait tambour battant son affaire d’antiquités où elle puisait un plaisir constant. Foncièrement mondaine, ma mère n’avait en revanche aucun goût pour le travail et, heureusement pour elle, n’en avait pas besoin. Une coquette fortune, héritée de sa famille et sagement investie, lui procurait de quoi vivre dans l’aisance, sans compter la modeste pension que lui versait mon père — je n’ai d’ailleurs jamais compris pourquoi elle l’acceptait.
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A bien des égards, le caractère de l’homme que j’ai épousé ressemble à celui de mon père. Andrew s’intéresse lui aussi au monde et aux êtres qui l’entourent. Ils sont tous deux solides et droits, il ont le sens de l’honneur et de la parole donnée.
Andrew est mon premier amour, mon seul amour. Jamais aucun autre ne prendra sa place dans mon cœur. Savoir que nous serons ensemble jusqu’à notre dernier jour me soutient et donne à ma vie tout son sens. Quand nos enfants auront grandi et nous auront quittés pour mener leur propre vie, élever leur propre famille, je sais qu’Andrew et moi entrerons ensemble dans nos années de crépuscule et je puise dans cette pensée un profond réconfort.
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Mon père descendait d’une longue lignée d’intellectuels, universitaires et écrivains, alors que ma mère venait d’une famille de promoteurs immobiliers prospères et, si j’ose dire, plutôt matérialistes.
Si ma mère n’a jamais cherché à comprendre mon père, elle ne me comprend pas davantage ni n’a la moindre idée de ma véritable personnalité. Mais il faut dire à sa décharge qu’elle n’est guère douée pour la psychologie, bien qu’elle puisse se montrer débordante de charme quand elle le veut.
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Nous ne sommes pas plus civilisés qu’il y a mille ans. Rien ne change, l’humanité n’a rien appris, elle est… pourrie !
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Depuis des années, la peur me paralyse sur le plan affectif. J’en suis consciente au point d’avoir organisé ma vie en fonction d’une solitude garante de ma sécurité. Je me suis retranchée du monde en dressant autour de moi, pierre par pierre, un mur de plus en plus haut, de plus en plus épais, aux fondations solidement assises sur mon travail et ma carrière. Je m’enferme dans mon travail comme dans une citadelle et il m’apporte tout ce dont j’ai besoin.
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Tout le monde a besoin d’espérer, tout le monde a besoin de rêver… Qu’est-ce qu’un homme possède, pour l’amour du ciel, sinon ses rêves ?
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Il savait qu’il était intelligent, vif d’esprit et habile. Il l’avait toujours été, même quand il était petit. En outre, il excellait dans son travail. Son patron, à la Bolton Electric, lui répétait sans arrêt qu’il était un génie pour tout ce qui touchait aux jeux d’éclairage et aux effets spéciaux. Et à cause de son dynamisme, de son travail acharné et de son talent, il avait progressé dans la vie; il aurait voulu aller encore plus loin, mais elle l’en avait empêché.
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Tout ce qu’il savait, c’était qu’elle était d’une beauté à vous couper le souffle et ne pouvait appartenir, pensait-il, qu’au pays du bon Dieu. Et les ciels extraordinaires, incandescents, presque inquiétants par moments, lui inspiraient très souvent une admiration mêlée d’effroi.
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