[L'Hirondelle et les petits oiseaux]
Nous n'écoutons d'instinct que ceux qui sont les nôtres,
Et ne croyons le mal que quand il est venu.
Les trois jambons de Maître Ysengrin.
Un matin, Renard entra chez son compère loup, l’œil morne et la fourrure mal lissée. La disette régnait au pays ; bien malgré lui, Renard faisait carême, et, ce matin-là, il se sentait, plus que de coutume, l’estomac creux et les dents longues.
Tout de suite, Ysengrin s’aperçut de l’état fâcheux de Renard, et, feignant une grande sollicitude :
– Qu’est-ce donc, beau neveu ? Vous avez l’air bien mal en point.
– Je suis, en effet, très mal en point, répondit Renard d’un ton piteux, et ma faiblesse est grande.
Ce disant, il tournait un œil d’envie vers trois beaux jambons qui pendaient aux solives, gras, roses et fumés à souhait.
Ysengrin surprit ce regard et demanda :
– N’avez-vous point déjeuné ?
– Hélas ! non.
Le loup fit un geste désolé, et, s’adressant à son épouse :
– Giremonde, faites bien vite cuire une rate à ce pauvre garçon... Ne vous défendez pas, beau neveu, elle est toute petite.
C’est précisément ce qui chiffonnait Renard que la rate fût si petite, et même que le mets offert ne fût qu’une rate. Le beau jambon des solives l’aurait beaucoup mieux accommodé.
– Vous avez là de superbes jambons, mon oncle, dit-il avec une convoitise qu’il cherchait en vain à dissimuler.
– Ma foi oui, superbes, répondit Ysengrin d’un air avantageux.
On se voit d'un autre œil qu'on ne voit son prochain.
Le fabricateur souverain
Nous créa besaciers tous ce même manière,
Tant eux du temps passé que ceux d'aujourd'hui
Il fit pour nos défauts, la poche de derrière
Et celle de devant pour les défauts d'autrui.
Notre petite rongeuse, qui était douce, bonne et obligeante comme pas une, comptait dans la contrée beaucoup d'amitiés, et souvent des amis personnels s'ingénièrent à lui rendre service.
Ne serait-ce que ce modeste ver luisant qui, la voyant, en pleine nuit, poursuivie par un hibou, éclaira de tousses feux l'entrée d'un trou de terre, afin que la malheureuse petite bête traquée pût s'y mettre à l'abri, loin des griffes du méchant oiseau de proie.
Un jour un coq détourna
Une perle, qu'il donna
Au beau premier lapidaire
Je la crois fine, dit-il
Mais le moindre grain de mil
Serait bien mieux mon affaire.
«je ne sort seul de la maison et jure que je ne viendrais que lorsque j aura trouver de nourrir pour ma famille » cette repli que ma plus car renart n est pas( radin) il donnera comême à manger à toute sa famille car renart aime ses proche 😭😢😢 joaopedro. D 5E2 LIVRE 3
Maxence L. n3: Le Roman de Renart.
Critique: Ce livre m' a beaucoup plu car il est tres amusant et plein de railleries. Il parle d'un renart très méchant qui vole, tue, et chasse pour se nourrir. Renart est très rusé et c' est de la qu'il trouve ca nourriture.
Citation: Voici une phrase qui m'a beaucoup plu:" Qui tout convoite perd le tout".(C'est un peu une morale)
La souris était sauve ; mais dans quel état !
[...]
On la montra du doigt et on la cita en mauvais exemple aux petits enfants.
Tout alla bien pendant quelques minutes ; mais tout a une fin, même les plus belles choses.
J'ai bien aimé la citation " renard a toujours connu plus de ruse que cerf ni biche " . Je l'ai aimé car la phrase elle est très rigolotte est vrai dans cette histoire .
Yannis w.