Citations de Blaise Guinin (18)
La Mort, c'est mon nom. Charmant, n'est ce pas? On me colle aussi une multitude d'autres sobriquets, tous aussi ridicules les uns que les autres: la Faucheuse, la Camarde... et j'en passe!
Aussi vrai que je suis la Mort, je donne la mort. Curieux métier où on se donne soi-même. Le plus étrange est que plus je donne le repos éternel, moins j'en ai, moi, de repos.
Je tue, je tue, je tue... et ça me tue!
(les jumeaux Brossard)
J'ai dû mal entendre.
Qui tu traites de gros con le nain?
C'est ça cours! Parce que si les gros cons te retrouvent ils se feront un plaisir de te casser la gueule !
Normal puisqu'on est des gros cons !
"Mersi pour les vétemen. Signè : le Renart"
- Au fait, pourquoi t'as signé : "le Renard" ?
- Parce que y en marre de toujours signer "le Corbeau".
Tendre et douce atmosphère des soirs d'été, ton vent apporte une légère odeur de soufre.
Quand tourne le vent on accuse les girouettes.
Dans le noir, toutes les couleurs s'accordent.
- Quoi ? T’as recouché avec elle ? Mais j’croyais qu’tu la supportais pas !
- Bien sûr que non ! Je la hais !
- Mais, ma parole, t’es totalement immature ou quoi ? On ne joue pas avec les sentiments d’une nana de cette façon. Faire l’erreur une fois, passe encore ! Mais là, ça devient une habitude !
- Oh ! Ca va…
_ Bande de cons !
_ T'en fais pas Georges, elles finiront bien par plaire à quelqu'un, tes chansons. Il n'y a que des sourds pour douter de ton talent !
_ Si tu dis vrai, c'est que tous ces cons n'ont pas d'oreilles.
_ Eh bien, je leur trouverai des oreilles neuves. Si les cons n'ont pas d'oreilles, je vais leur en greffer !
_ Tu perdrais ton temps, il y a bien trop de cons sur cette terre !
J'avais déjà remarqué que les filles préféraient les salauds, mais là...
Faut croire que vous êtes toutes masochistes !
A force de traîner avec cet homme, je devenais faible. J'attrapais toutes sortes de maladies comme la peine, la joie, la tristesse, et d'autres saloperies comme ça.
- non c'est juste que je t'ai emprunté ton stylo quatre couleurs l'autre jour et...
- oui, d'ailleurs tu ne me l'as pas rendu.
- c'est parce que je l'ai pris en otage, tu comprends ? Je ne te le rendrais que si tu acceptés de prendre un café avec moi.
Deux étudiants échangent leur identité pour réussir leurs examens. Quatre filles croisent leur route pour le meilleur mais surtout pour le pire. Un roman graphique noir, rouge, vert et bleu, réalisé au stylo quatre couleurs.
Tu es juste à l'image de la société qui t'a engendré. Tu es vide et sans valeur.
Quatre couleurs est réalisé avec un stylo Bic de quatre couleurs, comme son nom l'indique. La technique est déjà très originale mais l'histoire l'est d'autant plus. Grégoire, jeune étudiant à la Fac et obligé de réussir son année sinon ses parents lui coupent les vivres. Déjà pas travailleur, il décide de passer un marché avec son meilleur ami. La triche, ça le connaît, il veut intervertir deux cours avec son copain, qui sont dans deux Fac différentes, ainsi ils auront une option qui est leur spécialité, et donc la facilité est assurée.
Le plan marche à merveille jusqu'à ce que Grégoire rencontre une ancienne amie à lui, après lui avoir fait un sale coup, il l'a laissé tomber. Elle, bien décidée à se venger, se rend compte de leur petit manège, mais aussi amoureuse de lui, ne sait plus quoi faire. C'est alors qu'un événement va clore toutes ces questions sans réponses...
- Je t'ai déjà répondu. Je ne te pardonnerai jamais. Adieu.
Elles sont sympathiques vos chansons, mais elles ne respectent pas les quotas.
Si vous voulez que ça marche, parlez à 33% d'amour, à 33% de Paris et à 33% d'amour à Paris !
Quant aux mots : "cons", "putain" et "salope", bannissez-les !
Tu es juste à l'image de la société qui t'a engendré. Tu es vide et sans valeur.
Tu flambes ton foie, tes poumons, tes études, ton avenir. Tu n'es même pas capable de prendre ta vie en main. Tu passes tes soirées à boire et tes journées à décuver. Tu es juste pitoyable.