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Citations de Carol Higgins Clark (144)


avoir la chance extraordinaire de faire partie des zéro virgule cinq pour cent de gens qui, sur terre, pouvaient s’offrir le luxe de traverser l’Atlantique en paquebot.
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partis en chasse, l’œil fureteur, comme une armée de joueurs de loterie espérant voir sortir leurs numéros.
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Les brises marines ne sont-elles pas vivifiantes ?
-Le moment où l’on prend la mer a quelque chose de magique,
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Remettre un voyage, c’est se priver d’un voyage. Celui qui hésite est perdu. Aujourd’hui est le premier des jours qu’il me reste à vivre, et demain est le premier jour de mes vacances.
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la propriété avait été cultivée pour composer un adorable jardin anglais avec d’impeccables massifs comprenant toutes sortes de fleurs, parmi lesquelles des mignardises, des soucis, des myosotis, des delphiniums, des pensées et des giroflées Brantom, tous ces massifs étant séparés par des allées de gravier. Sur le côté de la maison, une large bande de terrain avait été aménagée en potager.
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freina à mort, avant de repasser immédiatement en marche arrière, les projetant toutes en avant puis en arrière comme des grains de maïs se transformant en pop-corn. "
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Personne ne se volatilise purement et simplement.
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"J’ai un père qui possède trois entreprises de pompes funèbres et une mère qui écrit des histoires sur des auteurs de meurtres en série. Et vous voulez que j’exerce un métier " normal " ? "
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il se hissa sur la pointe des pieds comme une vieille ballerine
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A ses yeux pourtant, voler un malheureux bracelet à quelqu’un d’aussi riche aurait dû être classé seulement dans la catégorie des péchés véniels.
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" Vieux et jeunes, nous sommes tous embarques sur notre dernière croisière. "
Robert Louis STEVENSON
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Le téléphone sonna. Regan, un peu groggy, ouvrit les yeux et tendit la main, farfouillant pour trouver le récepteur. Des doigts se refermèrent sur son poignet. Un main s'abattit sur son visage. Elle sentit qu'on voulait enfouir sa tête dans l'oreiller. Electrisée, elle planta ses dents dans la main qui était pressée contre sa bouche.
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A seept heures moins cinq, Cameron Hardwick était prêt à rejoindre le bar jouxtant la salle à manger King Arthur. Il savait que de nombreux passagers avaient coutume de prendre l'apéritif avant le dîner et, de toute façon, les personnes qui avaient leur table réservée au King Arthur devaient passer par le bar. Il voulait se trouver en un endroit d'où il pourrait suivre Lady Exner à l'intérieur de la salle à manger et se placer lui-même, sinon juste à côté d'elle, du moins le plus près possible. Sa compagne, pensa-t-il, devait avoir entre vingt-cinq et trente ans. Serait-ce astucieux de lui faire du gringue? Cameron réfléchit. Peut-être.
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Athena descendait en courant à l'aveuglette le chemin de campagne obscur. Elle haletait bruyamment, le souffle court. La veste de son collège, avec l'écusson de Saint-Polucarp cousu sur sa poche, ne la protégeait nullement de la pluie printanière qui s'était mise soudain à tomber à verse. Son sac à dos, accroché à ses épaules, la gênait dans sa fuite. Il ne lui vint pas à l'idée de s'en débarrasser.
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Le nez de Wally n'arrêtait pas de saigner.
- Cette brute m'a bien eu ! Il me faudrait de la glace et des tampons d'ouate.
Le moment est plutôt mal choisi pour chercher de la glace, lui fit observer Arthur. Veux-tu que j'appelle les urgences ? ajouta-t-il sans conviction.
- Pour un saignement de nez ? Tu plaisantes.
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Arrivée à Aspen en 1967, à l'âge de dix-huit ans, Daisy en avait maintenant quarante-six. A l'époque, la réputation d'Aspen en tant que lieu où la liberté, sinon la licence, régnait sans partage, se répandait chez les hippies du nord au sud et d'est en ouest. A peine sortie de la high school, Daisy avait sauté dans sa Coccinelle volkwagen rouge et traversé le pays vers ce paradis terrestre en compagnie de deux amies. Elles n'avaient pas l'intention de s'y fixer, tout au plus d'y passer l'été avant de gagner les horizons psychédéliques de la Californie, terre promise des "Flower Children", où la fumée des herbes annonciatrices d'amour et de concorde universels embaumait l'atmosphère.
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- Quelqu'un a -t-il des poèmes qu'il aimerait réciter ? demanda à l'auditoire Byron Frost, épuisé par l'émotion.
Bien avant que Veronica ne bondisse sur ses pieds, Regan s'arma de courage sachant que Sir Gilbert était sur le point d'être ressuscité.
- Mon cher mari qui nous a quitté, Sir Gilbert Exner était poète. A tout moment et en tout lieu, il écrivait des poèmes. Quand nous étions couchés, il me prenait dans ses bras et récitait ses œuvres favorites. Peu de temps avant sa mort, il m'a serrée contre lui et a murmuré ses derniers vers :
"Je voudrais dire, dire, dire
Ou encore écrire, écrire, écrire..."
Ce qui serait pire, pire, pire, pensa Regan.
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Ses examens passés, elle avait travaillé chez un vieux détective de Los Angeles qui l'avait prise sous son aile. Depuis deux ans, elle travaillait enfin à son compte. Mais ses parents, Luke et Nora Reilly, n'aimaient pas qu'elle eût choisi cette carrière. (...)
Regan avait discuté avec eux. "J'ai un père qui possède trois entreprises de pompes funèbres et une mère qui écrit des histoires sur des auteurs de meurtres en série. Et vous voulez que j'exerce un métier "normal" ? "
A leur grand désespoir, Regan adorait son travail.
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Ce n'est pas un vrai gourou, au fait.
_pfff ! Fit Chappy
_Pff toi-même.
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Il n'y avait certes pas beaucoup de soleil dehors, mais encore moins dans la pièce. Elle s'approcha de la fenêtre, chercha le cordon et tira d'un coup sec. Les rideaux s'ouvrirent brusquement. Un homme vêtu d'un ciré jaune à capuche avait le nez écrasé contre la vitre. Regan poussa un cri.
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