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Les vacances de Monsieur Lynch de Catherine O'Flynn
Je crois que, parfois, on perd des gens et on ne s'en rend pas vraiment compte, sur le moment. Ca commence comme une mince fêlure. Pas plus. Il faut des années, une vie, avant qu'on comprenne tout ce qui a filé par cette fêlure. Combien on a perdu. (p.312)
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